La rumination est issue d'une pensée, parfois inconsciente, d'obtenir du plaisir en reprenant dans la bouche des aliments qui sont passés par elle, sans avoir besoin d'en manger de nouveaux. La rumination est provoquée par la personne elle-même qui provoque le retour des aliments dans sa bouche.
Pourquoi je rumine sans cesse ? Les ruminations mentales peuvent concerner tout le monde, mais elles sont souvent liées à des caractères anxieux. Même s'il est tout à fait possible d'être un. e « overthinker » sans être un.
Rester à l'écoute de ses émotions (positives).
Et si une émotion se calme, les ruminations, les pensées liées vont également se passer. Le simple fait d'écouter et d'appliquer ses émotions fait qu'on va souvent sortir de dilemme".
Quel que soit le sexe, la rumination puise sa source dans les peurs, le manque de confiance et parfois une image de soi fantasmée. «On s'imagine mieux ou moins bien que ce que l'on est réellement», illustre le Dr Aimelet-Périssol.
Contre l'anxiété, l'aubépine et l'eschscholtzia
Intéressante lorsque les angoisses sont nocturnes, et que des ruminations tournent dans la tête et empêchent de dormir.
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
La respiration dite "en carré" pour s'apaiser
Avant de s'endormir, on peut pratiquer la respiration, dite en carré, en quatre phases de durée égale : on inspire, on retient son souffle, on expire et on retient encore son souffle, les poumons vides, pendant la même durée. Cela permet de sortir du mental.
Pour que la rumination commence, il faut que la vache se nourrisse. Quand elle broute, elle ne va pas beaucoup mâcher son herbe, mais plutôt l'avaler sous forme de brins assez longs. Ces brins descendent dans l'œsophage et tombent dans le réseau, d'où ils vont directement dans la panse (toutes les minutes).
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale.
Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation. Après consultation d'un médecin, certains médicaments comme les neuroleptiques et les antidépresseurs peuvent réduire l'apparition d'obsessions. Des thérapies de groupe ou des produits de santé naturelle peuvent apaiser et réduire les obsessions.
Une autre étude montre que les femmes sont deux fois plus nombreuses que les hommes à ruminer lorsqu'elles sont tristes, anxieuses ou déprimées (les femmes qui ont deux fois plus tendance que les hommes aux épisodes dépressifs). Selon la chercheuse, cette tendance s'explique essentiellement par l'éducation.
Quand les pensées semblent tourner en boucle, qu'elles ne mènent nulle part, il s'agit alors de ruminations. Ce phénomène de cerveau qui ne s'arrête jamais, est souvent décrit chez les personnes HPI ou Hypersensible (ou encore hautement sensible comme le dit si bien Saverio Tomasella).
Il peut prendre de multiples formes, telles que l'inquiétude, la contrariété, l'anxiété. Mais ce mécanisme est dû à une émotion en particulier, la peur. Les ruminations mentales (oui oui, apparement, ça se dit) sont indirectement liées à la peur. La peur de décevoir par exemple.
Action de ramener dans la bouche, pour les mâcher, les aliments qui ont déjà séjourné dans la panse, ou rumen. (Les tylopodes [chameaux et lamas] et les ruminants proprement dits pratiquent la rumination.)
Un trouble de l'interaction intestin-cerveau
Le syndrome de rumination est un problème de comportement, les patients régurgitent sans effort et à plusieurs reprises de la nourriture dans leur bouche et la remâchent. Ce comportement est classé comme un trouble de l'interaction intestin-cerveau.
Apprendre à bien respirer pour s'endormir
Disciplinez votre respiration pour mieux oxygéner votre cerveau et faire le vide dans votre tête. Répétez 3 fois de suite cet exercice : Inspirez lentement par le nez en comptant jusqu'à 4, bloquez l'air pendant 7 secondes et expirez-le en comptant jusqu'à 8.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
En pratique : fermez les yeux, prenez conscience de votre corps sur le matelas, relâchez la tête, les pensées… Le front devient lisse comme un lac paisible, les paupières sont lourdes. Entrouvrez les lèvres, desserrez les dents… Puis opérez un relâchement du corps tout entier.
Le houblon, un antidépresseur naturel puissant
Plusieurs médecines du monde associent cette plante anxiolytique à certains bienfaits qui agiraient sur les troubles du sommeil et de l'anxiété, le manque d'appétit, l'agitation, les problèmes digestifs, les troubles intestinaux ainsi que l'arthrite.
La valériane : l'anxiolytique naturel le plus connu
Elle peut nous aider à : Lutter contre les troubles du sommeil liés au stress ; Soulager les symptômes du stress, de l'anxiété et de la nervosité.
Antidépresseur naturel, la rhodiole
Sans aucun doute, la rhodiole. Originaire de Sibérie, cette plante agit sur le stress grâce à une action rapide confirmée par des études scientifiques. Elle régule également les troubles de l'humeur, étant un précurseur de la dopamine.