Le pangasius (pangasius bocourti appelé aussi poisson-chat du Mékong ou basa) est un poisson à chair blanche, sans arêtes et au goût peu prononcé. C'est un poisson peu coûteux. En 2013, la production mondiale de pangasius a atteint 1,6 million de tonnes et provenait en grande majorité du Vietnam.
Pangasius, poisson-chat du Mékong ou basa, autant de noms pour décrire un poisson d'eau douce dont l'élevage a lieu en Asie du Sud-Est, mais aussi aux États-Unis. Sa chair blanche sans arêtes a une texture fine et une saveur peu prononcée.
D'un point de vue nutritionnel, il s'agit d'un poisson maigre intéressant, mais un peu moins que d'autres espèces car il est plus riche en acides gras saturés et moins riche en protéines et en oméga 3. Cela dit, c'est du poisson et cela reste donc un aliment intéressant à consommer pour la santé.
L'organisme de défense des consommateurs signale que le Pangasius est un poisson maigre qui " ne possède pas des qualités nutritionnelles aussi intéressantes que celles d'autres espèces : il contient par ex. plus d'acides gras saturés (néfastes pour la santé), mais moins d'oméga 3 et de protéines.
Nourri d'une pâte humide à base de riz, de son et de poisson, le Pangasius se développe rapidement.
AQUACULTURE. L'élevage des pangas est traditionnellement pratiqué en Asie du Sud-Est, dans les pays riverains du fleuve Mékong. Le principal pays producteur au niveau mondial est le Vietnam. Le « panga vietnamien » englobe deux espèces : le « basa » (Pangasius bocourti) et le « tra » (Pangasius hypophthalmus).
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie.
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
On pourrait retenir de nombreuses espèces dans notre liste des poissons blancs à privilégier. Parmi les plus utilisés en cuisine, nommons le cabillaud, le merlan, le merlu, le bar, le lieu, le colin ou encore l'églefin.
Les experts disent que le saumon sauvage du Pacifique est votre meilleur choix. «Sauvage signifie une moins grande accumulation de mercure, moins d'antibiotiques et d'hormones, et aussi que le poisson peut nager librement», explique la diététiste-nutritionniste Monica Auslander Moreno chez Essence Nutrition.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
Les poissons gras tels que le saumon, les sardines ou le maquereau, sont riches en Omega-3. Ces acides gras naturels aident à prévenir les maladies cardio-vasculaires et sont nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Espadon, requin, marlin, thon, daurade, lamproie comptent parmi les poissons prédateurs qui contiennent le plus de mercure, susceptibles d'endommager le système nerveux central, tandis que les poissons à chaîne courte comme les sardines ou les maquereaux ont des niveaux inférieurs.
Bonne pour le cœur : La sardine est remplie d'oméga 3 et de vitamine B12. Elle prévient le risque de maladies cardio-vasculaires. Renforce les os avec sa vitamine D, son phosphore et son calcium. Elle contribue à lutter contre l'ostéoporose qu'elle soit fraîche ou en conserve.
Une consommation élevée de poisson est associée à un risque accru de développer la maladie de Charcot. Le mercure est le suspect principal de ce lien. A consommer avec modération. Les bienfaits du poisson pour l'organisme ne sont plus à démontrer.
On peut donc citer, dans une liste non exhaustive : le saumon, le bar de ligne ou d'élevage, le turbot, la sole, le flétan, le barbue, le Saint-Pierre, la lotte ou encore la dorade royale qui, elle porte bien son titre de noblesse.
1,38 million d'euros. Ce prix d'achat record équivaut à environ 6 000 euros le kilo, ce qui mettrait la simple petite tranche de sushi à environ 260 euros.
Le pangasius (pangasius bocourti appelé aussi poisson-chat du Mékong ou basa) est un poisson à chair blanche, sans arêtes et au goût peu prononcé. C'est un poisson peu coûteux. En 2013, la production mondiale de pangasius a atteint 1,6 million de tonnes et provenait en grande majorité du Vietnam.
De nombreuses variétés vous attendent : du cabillaud, du merlan, du lieu noir, de l'eglefin, de la dorade sébaste, du saumon et du loup de mer.
Croquettes. Dans cette région du Vietnam, le panga est élevé de façon industrielle dans de grands étangs ou dans des canaux, où il est nourri au moyen de croquettes qui font grandir les poissons deux fois plus vite que des aliments naturels.