Les douleurs pelviennes peuvent aussi avoir une origine : digestive : syndrome de l'intestin irritable, troubles du transit, anomalie anorectale telle que des hémorroïdes, une fissure anale, une fistule ; urinaire : infection urinaire ou cystite, colique néphrétique ; rhumatologique.
La douleur pelvienne peut être un symptôme gynécologique. En d'autres termes, elle peut être due à un problème affectant l'appareil génital féminin. Elles peuvent aussi être provoquées par des problèmes au niveau des appareils urinaire, digestif ou musculosquelettique.
Les douleurs pelviennes correspondent aux douleurs ressenties dans la région du pelvis, c'est-à-dire au niveau du bas du ventre et du haut des parties génitales. Elles peuvent être légères à très intenses. Elles sont chroniques chez 11 à 20% des femmes.
Généralement, cela arrive lorsqu'il y a un kyste ovarien qui se rompt ou lors qu'il se tord : les douleurs s'accompagnent de nausées, de vomissements et parfois, de troubles digestifs. Une intervention chirurgicale est alors bien souvent nécessaire.
Des règles hygiéno-diététiques peuvent permettre de diminuer les douleurs pelviennes dues à une constipation ou des infections urinaires à répétition : une alimentation équilibrée, une consommation quotidienne d'eau de 1,5 litre par jour, une activité physique.
La plupart du temps, on va ressentir des tensions musculaires au niveau de la mâchoire et des épaules. Mais, il est possible de ressentir ces tensions jusqu'au plancher pelvien! Ainsi, une maman anxieuse a tendance à rarement relâcher son plancher pelvien, ce qui peut causer des douleurs dans la région pelvienne.
Les signes et symptômes du cancer de l'ovaire comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux (par exemple, saignements abondants, irréguliers ou survenant entre les menstruations), en particulier après la ménopause. pertes vaginales fréquentes et claires, blanches ou teintées de sang.
Il existe de nombreuses autres causes à une douleur localisée dans le bas ventre, telles que : l'endométriose, une infection urinaire, génitale ou digestive, un kyste ovarien…
Des données de qualité moyenne, issues d'une étude unique à faible risque de biais, ont suggéré qu'un macrolide (azithromycine, un type d'antibiotique) pourrait être plus efficace qu'une tétracycline (doxycycline, un autre type d'antibiotique) pour guérir les syndromes inflammatoires pelviens légers à modérés.
L'endométriose : c'est une maladie qui provoque des douleurs dans le bas-ventre et parfois dans le bas du dos. Ces maux sont peu soulagés par la prise d'antalgiques. Le kyste ovarien : on utilise ce terme quand une grosseur inhabituelle se développe sur un ovaire.
La maladie pelvienne inflammatoire est une infection qui touche les organes reproducteurs féminins dits supérieurs (le col de l'utérus, l'utérus, les trompes de Fallope et les ovaires). La maladie pelvienne inflammatoire est habituellement transmise au cours de rapports sexuels avec un partenaire infecté.
Quand s'inquiéter en cas de maux de ventre ? Si vous avez des douleurs intenses que ce soit dans le haut ou le bas du ventre, de la fièvre, des vomissements ou des nausées, vous devez consulter un médecin.
Cependant, si besoin et en cas de maladies spécifiques nécessitant une prise en charge spécialisée, le médecin généraliste seul est en mesure d' orienter son patient vers le médecin spécialiste approprié et compétent pouvant prendre en charge la maladie.
Une douleur du bas-ventre peut avoir de très nombreuses causes. Les plus fréquentes sont des infections digestives, urinaires et génitales. Une inflammation déclenche aussi des douleurs pelviennes : appendicite, péritonite, colite… Un problème rénal peut causer une colique néphrétique.
Les symptômes des infections utérines comprennent fréquemment une douleur dans le bas de l'abdomen ou du pelvis, de la fièvre (habituellement dans les 1 à 3 jours suivant l'accouchement), une pâleur, des frissons, une sensation générale de malaise ou d'inconfort, et souvent des céphalées et une perte de l'appétit.
Dans de nombreux cas, la salpingite passe inaperçue et le diagnostic est fait tardivement lors d'un bilan de stérilité. Dans d'autres cas, la maladie se manifeste par des symptômes aigus (douleurs du bas-ventre, pertes vaginales, fièvre…) Une prise en charge médicale urgente est alors nécessaire.
Le sexe ne rendra pas tes règles irrégulières, même si elles peuvent être retardées de jusqu'à un jour.
Certains états médicaux à long terme tels qu'une hyperactivité de la thyroïde, un syndrome des ovaires polykystiques, le diabète et une maladie cardiaque peuvent également entraîner l'arrêt ou l'irrégularité de vos règles. Beaucoup de femmes ont des cycles irréguliers dus aux variations naturelles.
Une maladie
Une tumeur de l'ovaire, un syndrome des ovaires polykystiques, une atteinte de l'utérus ou du vagin, une hypo ou une hyperthyroïdie peuvent également provoquer l'arrêt des règles. La prise de certains médicaments, comme les antidépresseurs, sont aussi en cause.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Symptômes et douleurs
Des douleurs dans le bas du ventre, notamment une pesanteur ressentie d'un seul côté, peuvent également apparaître. Des douleurs qui peuvent devenir beaucoup plus intenses et brutales si le kyste provoque une torsion de l'ovaire ou s'il se rompt.