Le nom du Dieu d'Israël et de Juda apparaît près de 6800 fois dans la Bible hébraïque sous la forme du Tétragramme יהוה, c'est-à-dire YHWH. Ce nom est aussi attesté, sous une forme incomplète (Yah), dans un grand nombre d'anthroponymes.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Le nom « Dieu le Père » est donc considéré par les chrétiens non pas comme l'existence d'un Dieu différent des autres, mais comme l'une des personnes de Dieu. D'ailleurs, l'Évangile nomme Dieu le Père uniquement par « Père » ; c'est la théologie qui, dans un but de simplification, affirme « Dieu le Père ».
A leur demande Moïse leur révéla le nom de ce dieu qui à travers les siècles resta l'apanage d'Israël. Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH.
Tout le monde peut appeler Dieu. » Il vous sera toutefois plus simple de joindre le presbytère de Chambly : 09-54-98-31-60.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Dans un texte des apocryphes, les apôtres rapportent le récit que Jésus leur a fait de la vie et de la mort de son père Joseph.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
L'amour au sens moderne est né en Aquitaine à la fin du XIe siècle. Il est l'invention de Guillaume IX, comte de Poitiers, duc d'Aquitaine et grand-père d'Aliénor, aventurier et rimailleur.
L'araméen, la langue de Jésus. L'araméen est surtout connu comme la langue de Jésus. Cette langue sémitique, originaire de la région du cours moyen de l'Euphrate, avait essaimé jusqu'en Syrie et en Mésopotamie entre 800 et 600 avant Jésus-Christ.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...
Expression de surprise, admiration, crainte, joie, choc, etc. Elle cherchait son souffle, se tamponnant le front avec un mouchoir de coton, les cheveux frisottés d'humidité, l'air effaré.
Il est affirmé dans les hadiths qu'Allah a un nom plus grand, et que s'il est supplié par lui, il l'exauce, et s'il est appelé par lui, il répond. Il est l'un des beaux noms de Dieu.
Yahweh est une divinité nationale ou ethnique vénérée dans les royaumes d'Israël et de Juda. Son sanctuaire principal est le premier Temple de Jérusalem. Dans la Bible hébraïque, Yahweh (YHWH) est présenté comme le Dieu national des enfants d'Israël.
Cette expression fait partie des nombreux jurons blasphématoires. Elle nomme expressément Dieu que la tradition chrétienne interdit de nommer hors de la prière. Cette interpellation colérique constitue ainsi un blasphème.
à Bethléem en Judée » c'est-à-dire le 25 décembre.
Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour. Il ordonne progressivement sa création pour y installer l'Adam, un mâle et une femelle qu'il a créés à son image afin de régner sur sa création.
D'après l'écrivain Gerald Messadié, un démiurge est au-dessus de Dieu et du Démon, soit au-dessus du Bien et du Mal.
Il prie dans le désert, il prie sur la montagne, il prie seul ou avec ses amis. Pour lui, prier est une démarche naturelle et essentielle. Il prie Dieu pour le bénir, pour le supplier, ou pour lui donner sa vie…
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Dans le christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s'agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C'est la présence de l'Esprit que Jésus a promise dans l'Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).
L'hébreu est premier, mais la Torah s'ouvre d'emblée sur une pluralité de langues et d'interprétations. Le rabbin Delphine Horvilleur va même plus loin : elle explique, dans le catalogue, qu'il existe dans la tradition juive différentes versions de ce que les Hébreux ont entendu au mont Sinaï. Oui.
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains. 2. Représentation d'une divinité : Des dieux en pierre.
YHWH/JÉHOVAH : L'Éternel
Il n'y a jamais eu personne avant Lui et Il n'y aura jamais personne après Lui.