Le HLA B27 est un gène qui entraîne un risque plus élevé de certaines maladies rhumatismale comme la spondylarthrite ankylosante, le rhumatisme psoriasique, les spondylarthropathies juvéniles, les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin dont la maladie de Crohn …
Un HLA B27 positif indique que l'individu est à risque plus élevé de développer une maladie auto-immune. En présence des symptômes appropriés, un HLA B27 positif permet de supporter un diagnostic de spondylite ankylosante, d'arthrite réactive ou autre.
Le traitement médicamenteux repose sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens et autres médicaments contre la douleur. S'ils ne suffisent pas, des traitements dits de fond sont prescrits, qui diminuent la réaction inflammatoire de manière durable. Ce sont le méthotrexate, la sulfasalazine et les biothérapies.
En l'absence de tout traitement, la spondylarthrite peut bloquer de manière progressive et définitive les articulations du bas du dos, par fusion des os du bassin avec le sacrum, ou par fusion des vertèbres. Dans les cas les plus sévères, la colonne vertébrale peut se souder en un seul bloc.
Dans 80 % des cas, la spondylarthrite commence par des douleurs dans le bas du dos ou les fesses. Tantôt à droite, tantôt à gauche, elles irradient vers l'arrière des cuisses et ressemblent fortement aux douleurs dites sciatiques.
une raideur d'une ou plusieurs autres articulations (genoux, chevilles, épaules...) est présente le matin au réveil et dure plus d'une demi-heure ; les douleurs sont associées à une fatigue importante ; les crises douloureuses persistent pendant au moins trois mois, et ont tendance à durer de plus en plus longtemps.
Consommez entre 8 et 10 verres d'eau par jour. Réduisez la quantité de sel, de gras et de sucre dans votre alimentation. Apprenez à contrôler les portions que vous consommez. Remplissez la moitié de votre assiette de fruits et de légumes, le quart de viande ou de substituts et l'autre quart de produits céréaliers.
30 % pour les invalides de 1ère catégorie (capables d'exercer une activité réduite) ; 50 % pour les invalides de 2ème catégorie (incapables d'exercer une activité) ; 50 % + majoration pour les invalides de 3ème catégorie (obligés d'avoir recours à une tierce personne pour effectuer les actes ordinaires de la vie).
La spondylarthrite ankylosante débute par une inflammation aiguë de l'enthèse (enthésite), la partie de l'os où s'insèrent les tendons, ligaments et capsules (enveloppes entourant les articulations). Cette inflammation se résorbe en laissant une cicatrice constituée de tissus fibreux, qui va s'ossifier petit à petit.
A part le risque légèrement accru d'infection, ils peuvent aussi rendre fatigué. C'est en effet le problème: alors que les anti-TNF alpha réduisent l'activité de la maladie et avec cela la fatigue liée à l'inflammation, ils peuvent aussi provoquer eux-mêmes la fatigue.
La pratique régulière d'une activité physique est un aspect important de votre plan de traitement contre la spondylarthrite ankylosante. L'exercice contribue à soulager la douleur et à atténuer la raideur, sollicite vos articulations, améliore votre posture et votre souplesse.
Les causes de la spondylarthrite ne sont pas connues, mais des facteurs favorisants ont été identifiés. Ils sont de deux types : des facteurs génétiques et des facteurs environnementaux, les deux types étant souvent associés. Néanmoins, il n'existe pas aujourd'hui de moyen de prévenir l'apparition de spondylarthrite.
Sa présence est associée à un certain nombre de maladies auto-immunes, comme la spondylarthrite ankylosante, ce qui signifie qu'un individu porteur du HLA-B27 a significativement plus de risque de développer ces maladies qu'un autre individu.
Le traitement de la spondylarthrite ankylosante. Pour lutter contre la douleur de la spondylarthrite ankylosante, le médecin prescrit des anti-inflammatoires non stéroïdiens et des antalgiques. Si ces médicaments sont insuffisants, un traitement de fond est administré sous stricte surveillance médicale.
En effet, la radiographie ne permet de visualiser la sacro-iliite qu'à un stade tardif, quand les lésions dites structurelles (érosions, hyperostose et ankylose) sont déjà en place. L'IRM, en revanche, permet le diagnostic de la maladie à un stade débutant, quand seules les lésions inflammatoires sont visibles.
SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE MDPH
La spondylarthrite ankylosante peut être reconnue comme relevant du champ du handicap dès lors que, l'individu qui en est atteint, subit une limitation/restriction d'une de ses fonctions (physique, psychique, etc.).
Contrairement à la polyarthrite rhumatoïde qui touche plus souvent les femmes, la spondylarthrite rhumatoïde touche autant les hommes que les femmes. Mais chez ces dernières, le diagnostic est plus souvent difficile à établir car les formes sont moins sévères et les atteintes articulaires plus tardives.
Si vous prenez une collation, combinez des légumes ou des fruits avec une protéine comme du beurre de noix ou du fromage. Les fruits et légumes sont riches en antioxydants comme les vitamines A, C, E et K et les polyphénols, ce qui permet de réduire l'inflammation.
C'est le cas des aliments à indice glycémique élevé (pain blanc, pâtes, riz blanc, viennoiseries, produits industriels trop sucrés...), des acides gras oméga 6 (huile de tournesol) ou encore des viandes rouges.
Il s'agit d'une maladie auto-immune à forte prédisposition génétique, en grande partie liée à un gène appelé «HLA-B27».
Treize des 37 spondylarthritiques (35%) ont admis souffrir d'acouphène. Seuls 5% des volontaires sains s'en sont plaints. Aucune différence notable n'a par contre été constatée dans les cas de vertige et dans l'innervation de la peau.
Si vous êtes sujet à la spondylarthrite ankylosante, il est préférable de dormir sur un matelas ferme, avec un oreiller assez fin, voire sans oreiller. Évitez de vous coucher sur le côté et alternez entre dormir sur le ventre ou sur le dos.