Les arbres sont source de vie. Avec leur fonction de photosynthèse, ils sont qualifiés de producteurs d'oxygène. En absorbant le dioxyde de carbone de l'air, les arbres libèrent de l'oxygène, ce qui est essentiel à la survie de nombreuses espèces, y compris l'espèce humaine.
Les arbres fournissent de la nourriture aux gens et aux animaux (fruits, baies et noix). Les arbres rendent l'air plus respirable en réduisant la matière particulaire (Le rôle des arbres dans la réduction du CO2 dans l'atmosphère, PDF).
C'est une ressource qui fait vraiment partie de notre quotidien. J'ai entendu dire que les arbres avaient un effet protecteur sur leur milieu naturel. Ils contribueraient, entre autres, à la conservation des sols et des réserves d'eau grâce à leurs puissantes racines.
Les arbres protègent également les sols en limitant leur érosion par la structuration racinaire ; ils apportent au sol de la matière organique lors de la décomposition de leurs feuilles et participent au fonctionnement hydrologique des sols.
Les arbres captent aussi les particules fines, ces polluants émis par le chauffage des bâtiments et les transports. Grâce aux arbres, l'air est donc moins pollué, et la planète, protégée ! Mais surtout, les arbres sont un formidable réservoir de biodiversité peuplé de milliers d'espèces végétales et animales.
La respiration
L'arbre respire par tous ses organes, mais essentiellement par ses feuilles : il absorbe de l'oxygène et rejette du gaz carbonique. Les échanges gazeux se font au niveau des stomates, petits orifices ovales microscopiques capables de s'ouvrir et de se fermer selon les conditions extérieures.
Les arbres contribuent à notre bonheur et à notre santé
Selon les données recueillies, marcher dans un environnement forestier plutôt qu'en milieu urbain peut diminuer les symptômes d'anxiété et de dépression, stimuler l'énergie, réduire les taux de cortisol et renforcer la capacité à se remettre du stress.
Elles sont utiles pour fabriquer des meubles, des maisons, du papier. Elles sont des espaces de repos, de promenade et de loisirs. Elles sont de véritables usines de dépollution de l'eau, du sol et de l'air. Elles absorbent du gaz carbonique et rejettent de l'oxygène.
Grâce à son système racinaire, un arbre joue le rôle de stabilisateur pour limiter l'érosion des sols. Il dispose aussi, lorsque les précipitations ne sont pas trop importantes, d'un effet régulateur sur le régime hydrique puisqu'il filtre l'eau et en emmagasine une partie.
Le bois est un matériau reconnu comme étant renouvelable, qui consomme peu d'énergie pour sa production et sa transformation industrielle. La forêt absorbe et stocke durablement le CO2, ce qui lui permet de contribuer à la réduction de l'effet de serre et d'agir face au changement climatique.
Dans la tradition Bouddhiste, l'arbre Bodhi a toujours été vénéré, car c'est sous cet arbre que le Bouddha a atteint l'illumination. L'arbre Bo représente le chemin de l'illumination et, en tant que tel, symbolise la vie.
de santé, les plantes purifient l'air et réduisent les concentrations de CO2 et de composés organiques volatils. L'air est donc plus frais et plus sain. de la chaleur estivale à l'intérieur et autour des bâtiments. Elle réduit le stress thermique et le besoin en climatisation.
Le boisement et le reboisement peuvent assurer des améliorations sociales, économiques et environnementales, contribuer au développement durable (par exemple, accroître la productivité et la résilience des terres) et générer des revenus supplémentaires.
Sans les végétaux, la terre pourrait quand même continuer à exister, mais pas ses habitants ; tous ceux qui se nourrissent directement des végétaux mourront, et tous ceux qui se nourrissent de ceux qui se nourrissent des végétaux mourront aussi.
Cependant, les arbres peuvent également engendrer des coûts environnementaux et monétaires liés aux allergies au pollen, aux émissions de composés organiques volatils, à une plus grande consommation d'énergie parfois due à la proximité entre arbres et constructions, et à leur entretien.
L'écorce des arbres constitue leur première ligne de défense contre le froid. Leur écorce extérieure les protège contre les maladies, les insectes, les orages et les températures extrêmes. Pleine d'alvéoles, elle sert d'isolant pour l'arbre, un peu de la même manière que l'isolant dans les murs de votre maison.
Actuellement, les forêts absorbent chaque année près de 2 milliards de tonnes de dioxyde de carbone, soit 5 % des gaz à effet de serre émis à l'échelle mondiale. C'est loin d'être négligeable. Les forêts jouent aussi un rôle de premier plan dans le remplacement des énergies fossiles (charbon, pétrole, gaz…)
La biodiversité est essentielle pour garder des écosystèmes en bonne santé –plus il y a de différentes espèces animales et végétales, mieux c'est. Cette variété, elle est tout aussi importante dans l'agriculture.
Ce sont les plantes qui produisent l'oxygène nécessaire à la vie sur terre; Les végétaux atténuent les îlots de chaleur urbains; Les plantes filtrent plusieurs polluants atmosphériques, dont le CO2, le SO2, le fluorure, l'ozone, etc.
Des scientifiques ont compté sur les arbres plus de 700 sortes de capteurs sensoriels différents. Les arbres agissent en modifiant sans cesse leur forme et leur composition chimique. Ils n'ont ni yeux, ni nez, ni oreilles et pourtant ils voient, sentent et réagissent aux ondes mécaniques.
En France, le chêne est présent dans de nombreuses forêts. Cet arbre majestueux symbolise la force et la longévité, c'est pour cela qu'il est vu comme l'arbre de la sagesse.
Les forêts hébergent 80 % de toute la biodiversité terrestre. Les animaux, plantes, champignons et bactéries fournissent des services indispensables à la nature et à la survie de l'homme. Ils ont également une valeur économique inestimable.
Le Paulownia a donc la capacité de purifier l'air en produisant plus d'oxygène qu'un arbre classique. Il est également capable de nettoyer les sols en absorbant de nombreuses poussières.
La nuit, à l'inverse, les végétaux respirent : ils absorbent de l'oxygène et rejettent du gaz carbonique, mais en moindre quantité. Il faut noter que les arbres ne consomment pas la même quantité de CO2 à tous les stades de leur vie.