Le perce-oreille se nourrit des matières organiques en décomposition et des feuilles fanées. Il est aussi attiré par les pucerons qui errent dans le jardin. De ce fait, ceux qui souhaitent se débarrasser de ces parasites peuvent faire appel aux pince-oreilles.
Le plus souvent, les perce-oreilles pénètrent dans les maisons par les fissures et les crevasses qui constituent une voie d'accès et un point d'entrée de l'extérieur vers l'intérieur. Ces fissures peuvent être des portes et des fenêtres mal scellées, ou des fissures plus graves, comme celles de vos fondations.
Réparez les robinets extérieurs et les descentes d'eaux pluviales qui fuient et veillez à ce que les drains soient orientés de manière à éloigner l'eau des fondations. Entretenez votre pelouse et votre jardin en éliminant les débris et la matière organique en décomposition afin de repousser les perce-oreilles.
Pour attirer les pince-oreilles et protéger naturellement vos plantes, arbres et arbustes des pucerons ou des psylles, installez des "nichoirs" à forficules à partir de mai ou juin : un pot de fleur retourné et rempli de paille, de foin ou de feuilles sèches fera très bien l'affaire.
C'est excessivement rare mais c'est arrivé suffisamment souvent pour que les paysans d'autrefois aient remarqué ce phénomène et aient contribué à donner ce nom-là. Comme ils sont capables de rentrer dans tous types de fente, dont celle formée par notre oreille, ça peut arriver.
Le perce-oreille (aussi appelé forficule) préfère les endroits frais, sombres et humides, sous les pierres par exemple, parmi les déchets de jardin, dans la tubulure des meubles extérieurs, les fissures et les crevasses. Il sort souvent à la tombée du jour, en quête de nourriture.
Les perce-oreilles passent souvent pour des insectes agressifs qui piquent et qui mordent, ce qui est probablement attribuable à leurs pinces et au nom qui leur est attribué. Pourtant, les perce-oreilles n'attaquent jamais les humains : ils ne sont pas du tout dangereux.
Les prédateurs des forficules sont les oiseaux, les lézards, les musaraignes et autres mammifères insectivores, contre lesquels les cerques défensifs n'ont guère d'utilité.
Les perce-oreilles se cachent à l'intérieur de petites cavités dans le sol ou dans des lieux sombres pendant la journée et ils sortent préférentiellement la nuit pour se nourrir. Ils sont très communs dans les jardins et se rencontrent souvent sous les tas de bois ou de pierres et sous les écorces.
Le ou la forficule (Forficula auricularia Linnaeus, 1758) est un insecte dermaptère polyphage de la famille des Forficulidae.
Le dioxyde de carbone conduit le moustique femelle à commencer à chercher un hôte, en faisant des allers-retours pour suivre ce gradient de concentration jusqu'à la source. En d'autres termes, les moustiques bourdonnent autour de nos têtes, car c'est là que nous expulsons le plus de dioxyde de carbone.
Pulvérisez un mélange d'eau avec vinaigre ou citron au-dessus du nid de fourmis. Répétez de nombreuses fois l'exercice. L'odeur puissante de ces substances surpasse les phéromones présentes sur la fourmilière, la colonie s'éloigne.
Enroulez du carton ondulé autour de vos troncs d'arbres ou d'arbustes (face ondulée contre le bois). Les perce-oreilles viendront se loger dans les ondulations du carton. Il vous suffira ensuite de les récupérer, et de vous en débarrasser si vous n'avez pas de rosiers ou autres plantes « à pucerons » à leur proposer.
Originaire d'Amérique du Sud, le tamanoir ou le fourmilier géant est un mammifère à l'allure détonante : une tête conique, une très longue langue, et une queue en forme de plumeau.
8) Le vinaigre blanc, une solution simple
Pour éloigner les fourmis, vous pouvez tout simplement pulvériser du vinaigre blanc, pur ou dilué avec de l'eau, aux endroits que fréquentent les fourmis. La forte odeur les repoussera.
Cela peut sembler étrange, mais les fourmis ne traversent pas une ligne de craie. Elles en sont tout simplement incapables. Tracez donc une ligne de craie épaisse au niveau des points d'entrées, sur le rebord de vos fenêtres notamment.
Si vous essayez d'écraser un moustique, il ne reviendra pas vous piquer. C'est, en tout cas ce que tend à démontrer une étude américaine. Une piste intéressante dans la lutte contre le virus Zika, la dengue ou le chikungunya.
Le truc, c'est que certains ne s'en rendent même pas compte, comme l'explique notre entomologiste : « Quand le moustique pique, il injecte un peu de sa salive, dont l'effet est anesthésiant. Lorsque le corps commence à se débarrasser de cette substance étrangère, une sensation de démangeaison peut apparaître.
Le groupe sanguin
Une étude a constaté que les personnes de type O et A étaient plus susceptibles d'attirer les moustiques que ceux de type B. 85 % des gens sécrètent un signal chimique à travers leur peau qui indique leur type de groupe sanguin.
Huile végétale
Les pince-oreilles raffolent de l'huile végétale. L'astuce de grand-mère est donc de faire un piège avec de l'huile. - Récupérez une petite boîte dont le rebord n'est pas très haut. Par exemple, une boîte de sardines, une boîte de thon, le couvercle d'un pot, un pot de yaourt peuvent faire l'affaire.
Selon une étude américaine parue dans le magazine Nature Communications, certaines teintes ont le pouvoir d'éloigner les moustiques. Ainsi, il faudrait porter des vêtements de couleur bleu clair ou pastel, vert clair, mauve ou encore blanc, pour éviter les piqûres de moustiques.
FUIT LA COULEUR BLEUE »
Le bleu ne fait pas "fuir" les moustiques. Il aurait même tendance à les attirer, puisque c'est une couleur sombre qui capte la chaleur. Ainsi, avec un vêtement clair, on est censé moins attirer les moustiques car on capte moins la chaleur.
Si vous grattez autour d'un bouton de moustique, le cerveau perd l'information et les démangeaisons s'arrêtent. Mais prudence, car gratter intensément peut permettre aux bactéries de traverser la peau et par conséquent provoquer une infection.
Les œstrogènes
La sécrétion d'œstrogènes pourrait également jouer un rôle dans le « choix » du moustique concernant la personne à piquer. Les femmes seraient plus sujettes aux piqûres au milieu de leur cycle menstruel et lorsqu'elles sont enceintes.