le stress, l'anxiété et un syndrome dépressif ; une mauvaise hygiène de vie : la consommation d'alcool, de tabac ou de certaines drogues, des carences en vitamines… ; la prise de certains médicaments : somnifères, antidépresseurs, anxiolytiques…
Il faut plutôt s'inquiéter quand l'entourage vous met en garde contre votre attitude : pertes de mémoires fréquentes et sur des sujets que vous maîtrisez habituellement, attitudes bizarres, rangements improbables, troubles du langage et de l'orientation dans des lieux que vous maîtrisez parfaitement jusqu'à présent.
« Les troubles de la mémoire surviennent à tout âge. Dans l'immense majorité des cas, ils sont bénins et reflètent la fatigue, le manque de sommeil, le stress ou de banals problèmes de concentration », rassure le Dr Jean-Pierre Danjean.
Aussi appelé l'examen de Folstein, MMSE est l'abréviation du nom anglais de l'examen Mini Mental State Examination. Cette évaluation a été élaborée par Folstein en 1975. Il s'agit d'un test simple et standardisé pour vérifier la performance des fonctions cognitives des sujets et évaluer leur déficit.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Ces troubles peuvent survenir à cause d'une maladie affectant la mémoire. Ils peuvent également être d'origine émotionnelle. Stress, fatigue, anxiété peuvent altérer la capacité à mémoriser, de même qu'une alimentation carencée, un problème d'alcoolisme, un excès de médicaments ou une fatigue excessive.
Comment prévenir les troubles de la mémoire ? Manger sain : Consommer des aliments riches en antioxydants et oméga-3 contribue au contrôle de l'oxydation des cellules du cerveau. Faire du sport : L'exercice physique participe au développement des neurones et baisse le risque de troubles de la mémoire.
Chez les personnes présentant une perte de mémoire, certains symptômes sont sujets de préoccupation : Difficulté à accomplir les activités quotidiennes habituelles. Difficulté à se concentrer et fluctuation du niveau de conscience (symptômes qui évoquent le syndrome confusionnel)
Les hypermnésiques décrivent leur mémoire comme fonctionnant par associations incontrôlables. Leur mémoire ne garde pas le souvenir de chaque élément de leur vie. Elle est aléatoire et peut parfois retenir des événements perçus comme insignifiants.
Les troubles de la mémoire liés au vieillissement, on l'a vu, sont généralement bénins. Ils peuvent être toutefois être aggravés par certains troubles psychologiques, comme la dépression ou l'anxiété. Les troubles du sommeil sont également mis en cause car ils affectent le stockage des informations.
R : La dépression n'est pas une maladie de la mémoire, comme la maladie d'Alzheimer, souvent considérée comme le prototype de ces maladies. Les troubles de l'humeur vont toutefois entraîner des troubles de la mémoire du fait des difficultés de concentration et du ralentissement idéomoteur.
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.
La vitamine C et la vitamine D protègent le cerveau contre le stress oxydatif et le déclin cognitif. Les vitamines du groupe B favorisent l'absorption du glucose par l'organisme et le transport de l'oxygène, et aident à la fabrication de certains neurotransmetteurs.
Les symptômes de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) ou maladie de Charcot se caractérisent par une paralysie complète des muscles des bras, des jambes et de la gorge entrainant une incapacité à marcher, manger, parler ou même respirer qui s'installe progressivement.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.
Cela peut paraître étonnant, mais adopter une alimentation saine peut avoir un impact direct sur le cerveau. C'est ce que nous dit le Docteur Pierre Maquet, chef du service de Neurologie du CHU de Liège : "Une des principales pathologies qui endommage le cerveau est en effet l'accident vasculaire cérébral (AVC).
Le fruit le plus riche en antioxydant est le bleuet, suivi par la canneberge, la mûre, la framboise et la fraise. Des études menées avec des animaux de laboratoire ont démontré que la consommation de bleuets pouvait aider à freiner la perte de mémoire et même renverser le processus.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.
Pommes de terre, pain, pâtes, riz, autant d'aliments rassasiants, qui entretiennent le cerveau, car ils permettent de tenir le coup sur la journée et de faire le plein d'énergie. Vous pouvez opter pour des céréales complètes.
Le ginkgo biloba
Ses nombreux principes actifs sont réputés pour agir sur toutes les pertes de mémoire, y compris les troubles plus graves comme la maladie d'Alzheimer. "Il s'utilise aussi bien sous forme d'extraits liquides, en gélules ou simplement en infusion.
Le mieux reste encore d'être bienveillant, de montrer à votre proche le plus d'affection possible, de par vos mots, déjà, mais aussi avec des gestes tendres. Ainsi, il/elle comprendra que, malgré sa maladie, il/elle est toujours, à vos yeux, votre père, mère, conjoint.
« Etat de dissociation » : sous ce jargon médical se rangent une série de sensations étranges. Toutes traduisent une déconnexion de la réalité. Ce peut être une « dépersonnalisation », avec un sentiment de ne pas être soi-même – on se voit allongé comme si l'on surplombait son propre corps, par exemple.
Pour stimuler sa mémoire, il existe trois plantes complémentaires : le ginkgo biloba, le thé vert et la rhodiola rosea.