Quand on décompose la phrase, on peut en tirer au moins trois conditions pour juger qu'une œuvre est belle : 1) elle provoque en nous un sentiment de plaisir ; 2) ce plaisir est partagé par tous (universellement) ; 3) il relève d'abord de notre sensibilité et non de notre seul entendement (sans concept).
La musique est motivante et source de plaisir
Elle procure une sensation de plaisir en agissant sur le système de récompense, grâce aux neurones dopaminergiques qui libèrent de la dopamine dans le cerveau.
La beauté suppose l'équilibre, la mesure alors que le sublime renvoie à l'excès, à quelque chose que nous n'arrivons pas à maîtriser tellement il y a de force. Par exemple, pour certains la musique de Richard Wagner est sublime. C'est tout le contraire de beau, car on est écrasé par une force qui nous submerge.
Pour satisfaire à cette définition, le son musical doit avoir une hauteur fixe, une intensité et une durée, et son timbre, qui regroupe certaines propriétés harmoniques et d'enveloppe sonore, lui donne un caractère reconnaissable.
Le tableau 1-1 dénombre quatre caractéristiques physiques principales intrinsèques à la source sonore : • Le temps (durée du son, début du son). La hauteur (son plus ou moins grave ou aigu). Le timbre (son plus ou moins riche ou pauvre...). L'intensité (son plus ou moins fort).
Les fondements au coeur de la théorie musicale sont: La mélodie. L'harmonie. Le rythme.
Sera qualifiée de bonne musique, une musique qui fait écho à des émotions, des sentiments, des souvenirs chez la personne qui l'écoute. Car de tous temps, il y a eu d'excellentes compositions comme de très mauvaises.
Née des émotions, elle module notre humeur, développe nos compétences, renforce les liens sociaux et peut même provoquer des orgasmes ! Amateurs ou professionnels, et quel que soit notre âge, nous possédons tous un cerveau musical qui ne demande qu'à nous aider au cours de notre existence.
La musique, c'est toute activité culturelle dont le but est de joindre sons et silences. Rythme, hauteur, timbre, nuances… plusieurs ingrédients permettent de valoriser l'art musical qui s'érige d'ores et déjà en tant qu'un modèle de poésie à part entière.
Lisez-le, relisez-le, si possible à haute voix. Un crayon ou des marqueurs à la main, soulignez les premières observations. Mettez en évidence les répétitions de mots, de sons, de parties de mots, les alternances de rimes, d'idées, les mots-thèmes et leurs réseaux lexicaux, les oppositions, la progression.
« Très beau concert émouvant et revigorant ! » « Bravo et un grand merci. Quel spectacle et qu'elle aventure fabuleuse pour les jeunes. » « Bravo, C'était top.
La musique est un art et une activité culturelle consistant à combiner sons et silences au cours du temps. Les paramètres principaux sont le rythme (façon de combiner les sons dans le temps), la hauteur (combinaison dans les fréquences), les nuances et le timbre.
Elle a le pouvoir de changer notre humeur, de libérer notre créativité et de nous motiver, en plus d'être un excellent aide-mémoire. Que l'on soit adulte ou enfant, la musique fait du bien et nous aide à développer nos connaissances et nos aptitudes face à certaines émotions.
Guy d'Arezzo, le père de la musique.
La musique favorise les relations au-delà des mots. Elle est intergénérationnelle et son action est multiple. Source d'expériences corporelles, sensorielles, sociales car son plaisir peut être partagé avec ses proches, elle marque les étapes de la vie émotionnelle et contribue à l'identité d'une personne.
La musique provoque des effets sur le cerveau, en particulier une réaction chimique qui libère des substances associées au plaisir et à la récompense, telles que la dopamine, les endomorphines. Elle a aussi un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire.
Car des études ont montré que lorsque nous écoutons de la musique, notre cerveau libère de la dopamine, molécule qui nous rend heureux. En conséquence, la musique, à travers les tons et les rythmes, active des zones du cerveau similaires à la joie.
Dans la musique occidentale, douze fréquences fondamentales différentes portent un nom. Sept d'entre elles sont considérées comme les principales et ont pour noms : do, ré, mi, fa, sol, la et si. Elles correspondent aux harmoniques naturels lorsque la note do est jouée.
La musique existe depuis la préhistoire mais elle ne laisse pas de trace. Il est donc difficile de raconter son histoire. On peut imaginer que les premières mélodies ont été chantées par des hommes préhistoriques. Puis ils ont utilisé des morceaux de bois ou de pierre et les ont tapé les uns contre les autres.
On la trouve avec la célèbre proposition de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), qui a pesé sur toute la pensée ultérieure, d'Emmanuel Kant à Frédéric Nietzsche : « La musique est l'art d'accommoder les sons de manière agréable à l'oreille » (Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, 1751-1776).
Le fait que deux sons dont les fréquences fondamentales sont dans le rapport 2 ont la même consonance était pour eux une preuve que l'harmonie de l'univers est régie par les nombres. Selon la théorie pythagoricienne, les accords musicaux les plus harmonieux s'expriment par les rapports arithmétiques les plus simples.
Par exemple, lorsque l'on dit qu'un son est brillant, mat, sombre ou coloré, on utilise le champ lexical du visuel. À partir de là, on élargit sensiblement le nombre de possibilités. On peut réutiliser les champs lexicaux de tous les autres sens (visuel, physique, olfactif, gustatif).
Le commentaire doit sans cesse passer du 1er extrait (connu) au 2ème extrait en montrant les points de comparaison et les différences.. Il ne faut pas découper l'exposé en deux parties traitant des deux extraits à la suite. Il est particulièrement opportun d'utiliser sa voix ou le piano pour donner un exemple sonore.