D'apparence logique, les faux arguments ne visent pas la vérité mais la victoire, ils ont pour objectif de permettre à leur utilisateur d'avoir raison sur l'autre, d'emporter la partie, par esprit de domination, par manque d'assertivité, par manque de confiance, par orgueil, pour ne pas perdre la face...
À l'inverse de l'argument qui a une portée générale, l'exemple expose toujours un cas particulier. L'exemple vient illustrer la pertinence de l'argument à travers un cas concret, dans une application vérifiable. L'exemple seul ne peut pas justifier une thèse.
Les arguments sont les raisons que l'on donne pour démontrer la justesse et la pertinence de la thèse. Les exemples illustrent et valident un argument en donnant des faits précis, concrets.
Un argument est un énoncé, utilisé pour justifier ou rejeter une proposition, une idée, un point de vue. Son but est de provoquer l'adhésion du public ou de modifier son opinion. Un argument peut être un énoncé présentant une vérité acceptée par tous et qui ne peut pas être contestée.
L'intention affirmée de l'auteur
Dans les cas les plus simples, l'auteur affirme d'une manière ou d'une autre qu'il a l'intention de persuader son public, de soutenir une idée, ou au contraire de s'y opposer. Il est alors très probable que le texte contiendra des arguments.
L'« exemple » est un argument s'appuyant sur un cas particulier et concret. C'est un argument très courant permettant d'étayer une thèse. Il peut être aussi un moyen de réfutation, on l'appelle alors le « contre-exemple ». Plus rarement, il permet de faire une preuve par l'exemple.
Raisonnement, preuve destinés à appuyer une affirmation : Des arguments convaincants. 2. Moyen auquel on recourt pour convaincre quelqu'un, pour l'amener à modifier sa conduite : Comme ultime argument, il sortit un billet de cinquante euros.
Les méthodes de la contre-argumentation
la première c'est l'accord partiel, pour montrer qu'on est d'accord et là, on va utiliser des mots comme : « il est vraisemblable que », « bien sûr », « sans doute », « considérons comme admis que », … Ce sont des petites phrases qui vont vous aider justement à le réaliser.
Un argument fallacieux est un argument qui a des apparences logiques, mais dont la structure permet en réalité de tirer des conclusions fausses, dans certains cas de figure. Être capable d'identifier ce type d'arguments permet de les réfuter et d'exercer ton esprit critique.
➙ indécis, lâche, mou, velléitaire, veule.
Pour introduire le premier argument : Tout d'abord - En premier lieu - Pour commencer... Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche...
Ce sont : pourtant, bien que, quoi que, tandis que, toutefois, cependant, néanmoins, en revanche, au contraire, malgré tout, certes, etc.
– lire plusieurs fois le texte et noter la thèse ; – entourer les connecteurs logiques, ce qui amène à repérer la structure argumentative ; – surligner les différents arguments. Une fois les différentes étapes de préparation effectuées, commence véritablement le travail de synthèse et de reformulation.
La structure de base de l'argumentation correspond à son organisation interne, c'est-à-dire à la forme générale de la relation du ou des arguments à la conclusion, V. Modèle de Toulmin ; Convergence – Liaison – Série; Épichérème.
Un sophisme est un procédé rhétorique, une argumentation, à la logique fallacieuse. C'est un raisonnement qui porte en lui l'apparence de la rigueur, voire de l'évidence, mais qui n'est en réalité pas valide au sens de la logique, quand bien même sa conclusion serait pourtant « vraie ».
Définition de je-m'en-foutiste
omniscient adj. Qui sait tout ou paraît tout savoir.