Le coût d'acquisition correspond au prix d'achat minoré des remises, rabais commerciaux et escomptes de règlement obtenus et majoré des coûts directement engagés pour la mise en état d'utilisation du bien.
Comment le déterminer ? Le coût d'acquisition d'une immobilisation est la somme du prix d'achat et de tous les coûts directement attribuables à l'acquisition et à la mise en état de fonctionnement de l'immobilisation.
Le coût d'acquisition client correspond ainsi à la somme des coûts marketing et des coûts commerciaux, divisés par le nombre de clients acquis.
En général, les immobilisations corporelles et incorporelles sont acquises par la société et enregistrées pour leur coût d'acquisition, Coût d'acquisition HT = Prix d'achat HT + Coût direct attribuable.
Les frais qui ne sont pas nécessaires à l'acquisition de l'immobilisation ou à sa mise en état de fonctionner sont exclus du coût d'acquisition et doivent être comptabilisés directement en charge. Il s'agira, par exemple, des frais de formation du personnel à l'utilisation et à l'entretien des machines.
Les immobilisations corporelles sont composées de plusieurs catégories : les terrains, les constructions, l'agencement et les installations générales, l'outillage, le matériel, les véhicules, le mobilier et les équipements informatiques.
Une immobilisation est un élément non circulant de l'actif d'une entreprise, destiné à y rester dans la mesure où il participe à son processus de production, et ce sur plusieurs exercices comptables. Alors qu'une charge, est consommée à court terme lors de la production de ces mêmes biens ou services.
Les frais d'acquisition de l'immobilisation tels que les droits de mutation, les commissions, les frais d'actes, les honoraires, sont, au choix de l'entreprise, incorporables au prix d'acquisition de l'immobilisation ou peuvent être passés en charge par celle-ci.
Une immobilisation correspond à un bien (corporel, incorporel ou financier) que vous possédez. Elle représente une valeur pour votre entreprise, que vous l'achetiez ou la produisiez. Vous devez l'utiliser de façon durable (pendant plus d'un an) et ne pas la destiner à la vente.
On peut citer le matériel de transport, les machines, les immeubles, les ordinateurs et plus généralement, tous les biens dont la durée de vie est supérieure à un an. À l'inverse, les charges ont vocation à être consommées rapidement. Aucun montant d'immobilisation minimum n'est prévu.
Les immobilisations sont généralement regroupées en 3 grandes catégories : les immobilisations incorporelles, les immobilisations corporelles et les immobilisations financières.
Le prix d'acquisition à retenir est le prix effectivement acquitté par le cédant, tel qu'il a été stipulé dans l'acte, et ce, indépendamment de ses modalités de paiement.
Comptabilisation de l'achat immobilier
Le bien immobilier acquis va lui être comptabilisé dans le compte d'immobilisation concerné (211 : terrain, 2131 : bâtiment, 2135 installations générales et aménagements…). Le bien acquis va donc figurer au bilan de votre entreprise et plus précisément à l'actif.
Quelles immobilisations amortir ? Sur quelle durée ? Seuls les actifs immobilisés demeurant dans l'entreprise depuis plus d'un an sont sujets à l'amortissement. De plus, leur valeur unitaire doit être supérieure à 500 € HT.
Les frais accessoires d'achat (compte 608)
Peuvent être enregistrés dans ce compte les frais accessoires d'achats supportés par l'entreprise tels que les droits de douane à l'importation, les frais de port et coût de transport, etc.
Les frais accessoires sur ventes de biens non immobilisés concernent principalement les frais de transport facturés par l'entreprise à ses clients. La comptabilisation de ces frais dépend de la date à laquelle ils ont été engagés, par comparaison avec la date de transfert de propriété du bien au client.
Les immobilisations non amortissables sont des actifs destinés à être détenus de manière durable et qui ne perdent pas de valeur du fait de leur usage ou du temps qui passe (terrain, marque, fonds de commerce, immobilisation financière, etc.).
Afin d'identifier si un bien est une immobilisation, il faut que celui-ci soit identifiable, procure un avantage économique à l'entreprise et possède une valeur économique positive. Il existe trois grands types d'immobilisations : les immobilisations corporelles, incorporelles et financières.
Les non-valeurs (en anglais non-value) désignent des immobilisations incorporelles qui ne génèrent pas de valeur immédiate ou potentielle, dans le cycle d'exploitation d'une entreprise.
La TVA sur immobilisation est comme son nom l'indique une taxe appliquée à un actif immobilisé. Elle intervient lorsque l'entreprise investit dans des biens corporels, incorporels ou encore dans des actifs financiers. Ces biens seront comptabilisés dans l'actif immobilisé du bilan comptable.
Voici quelques-unes des immobilisations les plus courantes : les chalets; les titres, comme les actions, les obligations et les unités de fiducies d'un fonds commun de placement; les terrains, les bâtiments et le matériel utilisés dans le cadre d'une entreprise ou d'une activité de location.
Définition d'une immobilisation
L'immobilisation comptable est l'ensemble du patrimoine de l'entreprise (les actifs immobilisés), et l'amortissement permet de déduire chaque année une portion de l'investissement initial.
La valeur vénale est une estimation, tandis que le prix d'achat ou de vente est le résultat de la négociation du prix. Les différences – et ce que vous devez savoir avant de faire évaluer une maison ou un appartement.