L'infarctus digestif, infarctus intestinal ou ischémie mésentérique est un accident vasculaire de l'intestin, exactement comme l'AVC l'est au cerveau ou l'infarctus du myocarde l'est au cœur. Il est dû à une obstruction totale ou partielle de l'artère qui irrigue l'intestin.
Quels sont les symptômes d'un infarctus intestinal ? L'infarctus intestinal est un phénomène violent, qui se caractérise principalement par des douleurs très fortes et diffuses au niveau du ventre (ensemble de l'abdomen), des vomissements ou diarrhées.
Le traitement consiste en l'embolectomie, la revascularisation des segments digestifs viables ou leur résection; le traitement vasodilatateur est parfois efficace. La mortalité est élevée.
Comme l'infarctus du myocarde et l'AVC (accident vasculaire cérébral), l'infarctus digestif est l'obstruction de l'artère qui irrigue le système digestif par un caillot sanguin et qui freine son approvisionnement en sang et en oxygène. Elle peut provoquer la nécrose, c'est-à-dire la mort d'une partie du tube digestif.
L'obstruction du flux sanguin pendant plus de 6 heures entraîne la nécrose de la région intestinale concernée, ce qui permet aux bactéries intestinales d'envahir le système de la personne. Un choc, une insuffisance organique et un décès sont probables en cas de nécrose intestinale.
Il pourrait sembler saugrenu de se poser la question de savoir si on peut vivre sans intestin, sachant que cet organe est le lieu d'absorption des aliments. Les chirurgiens la posent pourtant car, en cas de maladie grave, il leur arrive d'enlever une grande longueur d'intestin sans troubles majeurs pour le patient.
L'infarctus mésentérique, dont le nom médical est « ischémie mésentérique aiguë », est à l'intestin ce que l'accident vasculaire cérébral est au cerveau et la crise cardiaque au cœur. Il toucherait 10 000 personnes chaque année en France. Cette urgence vitale est encore largement méconnue.
L'infarctus peut se manifester brutalement, comme un “coup de tonnerre”. Mais parfois, la sensation de gêne est présente depuis plusieurs jours et la typique douleur thoracique est absente.
Parmi les fruits les plus recommandés pour une meilleure digestion, on donne la priorité à la pomme, à la poire et à l'ananas. La pomme contient des substances qui facilitent la digestion comme la protopectine, de l'acide pectique et de la pectine qui, de plus, facilitent la satiété.
Le maître symptôme de la thrombose digestive est la douleur abdominale, toujours très intense, comme dans un tableau d'occlusion, puisque l'intestin n'est plus viable et qu'il ne fonctionne plus dans le territoire du vaisseau bouché.
Ainsi, pour un infarctus non compliqué, un arrêt de travail de 4 semaines peut suffire en cas de travail sédentaire. Si le travail est physique, deux mois d'arrêt sont nécessaires.
Une prise en charge en urgence pluridisciplinaire optimisée permet d'améliorer la survie. Elle associe de façon standardisée 1) un protocole médical incluant une antibiothérapie orale/entérale, 2) une revascularisation chaque fois que possible et 3) une résection de toute nécrose intestinale irréversible.
Si l'obstruction intestinale n'est pas traitée à temps, elle peut dégénérer et entraîner la mort (nécrose) de la partie de l'intestin qui est bloquée. Une perforation de l'intestin peut s'ensuivre et provoquer une péritonite, menant à des infections graves, voire au décès.
On distingue l'infarctus du myocarde (touchant le coeur), l'infarctus cérébral au niveau du cerveau (appelé aussi "accident vasculaire cérébral ischémique"), l'infarctus mésentérique au niveau intestinal, l'infarctus pulmonaire qui concerne les poumons et l'infarctus osseux qui est une lésion au niveau du tissu osseux ...
Le risque d'infarctus du myocarde était approximativement 5 fois plus élevé chez les personnes ayant un taux de cortisol élevé par comparaison à celles qui avaient un taux de cortisol normal. Ces résultats indiquent que le stress chronique semble être un important facteur de risque d'infarctus du myocarde.
C'est une maladie potentiellement grave mais des progrès majeurs ont été faits dans la prise en charge de la crise cardiaque : aujourd'hui, 96 % des personnes qui font un infarctus survivent au-delà d'un mois et 89 % survivent au-delà d'un an.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
La douche rectale : "se fait à la maison, a l'aide d'un bock ou poche à lavement qui consiste en l'introduction de 1 à 3 litres d'eau dans le côlon via une canule anale. Après 5-15 minutes, on va à la selle pour se vider par un effet mécanique" explique le naturopathe.
Le thé vert, les graines de lin et les graines de chia
C'est une boisson favorable au nettoyage du côlon, et à l'élimination des toxines du corps. À l'œuvre : ses vertus diurétiques. On fait bien de le composer avec de la menthe, quelques feuilles de séné ou encore des graines de lin.
Les deux artères mésentériques sont des branches de l'aorte abdominale ; elles ont pour fonction d'apporter du sang oxygéné aux organes de l'abdomen. Elles naissent en dessous du tronc cœliaque. L'artère mésentérique inférieure irrigue la partie terminale du tube digestif : côlon descendant et rectum.
Est mésentérique ce qui est lié au mésentère, membrane du corps humain formée par un repli du péritoine, qui entoure l'intestin grêle afin de le maintenir, et qui renferme des vaisseaux, des ganglions et des nerfs.
L'occlusion intestinale, c'est le blocage partiel ou complet de l'intestin grêle ou du côlon. Ce blocage empêche les aliments, les liquides et les gaz de circuler normalement dans l'intestin.