Emploi de ce qui ou de ce qu'il dans les phrases impersonnelles. Avec les verbes toujours impersonnels, on utilisera la tournure ce qu'il; avec les verbes rester, se passer, arriver, pouvoir, advenir, prendre, résulter, convenir, plaire et sembler bon, le choix entre ce qu'il et ce qui demande qu'on s'y attarde.
Qu'est-ce qui t'arrive est faux. "Qui" est utilisé pour les personnes avec la formule Qui est-ce qui ... ? Vous devrez dire : qu'est-ce qu'il t'arrive.
Lorsque le verbe est suivi de son complément, on écrit plutôt ce qu'il : Jean demande ce qu'il plaît à Claire de faire (de faire est le complément de il lui plaît). Lorsque le verbe est employé seul, on écrit plutôt ce qui : Jean demande ce qui lui plaît.
Dans votre phrase, on écrit : quoi qu'il arrive (dans le sens 1). Quoi que, en deux mots, signifie « quelle que soit la chose qui ou que » (1) et s'emploie devant un verbe impersonnel ou un verbe transitif direct : Quoi qu'il dise ; quoi qu'il fasse ; quoi qu'il arrive.
Dans l'emploi personnel, l'action exprimée par le verbe arriver est faite par un nom ou un pronom qui peut être repris par le pronom relatif qui : Une malchance m'arrive. La malchance qui m'arrive. Ce qui m'arrive.
Avec l'expression sembler bon, on peut employer indifféremment ce qui ou ce qu'il. Toutefois, lorsque les mots bon et sembler sont inversés, on emploie non pas ce qui ou ce qu'il, mais bien ce que. Ces employés et employées font toujours ce que bon leur semble.
Ce qui reste ou ce qu'il reste ? (sommaire)
La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable. Ainsi : ce qui restait d'élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu'il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu'il vous reste à découvrir (Duhamel).
Non, on n'en met jamais, l'orthographe correcte de ce verbe est vous faites . Quelques exemples : vous faites bien de m'écrire , je crois que vous faites erreur , vous faites quoi ? , est-ce que vous faites le pont ? , merci pour tout ce que vous faites , j'aime beaucoup ce que vous faites .
Il faut écrire : Le disciple approuve son mentor quoi qu'il fasse. Si c'est « quoique » qu'il faut écrire, on doit pouvoir le remplacer par « bien que ». Mais « le disciple approuve son mentor bien qu'il fasse » n'est pas une phrase correcte. Il ne faut donc pas écrire « quoiqu'il », mais « quoi qu'il ».
Ainsi, on écrira également « quoi qu'il en soit » en deux mots et non « quoiqu'il en soit ».
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
✓ Qui l' comprend le pronom interrogatif sujet ou le pronom relatif sujet qui et le pronom personnel élidé l' : Pierre parle d'un tableau qui l'intéresse : qui l'a vu ? ✓ Qu'il est la conjonction que ou le pronom relatif que élidés devant le pronom personnel il.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
«Qu'il» est une tournure impersonnelle. On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend ! J'ai préparé ce qu'il faut pour mon voyage.
«C'est ce qu'il me reste» ou «C'est ce qui me reste»? Une règle très simple nous permettra de mettre fin à nos sempiternelles tergiversations. «Qui est le sujet du verbe construit personnellement», indique l'Académie française dans sa rubrique Dire/Ne pas dire . Exemple: «Je ne sais pas ce qui m'a pris.»
_ On écrit ou quand on peut le remplacer par ou bien. exemple : Posez-le sur la table ou la chaise = posez-le sur la table ou bien sur la chaise. _ On écrit où quand il indique le lieu ou le temps. exemple : Où allez-vous ?
Locution adverbiale
De quelque manière que cela soit, quelle que soit la situation, peu importe de quoi il retourne.
L'expression il y a s'emploie très fréquemment à l'oral pour décrire un phénomène ou une situation. Mais, il vaut mieux la remplacer à l'écrit. Tournures pour la remplacer : il existe, il se produit…
Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelle-moi ! = Si tu as besoin de quelque chose/n'importe quoi, appelle-moi ! Quoique (en un seul mot) signifie « bien que, encore que ». Exemples : Quoique vous soyez amis, vous êtes souvent en désaccord.
On n'écrit pas « tu as fais », parce qu'il s'agit du verbe faire, conjugué à la 2e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe faire est fait. « tu as fait » peut être suivi d'un complément d'objet direct ou d'un verbe à l'infinitif.
L'orthographe correcte est on te fait de gros bisous .
Il faut écrire : La banquette qu'elle s'est fait livrer ne tient pas dans son salon. « Faite », participe passé du verbe « faire », est suivi immédiatement d'un infinitif, « livrer ». Il ne s'accorde donc pas, et on n'écrit pas « qu'elle s'est faite livrer », mais « qu'elle s'est fait livrer ».
Midi : « le midi », « ce midi »
On peut aussi dire un midi tout comme on dirait un matin ou un soir. On peut utiliser l'article avec certaines prépositions : vers le midi (Stendhal, Queneau, Barbey), sur le midi (Sand, Gautier, Taine).
Exemples : la décision qu'elle a prise , les photos qu'elle a prises . Mais quand le mot qui désigne ce qu'elle a pris est après le verbe, pas d'accord : elle a pris une décision , elle a pris des photos .
On écrit elles se sont bien passées , avec le mot passées au féminin pluriel.