Les autres relations interdites comprennent l'interdiction d'alliances matrimoniales avec certaines ethnies sur quelques générations ou à jamais, les restrictions ressortant des lois de pureté familiale comme l'interdiction pour un homme marié d'approcher son épouse lors de ses menstrues ou après son accouchement, ...
Le porc, le lapin, le cheval, etc., sont interdits. Par ailleurs, les poissons ne comportant ni nageoires ni écailles (anguilles, raies?), les reptiles, les mollusques sont exclus. L'animal, abattu rituellement, doit être vidé de son sang - porteur du principe vital, l'âme de la chair.
L'interdiction du fromage est due à la double précaution de faire ajouter par un Juif au lait casher de la présure d'origine animale (extraite de l'estomac des ruminants) dont il est établi qu'elle provient d'animaux casher ; de nos jours, la présure casher est obtenue par reconstitution de conditions dans lesquelles ...
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Le principe commun à ces interdits serait alors celui du respect de l'ordre divin : « Il y a dans la création, un ordre naturel des choses, et il nous est par suite interdit de mélanger certaines espèces, certaines substances que le créateur a voulu séparer.
L'interdit du mélange lacté/carné
Cet interdit se rapproche également de celui d'abattre le même jour une mère et son petit, rejoignant ainsi l'interdiction de cruauté envers les animaux. Enfin, une interprétation plus récente est d'ordre symbolique : le refus de mélanger la vie (le lait) et la mort (la viande).
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
La chair des animaux impurs et leurs dérivés (lait et œufs) : seuls les mammifères qui ruminent et qui ont le sabot fendu sont autorisés. Le lapin est interdit ainsi que le porc, il a bien le sabot fendu mais il ne rumine pas. Tous les autres mammifères sont également interdits.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin.
Dans la religion juive, les aliments carnés et lactés ne sont jamais associés. On ne peut par exemple consommer, après un repas à base de viande, un dessert à base de beurre. L'utilisation d'huile ou de margarine est donc très courante dans la cuisine juive, même pour la pâtisserie.
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie. Il est interdit de cuire les aliments. Pour les juifs les plus religieux il est aussi interdit de conduire un véhicule, de faire la cuisine (en général) et même d'allumer l'électricité.
Sikhisme. Le refus de consommation de viande halal est un des interdits que tous les sikhs doivent suivre.
Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Les hindous, pour qui la vache est sacrée, ne mangent pas de bœuf. Il y a aussi des végétariens qui choisissent de ne pas manger d'animaux, ni viande ni poisson.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Ne peuvent être consommés que : poules, oies, dindes, quelques espèces de canards domestiques et de pigeons.
Traditionnellement, on mange du poulet, symbole de l'expiation, sous toutes ses formes : potage, couscous, poule-au-pot, tajine, etc. Il est possible de cuisiner tout ce qu'on veut ce jour-là, tant que c'est à base de poulet ! Cette célébration est une grande fête de partage en famille et entre amis.
L'autruche s'enfuit.
Il est d'abord important de préciser qu'au stade adulte, le volatile n'a pas véritablement de raison de se cacher car il connaît peu de prédateurs. S'il est pris en chasse par de grands carnivores (hyène, léopard, lion…), son meilleur atout reste la fuite.
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
L'œuf est un symbole de vie car il englobe la vie à venir qui, par ailleurs, en éclot. Par sa forme ovale qui suggère l'infini, il représente la renaissance et la régénération du cycle de la vie.
Tous les aliments provenant du lait ou contenant du lait sont classés comme produits laitiers, y compris le lait, le beurre, le yogourt et tous les fromages (durs, mous et crémeux). Les produits laitiers doivent répondre aux critères suivants pour être considérés cachères : Ils doivent provenir d'un animal cachère.
Concernant les poissons, il n'y a pas de cachérisation, contrairement à la viande. Un poisson est ou n'est pas cacher : "Parmi tout ce qui est dans les eaux, tout ce qui n'a ni nageoires ni écailles, vous ne mangerez pas, ce sera impur pour vous." (Deutéronome, XIV, 9-10).