- Blaise Pascal. La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C'est donc être misérable que de se connaître misérable; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable.
Élévation morale, intellectuelle ; qualité exceptionnelle qui suscite le respect, l'admiration : La pensée fait la grandeur de l'homme.
EXPLICATION DE TEXTE N°17 : BLAISE PASCAL « PENSÉE FAIT LA GRANDEUR DE L'HOMME ». Pensée fait la grandeur de l'homme. Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n'est que l'expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds).
Qu'est-ce qui fait la grandeur de l'homme ? Son intelligence ? Sa vertu ? Absolument pas, affirme Blaise Pascal, dans une formule paradoxale : « La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable », imparfait, faillible.
Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C'est de là qu'il nous faut relever et non de l'espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale.
La grandeur de l'homme est si visible qu'elle se tire même de sa misère. Car ce qui est nature aux animaux, nous l'appelons misère en l'homme. Par où nous reconnaissons que sa nature étant aujourd'hui pareille à celle des animaux, il est déchu d'une meilleure nature qui lui était propre autrefois.
Qu'est ce que l'homme selon Pascal ? A cette question, Pascal apporte, tout d'abord, une réponse psychologique : il place l'homme en face de lui-même et fait un constat de vide et de vacuité. C'est la célèbre thèse du roseau pensant. – C'est l'inconsistance qui domine dans l'humaine nature.
Les dialogues de Platon comme le Protagoras ou le Ménon nous apprennent que selon Socrate (il s'agit là pour ainsi dire de psychologie humaine, de psychologie de l'action humaine) les hommes font toujours et nécessairement ce qu'ils pensent être le meilleur au moment d'agir.
"L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser ; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer.
La connaissance peut se définir comme l'activité théorique de l'homme, comme l'opposé de l'action dans le monde. Le problème philosophique de la connaissance est triple : – le problème de l'origine des connaissances est celui de savoir si elles procèdent de l'expérience (empirisme) ou de la raison (rationalisme).
La grandeur d'un homme réside dans sa capacité à corriger ses erreurs et à se renouveler continuellement.
"Aujourd'hui est le plus beau jour de ma vie car c'est le jour que je vis." "Tu sais que tu es sur le bon chemin lorsque regarder en arrière ne t'intéresse plus ." "En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux."
Pascal nous propose une définition paradoxale de l'homme : ce dernier est un « roseau pensant ». Cette définition est une invitation à penser, mais aussi une affirmation de nos limites. Notre noblesse est de comprendre notre condition humaine, elle qui n'est que fragilité à l'échelle de l'univers.
Il s'agit de la grande vérité que, dans tout ce que Jésus est venu dire et faire, y compris et surtout dans sa souffrance et son sacrifice expiatoires, il nous montrait qui est Dieu, notre Père éternel, à quel point il est complètement dévoué à ses enfants, quels que soient leur époque et leur pays.
capacité, compétence, don, faculté, habileté, pouvoir[Hyper.]
Synonyme : ampleur, étendue, importance, profondeur. Contraire : médiocrité, modestie, petitesse.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
Dès lors, le moi ne serait pas maître dans sa propre maison : non pas qu'il habite une maison qui n'est pas la sienne, mais plutôt qu'il n'est pas en permanence en train de contrôler ce qu'il se passe chez lui.
“Rien n'est trop difficile pour la jeunesse.” “Le bonheur c'est le plaisir sans remords. ” “Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre. ”
Comme substantif, il est simplement défini, dans le Petit Robert par exemple, comme « ce qui est humain ; l'homme et ce qui appartient à l'homme », avec comme exemple « réduire le monde à l'humain », puis comme « être humain » (l'humain, c'est l'être humain, c'est-à-dire l'homme).
La sagesse n'est pas le but, mais le moyen — comme perspective — de la philosophie comme fin en soi. Penser le sens consiste à perpétuellement le repenser.
«L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant» Qu'est-ce que l'homme? Pascal nous le montre marchant entre deux abîmes: l'infiniment grand et l'infiniment petit. L'homme apparaît ainsi comme «un milieu entre rien et tout», perdu dans l'univers infini que nous dévoile la science.
Dieu est celui qui se détermine lui-même par lui-même, celui dont l'être n'est que relation de soi à soi. On ne saurait signifier d'une manière plus positive l'Ipséité absolue. Alors que l'immortalité nie la mort, l'éternité demeure libre de toute condition. Dieu n'est pas immortel.
Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout.