La morve est un mucus nasal sécrété par les glandes mucipares de la cavité nasale et de la trachée. Ce fluide nous permet d'humidifier et de tempérer l'air inspiré. Mais il agit également comme un filtre anti microparticules qui sont contenues dans l'air ambiant (poussières, pollen, bactéries, microbes, etc.)
La congestion des sinus, l'écoulement nasal et la pression avec douleur faciale ou maux de tête peuvent indiquer un rhume. Mais si l'écoulement nasal est jaune ou décoloré, cela indique probablement une infection des sinus. Les sinusites chroniques peuvent affecter votre qualité de vie et vous fatiguer.
La morve a quand même une saveur particulière, ils peuvent donc être curieux et la goûter. À l'état normal, elle contient près de 95% d'eau mais aussi du chlorure de sodium, d'où son goût salé, du potassium, des particules inhalées comme la poussière par exemple...
[…] À l'état normal, elle [la morve] contient près de 95% d'eau mais aussi du chlorure de sodium, d'où son goût salé, du potassium, des particules inhalées comme la poussière par exemple... Cela crée un mélange, pas forcément bon mais au goût prononcé d'où la curiosité qu'elle suscite. »
Une rhinorrhée peut se manifester par un mucus épais et purulent ou transparent et clair. Une sécrétion de mucus purulent est généralement le signe d'une infection, mais pas forcément d'origine bactérienne.
L'évacuation des glaires est normale et nécessaire pour nettoyer les bronches. Mais une expectoration excessive peut être le signe d'une maladie des voies respiratoires.
Vous vous demandez probablement combien de temps il va durer. Les symptômes classiques du rhume, tels que les éternuements, l'écoulement nasal, les maux de gorge et la toux, peuvent persister de 2 à 14 jours. Mais dans environ deux tiers des cas, les gens se remettent du rhume en une semaine à peu près.
Il faut veiller à ne pas se moucher trop fort, et de préférence une narine après l'autre. En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.
Et conseil le plus important, il ne faut pas se moucher trop fort car cela peut favoriser la dispersion des microbes dans les oreilles et les sinus et provoquer ainsi des otites ou des risques de rhinopharyngite. L'air chargé de bactéries pourrait également provoquer des maux de tête et autres inflammations.
Les muqueuses peuvent produire la substance grâce à l'eau et des éléments présents dans le sang. Le mucus contient notamment beaucoup d'oligoéléments, dont de l'iode. C'est ce qui lui donne un goût très salé.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
Qu'elle soit blanche, jaune ou verte, la morve que l'on retrouve dans un mouchoir peut indiquer ce qui se passe dans notre nez. Prendre des antibiotiques pour y faire face est tentant mais attention : ils ne sont pas toujours efficaces.
La rhinorrhée, qu'est-ce que c'est ? La rhinorrhée, plus communément appelée écoulement nasal ou encore « nez qui coule » est un excès de mucus produit et qui s'écoule par l'avant du nez ou vers la gorge.
Qu'est-ce que le mucus? Le mucus est un liquide gélatineux, aqueux ou visqueux produit par les muqueuses de l'organisme, souvent observé lorsqu'on se mouche pendant un rhume. Le mucus sert aussi de filtre pour les irritants tels que la poussière, les bactéries, la fumée et les allergènes.
bleu : infection au bacille pyocyanique ; rougeâtre : évoque une hémorragie (présence de sang qui pourrait couler).
En cas de rhume pourtant, le reniflement n'est pas du tout la bonne méthode. « Quand on a des sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans vos sinus et les congestionne à nouveau. Il faut donc les évacuer, c'est l'idéal. Pour cela rien de tel que de se moucher ».
Dans le cas d'une dacryocystite chronique, l'obstruction du canal lacrymo-nasal entraîne la sécrétion de mucus dans le sac lacrymal. Le mucus (substance visqueuse) peut donc sortir de l'œil de la même manière qu'une larme, ou lors d'une pression.
Penchez la tête d'un côté et instillez le spray ou le sérum physiologique dans la narine du haut. Laissez agir quelques secondes. Penchez la tête de l'autre côté et procédez à la même opération.
À la manière d'un filtre, elles piègent aussi les microparticules présentes dans l'air pour protéger nos poumons. En cas d'infection (rhume par exemple), la muqueuse nasale gonfle et la production de mucus (composé à plus de 95% d'eau) augmente pour évacuer un maximum de virus hors de la cavité nasale.
Se moucher permet de diminuer le risque d'otite ainsi que de soigner le rhume plus facilement. Un nez dégagé permet d'apprécier toutes les senteurs autour de nous, mais aussi la subtilité du goût des aliments.
Pas vraiment. « On aura beau s'installer au pôle Nord, pieds nus et cheveux mouillés, s'il n'y a que des phoques et des ours polaires pour nous tenir compagnie, on n'attrapera pas le rhume! » s'exclame le Dr Karl Weiss, microbiologiste et spécialiste en maladies infectieuses à l'Hôpital général juif de Montréal.
Au premier abord, il paraît donc possible d'exercer une activité physique si l'on est malade. Cependant, si cette activité est intensive, elle risque d'avoir les effets inverses de ceux recherchés, et donc de fragiliser l'organisme. Dans ce cas précis, mieux vaut opter pour le repos.