Mais quand on veut demander l'opinion d'une personne, on doit mettre le pronom EN : “Tu EN penses quoi ?” Parce que dans ce cas-là, le verbe PENSER est suivi d'une préposition qui est DE. Tu penses quoi DE ce film, par exemple. – Donc on peut aussi dire : Qu'est-ce que tu en penses ? Ou : Qu'en penses-tu ?
On écrit qu'en lorsqu'on peut le remplacer par que...de cela. Qu'en penses-tu? => Que penses-tu de cela? On écrit quant lorsqu'on peut le remplacer par en ce qui me concerne.
Du verbe penser à la 2 e personne du singulier du présent de l'indicatif, avec inversion du sujet. Équivalent au pluriel : pensez-vous.
s'utilise devant une phrase pour dire qu'on était prêt ...
Il faut écrire : Sa présentation est si confuse qu'on ne sait qu'en penser. Peut-on décomposer « quand » en « que en » ? Oui (« Sa présentation est si confuse qu'on ne sait que en penser »). » On écrit donc « qu'en », et non « quand ».
Interrogation à travers laquelle on sollicite l'avis de notre interlocuteur.
Exemple : ''Qu'en est-il de votre voyage ?'' Le bout de phrase « qu'en est-il » est formé de la forme élidée de la conjonction « que », du pronom personnel « en » et de la forme inversée de « il est ». On se gardera de remplacer « qu'en » dans cette formule interrogative par son homophone « quant ».
Qu'est ce que tu en penses ? ما رأيك؟
PENSANT, adjectif
Qui pense, qui a la faculté de penser.
La conjugaison pense avec la terminaison -e existe elle aussi. Il s'agit du présent, mais conjugué avec je ou avec il , elle , on : je pense , il pense .
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé. IMPARFAIT : Les terminaisons sont toujours les suivantes pour les trois groupes : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient.
L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
quand adv. interr. Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement.
Ce pronom est utilisé à titre de corrélation, pour comparer, dans le temps ou par rapport à une situation donnée, deux choses ou deux personnes. Exemple : Il a été puni, quant à son complice, il sera puni également.
Croire, imaginer, présumer, supposer. Avoir dans l'esprit, porter un jugement, faire état de ce qu'on pense, avoir son idée sur.
Le verbe penser est du premier groupe.
Dire s'il te plait en marocain : 3afak (عافاك).
كم أنتِ جميلة! Au début, t'es belle. أولا، أنتِ جميلة.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Étymologie de « quoi qu'il en ait »
Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.
(Europe) (Canada) Les deux derniers jours de la semaine de travail : jeudi et vendredi ou le dernier jour de la semaine : vendredi.