L'anthropocentrisme est une conception philosophique qui considère l'humain comme l'entité centrale la plus significative de l'Univers et qui appréhende la réalité à travers la seule perspective humaine.
L'univers est composé de milliards d'étoiles et d'autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l'univers est dite « lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide.
En date de 2019, les mesures suggèrent que les évènements initiaux remontent à entre 13,7 et 13,8 milliards d'années. En pratique, on divise l'évolution de l'Univers depuis cette date jusqu'à nos jours en plusieurs ères. La formation de l'Univers commence par l'ère du rayonnement, suivie de l'ère de la matière.
Vous avez sûrement entendu parler de la théorie du Big-Bang, qui décrit comment l'Univers est « né » d'un amas de matière très dense et très chaud il y a environ 13,7 milliards d'années. Une dilatation progressive, comme un ballon qu'on gonfle.
L'Univers ne peut pas posséder de « bord » au sens intuitif du terme. En effet, l'existence de bord impliquerait l'existence d'un extérieur à l'Univers. Or par définition l'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe, il ne peut donc rien exister à l'extérieur.
Selon la théorie de la relativité générale, un Univers en expansion doit avoir commencé par un Big Bang, ce qui implique la finitude du temps, apparu simultanément avec l'espace et l'énergie-matière. Cette façon de voir s'est modifiée au cours des dernières années.
Plusieurs théories tentent d'expliquer ce qui pourrait se trouver au-delà de notre Univers, à commencer par celle des multivers. En dehors des limites de notre Univers se trouve peut-être un « super » Univers. Il s'agirait d'un espace qui s'étend à l'infini dans ce que notre petit Univers peut s'étendre à l'infini.
Un article paru en janvier 2011 dans la revue Physical Review arrive à la conclusion que le temps va s'arrêter d'ici 5 milliards d'années. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les implications de la théorie de l'inflation éternelle et l'existence de multivers associée à cette théorie.
Elle se trouve à environ 1 milliard d'années-lumière de notre Terre, dans la constellation du Serpent. Son diamètre atteint les 6 millions d'années-lumière. Et si l'on ose aller un peu plus loin, on peut attribuer au Grand Mur d'Hercule-Couronne boréale, le titre de plus grand objet de notre Univers.
Il n'y a pas "d'extérieur" à l'Univers . L'Univers n'a donc pas de limite : tu peux partir en fusée aussi vite que tu veux (même plus vite que la lumière si tu veux) dans une direction quelconque pendant un temps très long, tu n'arriveras pas à sortir de l'Univers. Mais ça ne veut pas dire que l'espace soit infini."
Les premiers organismes vivants seraient donc apparus sur Terre à peine quelques centaines de millions d'années après la formation de la planète. Les travaux scientifiques contemporains sur les origines de la vie adoptent des approches très diverses, qu'elles soient ancrées dans la biologie, la biochimie ou la chimie3.
L'Univers n'a pas de centre, tout simplement parce qu'il n'a pas de bord. Dans un univers fini, l'espace est courbé de telle manière que si vous pouviez voyager des milliards d'années-lumière en ligne droite, vous finiriez par revenir à votre point de départ. Il est également possible que notre Univers soit infini.
Quand vous levez les yeux vers le ciel, toutes les étoiles que vous voyez appartiennent à la Voie lactée, la galaxie spirale à laquelle nous appartenons.
Quelle est la différence entre espace et Univers ? On désigne par Univers tout ce qui existe. L'espace est cette étendue qui nous sépare des astres, et plus généralement sépare les astres entre eux. Il se situe, de notre point de vue, Terriens, au-delà de la partie de notre atmosphère terrestre. »
Ainsi, l'Univers observable forme une sorte de sphère autour de nous, mais le bord de cette sphère ne marque pas la fin de l'Univers, il marque juste la zone qui n'est pas encore observable pour nous.
Le monde est la matière, l'espace et les phénomènes qui nous sont accessibles par les sens, l'expérience ou la raison. Le sens le plus courant désigne notre planète, la Terre, avec ses habitants, et son environnement plus ou moins naturel. Le sens étendu désigne l'Univers dans son ensemble.
Un quasar est composé de trois grandes parties principales : le trou noir supermassif ,comportant la quasi-totalité de la masse du quasar (de quelques millions à quelques dizaines de milliards de fois la masse du Soleil).
C'est l'astate qui est l'élément le plus rare du monde. En tout et pour tout, il n'existerait en effet que moins de 30 g de ce minerai dans toute la croûte terrestre, selon des scientifiques de l'université d'Oxford. A titre de comparaison, on considère qu'environ 2 500 tonnes d'or sont extraites chaque année.
Une explosion de rayons Gamma génère en quelques secondes une énergie aussi importante que celle du Soleil pendant sa vie entière, soit 10 milliards d'années.
La matière est partout présente autour de nous. Elle est constituée d'atomes, eux-mêmes construits à partir de « briques plus petites », appelées particules élémentaires. L'origine de la matière présente sur Terre et dans l'Univers est expliquée aujourd'hui par le modèle du Big Bang.
Le temps, c'est comme les bonnes choses, cela a peut-être une fin. Selon des astrophysiciens américains et japonais, notre univers pourrait se terminer dans 3,7 milliards d'années.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
C'est le mathématicien britannique John Wallis (1616–1703) qui, le premier, abrégea le concept «infini» par ce symbole. John Wallis a largement contribué au développement des mathématiques de son époque, tant dans leur contenu que dans leur forme.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.