Le mal que l'homme fait est le mal moral. Le mal moral peut se se réduire, de manière universelle, à la violence et au mensonge. L'origine du mal se trouve, chez les penseurs croyants, dans l'imperfection générale de l'homme, ou mal “métaphysique”.
Pour démêler ce que ce terme se plaît malignement à confondre, on distingue : le mal métaphysique lié à l'imperfection, à la mortalité, à la finitude de l'homme ; le mal physique, qui implique souffrance et qui, sauf masochisme, est toujours subi ; et le mal moral, qui renvoie à la faute, au péché et qui est un mal ...
Le mal est, en effet, ce qui apparaît d'abord comme l'autre de la raison ; il est le signe de l'absurdité du monde ou de l'histoire aussi bien que du caractère insensé des conduites humaines. concilier, d'une part, les attributs de Dieu (toute-puissance, bonté) et, d'autre part, l'existence du mal.
Le bien moral consiste seulement à contribuer au bien naturel. Le bien moral consiste dans la vertu qui est ce qui suscite l'approbation. Or la vertu contribue au bien naturel.
Le mal métaphysique consiste dans la simple imperfection, le mal physique dans la souffrance, et le mal moral dans le péché1. Peut-être faudrait-il, du reste, ajouter encore au mal métaphysique, au mal physique et au mal moral un quatrième mal, que l'on pourrait appeler le mal esthétique, à savoir la laideur.
La métaphysique est essentiellement nihiliste : elle nie ce monde-ci, elle nie le corps (en lui donnant des propriétés d'identité qu'il n'a pas, ou en plaçant l'esprit comme supérieur), mais elle se nie aussi elle-même. Voilà pourquoi Nietzsche assimile le platonisme au christianisme, à la démocratie et à la science.
Selon les thèmes abordés, il est possible de distinguer trois types de métaphysiques qui, d'ailleurs, se mélangent et se superposent souvent : la métaphysique fantastique, la métaphysique généraliste et la métaphysique subjectiviste. Il s'agit là d'une classification empirique très approximative et sans prétention.
Les baisses de moral peuvent être liées à une perturbation du fonctionnement cérébral. C'est bien le fonctionnement du cerveau qui est atteint, non sa structure. Cette distinction est importante car elle permet de bien comprendre que cette situation peut être réversible.
S'aérer, prendre l'air, faire du sport
Au-delà de permettre de vous évader et vous changer les esprits, le corps libère des substances chimiques naturelles après une trentaine de minutes d'activité physique, comme l'endorphine, la sérotonine, la dopamine et la noradrénaline.
L'individu qui en souffre perd contact avec ses désirs, ses goûts, ses affinités. Il se sent vidé de son énergie et a l'impression de mener une vie routinière, monotone et solitaire. L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être.
Les trois éléments caractéristiques sont : Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail)
Notre vie morale consiste, à la base, en une préoccupation pour la distinction entre le bien et le mal. Elle est faite de sentiments et de jugements, de même que des standards auxquels ils se rapportent et des actions qu'ils motivent.
Une personne morale est un regroupement de personnes, physiques ou morales, œuvrant ensemble vers un but commun et ayant une existence juridique. La personne morale est créée en même temps que l'entreprise.
"Accepte ce qui est, laisse aller ce qui était, aie confiance en ce qui sera." "Les grands accomplissements sont réussis non par la force, mais par la persévérance." "Si on veut obtenir quelque chose que l'on n'a jamais eu,il faut tenter quelque chose que l'on n'a jamais fait."
Pratiquer une activité physique régulière
L'activité physique stimule aussi la production de dopamine, l'hormone du plaisir, de la récompense et de la vigilance. Elle chasse la fatigue. Enfin, le sport est un bon moyen de se vider la tête et de mettre de côté les tracas du quotidien, sources d'humeur maussade.
La solution la plus efficace à cet état est de pratiquer une activité physique régulière. En plus de booster vos muscles, le sport active l'hormone du plaisir, la dopamine qui vous procure cette sensation de bien-être après avoir fait beaucoup d'efforts.
Outre cet état de demi-sommeil, voici quelques autres signes révélateurs d'une fatigue mentale : Des difficultés de concentration et un manque de vigilance, Des troubles de l'humeur : moral bas, morosité, tristesse, irritabilité, hyperémotivité, mélancolie ou, au contraire, état euphorique…
Une baisse de moral passagère peut être liée aux changements de saison, au deuil, à la maternité, à des soucis familiaux et professionnels.
Dieu existe-t-il ? > Peut-on démontrer que Dieu existe (Descartes) ? Ou son existence ne peut-elle être l'objet que d'une croyance : la foi (Kant) ?
« Que puis-je connaître ? », « que dois-je faire ? », « que suis-je en droit d'espérer ? », trois questions au centre du projet kantien.
La métaphysique propose des discours abstraits qui débordent les données de l'expérience de façon imprudente. Elle prétend accéder par la pensée à un au-delà de la réalité, un ultra-monde considéré comme plus vrai que le Monde.