Un système de chauffage vétuste, mal réglé ou mal entretenu peut très vite devenir un danger en matière d'émission de CO2. Le collectif « Projet CO2 » recommande ainsi d'éviter une concentration en intérieur supérieure à 1000 ppm.
Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal raccordés.
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
Est-ce que le monoxyde de carbone monte ou descend ? Et pour cause : le monoxyde de carbone a la même densité que l'air. Il se mélange donc avec l'air ambiant, ne monte pas, et est plus concentré dans la zone où l'air est le plus brassé, c'est-à-dire au coeur de la pièce.
Autre règle à adopter : aérer son logement tous les jours pendant au moins une dizaine de minutes. Et ce, même s'il fait froid ! En plus de vous protéger des intoxications au monoxyde de carbone, aérer l'intérieur de sa maison permet d'apporter de l'oxygène et de prévenir de la prolifération des virus et des bactéries.
Au-delà de 40 000 ppm : l'exposition à ces concentrations élevées provoque un grave manque d'oxygène qui peut entraîner des lésions cérébrales permanentes, le coma, voire la mort.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Pour réduire les émissions de GES de son logement, l'idéal est d'opter pour un système de chauffage reposant sur les énergies renouvelables. On peut notamment penser aux pompes à chaleur aérothermiques et aux dispositifs fonctionnant à l'aide du bois-énergie comme les poêles à bois ou les chaudières à granulés.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
Les activités telles que l'utilisation de carburants d'origine fossile (charbon, pétrole ou gaz), l'élevage, l'utilisation de produits chimiques et la déforestation sont en effet à l'origine d'émissions de GES.
Le CO2 est majoritairement émis par la combustion d'énergie. Le chauffage, l'industrie, les transports… toutes les activités énergivores émettent du CO2. Au total, elles contribuent à plus de 66% de émissions de GES des activités humaines.
Le monoxyde de carbone se dégage lorsque des appareils et des véhicules brûlent un combustible comme le propane, le bois, le mazout, etc. Seul un avertisseur de monoxyde de carbone peut détecter la présence de ce gaz et vous la signaler.
Lorsque le détecteur atteint le premier seuil (15 – 20 ppm), le débit de ventilation augmente à 4 changements d'air à l'heure ou plus. Au second seuil (100 ppm), le système peut ouvrir automatiquement les portes en plus de faire sonner l'alarme.
à partir d'une concentration de CO2 de 2 % dans l'air, l'amplitude respiratoire augmente et des maux de tête peuvent se faire sentir après quelques heures ; la valeur d'exposition à ne pas dépasser lorsque le taux de CO2 est de 3 % est de 15 minutes.
A noter : les énergies renouvelables et le nucléaire n'émettent pas de CO2 en produisant de l'électricité. Mais la construction des infrastructures qui permettent leur fonctionnement, elle, émet du dioxyde de carbone.
La viande de boeuf, l'aliment à forte empreinte
Premier constat, la viande est bien plus émettrice de gaz à effet de serre que tous les autres aliments (céréales, légumineuses, fruits et légumes).
Le secteur énergétique
Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES. Cette statistique est mondiale, car en France, c'est le secteur des transports qui pollue le plus, et la production énergétique arrive en seconde position, ceci grâce aux centrales nucléaires, qui ne rejettent pas de CO².
L'idéal est qu'il se situe entre 1m et 3m à l'horizontal de la source. Dans le cas où certains espaces de votre habitation sont éloignés du détecteur et fréquemment occupés, il est également conseillé de prévoir un détecteur de monoxyde de carbone pour chacun de ces espaces.
Quelles sont les sources ? Les principales sources de monoxyde de carbone en milieu extérieur sont le trafic routier et le chauffage résidentiel, notamment le chauffage au bois.
La réponse directe à la question ci-dessus est: oui. Votre poêle à gaz, à granules ou à bois, votre encastrable ou votre foyer produira du monoxyde de carbone. Tous les appareils de chauffage doivent évacuer leurs gaz de combustion via une cheminée vers l'extérieur.
Une vitre est encrassée, du noir sur les parois, des morceaux de bois non consumés, sont les signes d'une mauvaise combustion, de perte d'efficacité et aussi de pollution.
Parmi ces chiffres, l'activité la plus polluante est la production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné, précise Eurostat.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).