La vraie morale ne s'occupe pas de ce que nous pensons et voulons, mais de ce que nous faisons. La liberté n'existe pas sans morale, ni la morale sans foi. La vraie sagesse, la vraie supériorité ne se gagne pas en luttant mais en laissant les choses se faire d'elles-mêmes.
Le principe de responsabilité est le principe moral de notre époque. Il transforme profondément la nature de la morale. Cette « vraie » morale se moque – c'est-à-dire ignore – la morale de l'ordre, du sexe ou de la conservation.
1. Ensemble de règles de conduite, considérées comme bonnes de façon absolue ou découlant d'une certaine conception de la vie : Obéir à une morale rigide. 2. Science du bien et du mal, théorie des comportements humains, en tant qu'ils sont régis par des principes éthiques.
La justice, la loyauté, la générosité et la responsabilité individuelle sont des idéaux supérieurs auxquels on croit important d'obéir : ce sont des valeurs morales. De même, « ne pas faire aux autres ce qu'on ne veut pas qu'ils nous fassent » est une règle que plusieurs trouvent fondamentale.
D'autres types de morales
Eudémonisme : le but de l'action est la recherche du bonheur. Pessimisme : en moral, consiste à penser que le mal l'emporte sur le bien, l'homme est donc condamner à mal agir. Hédonisme : Le bonheur est le plaisir immédiat, jouissance. Stoïcisme : le destin régit la morale.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
Morale de la fable Le Loup et l'Agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » La morale se situe au début de la fable. Jean de La Fontaine dresse ici une critique cinglante de sa société. Il critique la justice comme symbole de la violence et de la force.
Agir moralement, c'est agir, donc s'inscrire dans un monde social et dans un destin collectif. 1) La formulation du sujet (non pas « être moral » ou « juger moralement » mais « agir moralement ») souligne le fait que « la morale » est un art de bien agir.
Elle permet alors de juger nos actions et celles d'autrui. En effet, la morale est là pour réguler nos comportements pour certains en valorisant certains comportements et en considérant que certains sont des actes mauvais à ne pas commettre.
La morale est une réflexion sur nos pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu.
Le scepticisme moral est une classe de théories méta-éthiques dont tous les membres impliquent que personne n'a de connaissance morale. De nombreux tenants du scepticisme moral avancent également la plus forte assertion modale que la connaissance morale est impossible.
Une théorie morale peut tomber sous cette qualification pour trois motifs correspondant à autant de propriétés de la moralité : soit elle en affaiblit l'autorité en affirmant qu'il peut être raisonnable de ne pas toujours respecter ses injonctions, soit elle atténue la rigueur de la moralité en soutenant que ses ...
La citation la plus célèbre sur « leçon de morale » est : « Soyez meilleurs, vous serez plus heureux. Voilà la plus puissante leçon de morale car elle est fondée sur l'intérêt. » (Charles-Eugène de Lévis-Charlus).
Un homme libre se donne à lui-même la loi à laquelle il décide de se soumettre ; c'est donc la raison qui seule peut lui dicter cette loi, laquelle procède alors de sa volonté propre.
La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective.
Socrate, père de la philosophie morale !
De façon plus précise, être moral c'est bien agir, c'est-à-dire agir par pur devoir ou encore agir selon certains principes visant à obtenir le bonheur. Agir par intérêt, c'est être poussé à agir par la recherche d'un gain, au terme d'un calcul soupesant les avantages et inconvénients d'une action.
La droiture dépend des maximes qui inspirent nos actes. Selon Kant, c'est l'intention qui fait la moralité de nos actes. Forgée dans l'intimité de la conscience, elle échappe à l'hypocrisie des conduites conformistes.
Kant affirme qu'un devoir n'a aucune valeur morale s'il n'est pas motivé par une conscience désintéressée de ses propres désirs. Pour être vertueux, l'être humain doit agir non par intérêt ou par habitude, mais par volonté d'agir bien : parce que dans son for intérieur, il possède un élan moral sincère.
Ensemble de règles de conduite. Synonyme : bonnes mœurs, honnêteté, moralité, probité, vertu.
Certaines d'entre elles sont des habitudes de commander, la plupart sont des habitudes d'obéir, soit que nous obéissions à une personne qui commande en vertu d'une délégation sociale, soit que de la société elle-même, confusément perçue ou sentie, émane un ordre impersonnel.
Selon la première, la morale serait une extension de l'instinct de parenté (notre tendance à nous préoccuper du bien-être de nos proches). La morale serait alors spécifique de l'homme, car elle nécessite réflexion ou normes explicites pour se développer à partir de l'instinct de parenté.
1. Qui concerne les règles de conduite pratiquées dans une société, en particulier par rapport aux concepts de bien et de mal : Réflexions morales. 2. Qui relève de la conscience que l'on a de ce qui est bien : Avoir l'obligation morale de faire quelque chose.
Le moral n'est donc qu'une image instantanée de l'humeur du moment. La morale, quant à elle, a plus d'atomes crochus avec le juste et l'injuste tels que façonnés par l'alentour.