La taxonomie sociale est un projet de l'Union Européenne (UE) qui a été annoncé en mars 2021 par la Commission européenne. L'objectif est d'identifier des activités économiques qui contribuent à des critères sociaux comme la réduction de la pauvreté ou l'amélioration de l'éducation et de la santé.
Elle vise à renforcer et harmoniser les obligations de communiquer les informations sociales et environnementales des entreprises de l'Union européenne (UE).
Les taxonomies sont des systèmes de classification de la finance durable. Elles ont pour ambition d'être plus exhaustives et d'avoir une approche systémique, par rapport à de simples définitions de produits financiers durables.
La taxonomie européenne désigne la classification des activités économiques ayant un impact favorable sur l'environnement . Son objectif est d'orienter les investissements vers les activités « vertes ».
Cette réglementation concernera les entreprises de plus de 500 salariés, déjà sujettes à l'obligation de reporting extra-financier.
Dès 2022, les entreprises de plus de 500 employés, soumises à la NFRD ont dû réaliser et publier leur analyse d'éligibilité et leurs ICP sur l'exercice 2021, concernant les deux premiers objectifs de la taxonomie.
La taxonomie de l'UE est en vigueur depuis cette année et oblige les grandes entreprises cotées en bourse comptant plus de 500 employés à divulguer la mesure dans laquelle leurs activités répondent aux critères de durabilité de la taxonomie.
La taxonomie de l'Union européenne (UE) s'inscrit dans le Pacte vert pour l'Europe (Green Deal), soit l'ensemble de mesures de l'UE pour atteindre la neutralité climatique à l'horizon 2050, et constitue un élément clé de la stratégie européenne en matière de finance durable.
La taxonomie de Bloom offre une structure précieuse pour l'élaboration d'objectifs d'apprentissage et l'évaluation des compétences des étudiants. Les six niveaux du cognitif, du simple rappel à la création, guident les enseignants dans la conception de leurs cours et de leurs évaluations.
Vers 1956, après huit années de recherche, la première taxonomie des objectifs cognitifs, créée par B.S. Bloom, fit sa première apparition dans les milieux américains pour la rédaction de tests et d'examens. Ce document connut un succès prodigieux et se répandit rapidement à travers le monde.
Carl von Linné est un naturaliste suédois du XVIIIe siècle (1707-1778). Il est réputé pour être à l'origine de la généralisation du système moderne de la nomenclature binomiale.
La taxonomie de Bloom se base sur une règle de classification selon six habiletés cognitives. Il s'agit de la connaissance, de la compréhension, de l'application, de l'analyse, de la synthèse et de l'évaluation. Cette méthode propose de situer le niveau de l'apprenant dans l'un de ces six échelons de pensée.
La nomenclature est une partie de la taxonomie qui traite spécifiquement de la façon de nommer les taxons, particulièrement les espèces.
Autrefois, les vivants étaient classés en 2 catégories : les animaux et les végétaux. Aujourd'hui, cette classification a évolué et on distingue maintenant 5 catégories appelées règnes.
Pour vérifier l'éligibilité de leurs activités, les entreprises concernées par le “règlement Taxonomie” doivent, dans un premier temps, effectuer un exercice de concordance entre leurs propres activités et les activités considérées comme éligibles par la Commission Européenne.
En ce sens, la systématique vise à inventorier, décrire et classer les organismes les uns par rapport aux autres. La taxonomie, dont le but est de définir les taxons, lui est étroitement liée.
Certains spécialistes font une différence dans l'usage, particulièrement en botanique, entre la taxinomie qui, formée sur l'étymon grec nómos (loi, règle), concerne les questions de classification, et la taxonomie qui, formée sur l'étymon grec ónoma (nom), se rapporte aux questions de nomenclature.
Qu'est-ce que la SFDR ? Le règlement SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation) de l'UE vise à fournir plus de transparence en termes de responsabilité environnementale et sociale au sein des marchés financiers à travers la publication d'informations extra-financières et la classification des différents fonds.
Les principales incidences négatives sont les impacts négatifs causés par un acteur du marché financier ou son produit financier sur l'environnement et la société. Mesurer et éviter les éventuels impacts négatifs d'un investissement, tel est l'objectif premier des principales incidences négatives.
Le règlement Disclosure constitue, avec les règlements Taxonomie et Benchmark, la pierre angulaire du plan d'action pour la finance durable de la Commission européenne, dont l'une des ambitions est de participer à la réorientation des flux de capitaux vers les activités durables.
L'intérêt d'une taxonomie est qu'elle permet d'identifier la nature des capacités sollicitées par un objectif de formation et son degré de complexité. Cette information, parmi d'autres, permet d'adapter la méthode de formation.
La notion “andragogie” c'est l'éducateur Alexander Kapp qui l'a inventé en 1833. Ce concept a été développé aux États-Unis dans les années 1950 par Knowles (professeur d'université) en se focalisant sur l'éducation et la formation des adultes.