La paréidolie est une expression de la tendance du cerveau à créer du sens par l'assimilation de formes aléatoires à des formes référencées.
Le phénomène s'appelle en fait «paréidolie». Voir des visages, même là où il n'y en a pas, c'est une opération qu'accomplit notre cerveau: une faculté, une tendance – une compulsion, si on veut. On se tourne donc vers un spécialiste de cet organe. «Pour le cerveau humain, les visages sont des objets particuliers.
Ce phénomène d'illusion d'optique est connu sous le nom savant de paréidolie.
VISIONS - Connaissez-vous la paréidolie ? C'est une sorte d'illusion d'optique qui vous donne l'impression de voir un visage au beau milieu des nuages ou sur un objet de la vie quotidienne.
Pourquoi Voit-on des visages dans le ciel ? Ces illusions d'optique portent un nom : la paréidolie. Ce phénomène est dû au fait que le cerveau structure son environnement en permanence, quitte à transformer les informations fournies par la rétine en objets connus.
Les paréidolies relèvent donc de phénomènes cognitifs complexes. Les pistes neuro-cognitives pour expliquer la paréidolie tiennent de la neurophysiologie de la perception ainsi que de mécanismes innés de reconnaissance de forme : exemple des travaux sur les reconnaissances prototypiques du visage de l'espèce.
Définitions : épistolier - Dictionnaire de français Larousse.
La raison est simple : la Lune met autant de temps à tourner sur elle-même (rotation) qu'elle met à tourner autour de la Terre (révolution), un peu plus de 27 jours. On parle de rotation synchrone. A mesure qu'elle se déplace dans le ciel, la Lune pivote pour dérober à notre regard sa face mystérieuse.
Une paréidolie (aussi écrit pareidolie, du grec ancien para-, « à côté de », et eidôlon, diminutif d'eidos, « apparence, forme ») est une sorte d'illusion d'optique qui consiste à associer un stimulus visuel informe et ambigu à un élément clair et identifiable, souvent une forme humaine ou animale.
Pas de panique, c'est parfaitement normal ! La paréidolie (c'est le nom de ce phénomène) est un mécanisme très courant chez les êtres humains. Il s'agit d'une manière qu'a notre cerveau de voir une image construite, réaliste, reconnaissable, alors même que ce qu'on observe n'est qu'une forme abstraite.
L'Homme dans la Lune fait référence à l'une des nombreuses paréidolie d'un visage, d'une tête ou d'un corps humain que certaines traditions reconnaissent sur la Lune. Les images sont composées des zones sombres de la maria lunaire, ou «mers», et des hautes terres plus claires de la surface.
Le stratus donne au ciel un aspect gris uniforme et lourd, style nuage-déprime ! Le stratocumulus se présente en bancs ou nappes grises ou blanchâtres avec des parties sombres. Le pire est le nimbostratus : épais, gris et sombre. Prévision : nuages bas = mauvaise pioche (brouillard, brume, pluie, neige).
Et bien oui, la Lune tourne bien sur elle même. Sa rotation est identique à sa révolution sidérale. Ainsi la Lune tourne autant sur elle même qu'elle ne tourne autour de la Terre. Ce phénomène de rotation dite synchrone est un état d'équilibre gravitationnel dû aux effets de marées entre la Terre et la Lune.
Pendant que la Lune orbite autour de la Terre, elle « décroît » et la surface illuminée par le Soleil diminue. Cela continue jusqu'à ce que la Lune disparaisse totalement lors de la nouvelle Lune, lorsqu'elle est située entre la Terre et le Soleil et que donc la moitié illuminée ne peut être vue à partir de la Terre.
Les taches sombres qui semblent former les yeux, la bouche et le nez de celui qu'on appelle « l'homme dans la Lune » sont de vastes plaines poussiéreuses.
La nature de la diffusion est dépendante de la dimension des arrangements moléculaires. Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
A 10 000 mètres d'altitude, inutile de vérifier la météo : il fait toujours beau. C'est très difficile à imaginer quand on est sous la grisaille ou la pluie, mais il existe un lieu privilégié où les nuages forment un matelas sur lequel s'allonger pour mieux profiter du soleil.
Le nuage, en apparence statique, a en réalité une dynamique importante. Les courants ascendants à l'intérieur agitent les gouttes d'eau, leur permettant de rester en suspension. Fort de tous ces mouvements, les gouttelettes, et donc le nuage, ne tombent pas.
En effet, cette altération de la vue qui fait voit des choses qui n'existent pas, est un symptôme associé à des pathologies psychiatriques, ophtalmologiques, neuro-dégénératives, etc. Aussi, elle s'accompagne de signes cliniques qui peuvent être un élément déterminant dans la recherche de la cause probable.
C'est une expérience normale, où l'on entre et d'où l'on sort, et dont il est possible de faire quelque chose, parce que, face à elle, on demeure un sujet. Il peut donc exister des hallucinations positives ou négatives, et des « visions » positives ou négatives.
Nous pouvons tous voir dans certaines circonstances des choses inexistantes. Nous avons parfois ces visions, appelées hallucinations, d'une façon naturelle en nous endormant ou en nous réveillant, comme lors de rêves éveillés. La diminution de vision, particulièrement dans la DMLA, peut causer des hallucinations.
Vous vous demandez peut-être pourquoi la Lune ne tombe pas sur Terre comme le ferait une pomme depuis un arbre. C'est parce que la Lune n'est jamais immobile : elle est constamment en mouvement autour de la Terre. Sans la force de gravité de la Terre, la Lune se contenterait de flotter dans l'espace.
Un jour d'automne en regardant une pomme tomber de son arbre, il réalise qu'une force attire la pomme vers la Terre, la force de gravitation. La même que celle qui s'exerce sur la Lune. Or la Lune ne tombe pas sur notre tête car elle tourne autour de la Terre.
CUMULONIMBUS. Ce sont des cumulus de pluie, d'averses, de grêle... Ils forment d'énormes volutes au sommet en panache ou en forme d'enclume, ils peuvent déchaîner des intempéries trés violentes. Le cumulonimbus est le seul nuage qui peut provoquer des orages.