En philosophie le concept de réalité appartient à une catégorie ontologique, c'est-à-dire qui concerne l'être. La vérité s'inscrit dans une catégorie logique et gnoséologique, qui a trait au langage et à la connaissance. Les choses sont réelles ou irréelles. Ce que l'on en dit est vrai ou faux.
1. Caractère de ce qui est réel, de ce qui existe effectivement : Douter de la réalité d'un fait. 2. Ce qui est réel, ce qui existe en fait, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé, fictif : La réalité dépasse la fiction.
La réalité est le caractère de ce qui est réel. La réalité peut ainsi désigner l'ensemble des phénomènes considérés comme existant effectivement. Ce concept désigne ce qui est physique, concret, par opposition à ce qui est imaginé, rêvé ou fictif.
La réalité est ce qui est objet de constat. La vérité quant à elle est ce qui est conforme à la réalité: est vrai ce qui correspond à ce qui est. La vérité consisterait ainsi dans une correspondance, un accord entre le discours et la réalité, c'est-à-dire entre ce que je dis et ce qui est (réel).
La réalité n'existe pas avant qu'on l'observe
Ce que l'on a fait, de manière conceptuelle, au niveau expérimental, est de voir si, lorsque notre esprit perçoit un objet, celui-ci pourrait se comporter comme une onde ou une particule, indépendamment de la façon dont il est évalué et, par ailleurs, en simultané.
Réel (définition)
Le réel est un concept ontologique qui désigne ce qui existe en dehors et indépendamment de nous. Il se définit par rapport à celui de réalité empirique, qui, lui, désigne ce qui existe pour nous grâce à notre expérience.
Selon Platon la vérité est donc à la portée de tous, car nos âmes l'ont contemplée avant d'arriver dans la réalité matérielle. Ainsi, découvrir la vérité est plus une affaire de réminiscence que de découverte : nos âmes se souviennent des idées parfaites qu'elles ont contemplées.
Le roman reflète la réalité comme Stendhal nous le dit : « un roman c'est comme un miroir qu'on promène le long d'un chemin. ». En effet, pour que le lecteur puisse s'identifier dans le livre aux personnages,il a besoin d' un certain cadre faisant office d'une quelconque réalité ressemblant à la sienne.
Il veut comprendre de l'intérieur comment les hommes réagissent aux structures sociales qui les entourent. Il recherche les motivations de l'individu qui expliquent sa réaction ou sa participation à telle structure sociale.
La relation qu'entretiennent la réalité et la fiction est pragmatique et cognitive. La fiction narrative peut être considérée comme un instrument interprétatif pouvant nous aider à comprendre le monde qui nous entoure. Dans la réalité, nous sommes amenés à raconter et interpréter la vie comme si elle était un roman.
Les technologies immersives incluent notamment la réalité augmentée (RA), la réalité mixte (RM), la réalité virtuelle (RV) et la vidéo 360. Voici ci-dessous une proposition de définition pour chacune d'entre elles, sachant qu'il est possible de trouver des lignes de partage dans la littérature scientifique.
(Date à préciser) Du bas latin realis (« relatif aux choses matérielles ») dérivé de res (« chose matérielle »).
n. Personne qui accepte le monde tel qu'il est et agit en conséquence (ex. il se demanda si le réaliste n'était pas seulement un utopiste ignorant du fait que le monde est toujours bien différent de ce qu'il semble).
La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s'oppose donc à la fausseté – au sens d'erreur, mais aussi de mensonge. Détenir la vérité, c'est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.
En philosophie, l'absolu est ce qui existe par soi-même, sans dépendance. Ce qui est absolu n'a besoin d'aucune condition et d'aucune relation pour être. L'absolu ne dépend d'aucune autre chose.
Elle considère en effet l'espace et le temps comme des propriétés du monde physique, ni plus ni moins dépendantes, par conséquent, que n'importe quelle autre du monde physique, de nos modes de perception.
La vérité est donc ce qui est conforme à la réalité et, en conséquence, dont on peut affirmer que c'est vrai. Mais la réalité des choses, comme tout un courant de la philosophie a tendu à l'établir (notamment la phénoménologie), n'existe que pour une conscience qui la perçoit.
La vérité comme relation
L'absolu, c'est ce qui, dans la pensée comme dans la réalité, ne dépend de rien d'autre que soi, et contient en soi-même sa raison d'être.
Nous avons le devoir de chercher la vérité, car il en va de notre dignité d'homme. Toutefois, ce devoir doit être adapté à la nature de la vérité qui, aussi utile soit-elle, peut s'avérer nuisible et destructrice si elle n'est pas maniée avec précaution.
Non seulement parce que la vérité est utile à la vie tandis que le mensonge est funeste et dangereux. Mais aussi parce que le choix de la vérité constitue une orientation éthique. La vérité, même partielle, même relative, même provisoire, est en effet un terrain d'entente entre les hommes.
Le mensonge en philosophie : 3 approches
Cette dignité vient du fait que les humains sont des agents rationnels, capable de prendre en autonomie leurs propres décisions. – il empêche autrui d'agir rationnellement et librement, autrement dit mentir remet en cause la dignité d'autrui.
Le vrai, pour Aristote, répond finalement à quatre conditions: il se situe au niveau du discours ou de la pensée; il énonce (ou fait connaître) ce qu'il y a un autre niveau (l'être); il est vrai parce qu'il le dit tel qu'il est; et pour ce faire, il est composé du sujet dont il parle et d'un prédicat qu'il en dit.