Ce n'est qu'au IVe siècle qu'il commence à avoir une place privilégiée et fixe. Dans les églises chrétiennes, le maître-autel, qui est l'autel principal, est toujours placé au centre de l'édifice, dans ce qu'on appelle « le chœur », la partie réservée au clergé.
Un autel est une table consacrée sur laquelle, dans la liturgie catholique, le prêtre célèbre le saint sacrifice de la messe, ou eucharistie, comme mémorial de la dernière Cène du Christ et renouvellement non-sanglant du sacrifice de la Croix.
Dans l'Antiquité, construction en pierre de forme cylindrique ou quadrangulaire, sur laquelle on déposait les offrandes à la divinité. 2. Dans le culte catholique, table de pierre ou de bois sur laquelle est célébrée la messe. 3.
Les calices des premiers temps du christianisme sont faits de matières courantes, bois ou argile. Ainsi, le calice de saint Jérôme est en argile blanche. Par la suite, Le calice est souvent en matière noble, or, argent ou vermeil, parfois incrusté de pierreries ou d'émaux.
Préparer les ornements incombe habituellement au sacristain ou à un servant de messe. Celui-ci dispose alors sur le meuble de la sacristie (ou chasublier) les ornements du prêtre de la manière suivante : Il étend d'abord la chasuble à plat sur le meuble, en mettant le dos de celle ci vers le haut.
Il s'agit des linges d'autel. Confectionnés en tissu, ce sont généralement quatre pièces assorties entre elles : le corporal, la pale, le purificatoire et le manuterge. Il y a ensuite d'autres objets liturgiques en tissu qui peuvent être assortis à ces quatre, comme la nappe d'autel, l'amict et d'autres encore.
La custode est un vase liturgique ayant la forme d'une petite boîte ronde en métal précieux ou doré ou émaillé, utilisé par les ministres de la communion, prêtres, diacres ou laïcs députés à cet effet, pour transporter un petit nombre d'hosties consacrées, en vue de distribuer la communion en dehors de l'église ( ...
Le ciboire (du latin ciborium, lui-même du grec kibôrion, qui signifie coupe), est un vase sacré, utilisé dans plusieurs liturgies chrétiennes.
La différence entre un calice et un ciboire se situe dans l'usage différent attribué à chaque objet. Ils sont tous deux destinés à conserver les espèces consacrées, mais alors que le calice est destiné à conserver le sang, le ciboire conserve le corps.
Il lui est formellement interdit de toucher l'autel et, dans certaines traditions, la table de préparation. Il est rare qu'il puisse être amené à toucher les vases sacrés. Il doit veiller à être le plus discret possible lors de son service et à faire preuve d'une extrême solennité pendant les offices.
Voile de calice : étoffe destinée à couvrir le calice et la patène. Voile huméral : longue écharpe de soie qui se place sur les épaules du prêtre et dont les extrémités servent à couvrir les mains. Il est utilisé pour porter le Saint Sacrement.
Le plan du bâtiment est souvent en forme de croix (croix latine pour les catholiques et croix grecque pour les orthodoxes), mais il existe bien d'autres plans (plan basilical). Cette église peut porter le nom de basilique, cathédrale, abbatiale, chapelle, selon son usage et son histoire.
La messe comporte deux parties principales : la liturgie de la Parole et la liturgie eucharistique, qui sont considérées comme étroitement liées et formant « un seul acte de culte ».
Crucifix est un terme issu du latin ecclésiastique du XII e siècle crucifixus, participe passé du verbe crucifigere, qui signifie « fixer sur une croix ». Un crucifix est donc une croix supportant une statuette de Jésus-Christ dans la posture de la crucifixion.
Interjection. (Québec) (Vulgaire) Juron manifestant la colère, l'indignation, la surprise ou l'étonnement s'il est situé en début de phrase. Précédé du pronom « en », il peut également signifier un grand volume.
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
Il y en a Qui Roule pour le plaisir et d'autres Qui Roule pour aller au travail. Il y a ceux et celles Qui Roule pour la bière d'après-sortie et d'autres Qui Roule pour gagner des courses.
Quand les célébrations des églises sont devenues plus élaborées, et les cérémonies plus coûteuses, il est devenu habituel que le vin soit un vin blanc car il ne tachait pas les tissus de l'autel, souvent très coûteux. Le vin peut être plus ou moins doux.
En général, les prêtres choisissent des blancs liquoreux de type Sauternes ou Monbazillac. Certains optent pour des rouges puissants, un Cahors par exemple supportant mieux la dilution à l'eau dans le calice (le vin de messe est toujours mélangé à de l'eau contenue dans des burettes).
Se range dans le tabernacle. Plat rond, en métal, servant à l'oblation de l'hostie.
Le manuterge en tissu plus absorbant, est destiné à essuyer les mains du prêtre lors du lavement des mains, il est posé près de la burette d'eau. Le corporal, déployé au moment de l'offertoire et replié après la communion, est destiné à recevoir les offrandes qui deviendront le corps et le sang du Christ.
Il se plie en trois dans le sens de la longueur, puis en deux dans l'autre sens, de telle manière que soit visible sur la partie supérieure la croix brodée au centre.
On appelle attributs des saints des caractéristiques figuratives (objets, animaux) utilisées dans les représentations des saints chrétiens.