Ce qu'il se passe -> Il se passe « ce » (un événement, une situation, etc.) « Ce » a dans cette phrase la fonction grammaticale de COD, mais « ce » est le sujet réel du verbe se passer. Dans les deux cas, personnel ou impersonnel, c'est « ce » qui se passe.
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
Une astuce pour savoir s'il s'agit bien du pronom et non du démonstratif « ce » est d'ajouter lui-même, elle-même, soi-même, eux-mêmes ou elles-mêmes après le verbe pronominal. Si la phrase garde son sens, alors il faut bien écrire « se » avec un -s.
Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive). Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
On écrit « s'est » devant un verbe.
Lorsqu'il est possible de le remplacer par « cela », on écrit alors « c'est ». Il est employé pour désigner quelque chose.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)". Tu m'as prise, la main dans le sac de patches.....
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Ce qui est sujet du verbe qui suit. Ce que (ce qu') est complément direct. Il est généralement suivi d'un sujet et d'un verbe. Ce dont s'emploie devant les verbes construits avec la préposition de (avoir peur de, avoir besoin de, se douter de, parler de, etc.)
« Fais ce qui te plaît » : fais ce qui te donne ou te donnera du plaisir. En revanche, « Fais ce qu'il te plaît » sous-entend l'infinitif du verbe précédent : Fais ce qu'il te plaît de faire. Mais dans les deux cas on veut dire : Fais ce que tu voudras.
Qui vous manquait ou qu'il vous manquait ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
On écrit : « ce qui se passe » ou « ce qu'il se passe ». Les deux formes sont acceptées et elles sont interchangeables.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
On peut employer les deux conjugaisons, c'est-à-dire le subjonctif « qu'il faille » ou l'indicatif « qu'il faut » selon la construction et le sens de la phrase. Il se peut qu'il faille davantage de temps pour terminer ce travail. Il est certain qu'il faut davantage de temps pour terminer ce travail.
Résumé Une petite fille s'est cassé le poignet et tout le monde lui demande « Qu'est-ce qui t'est arrivé ? ». Elle explique sa mésaventure à sa copine : je sortais de la boulangerie quand soudain un oiseau m'a emportée au sommet d'une montagne.
Ainsi, le verbe FALLOIR étant un Verbe impersonnel, on écrira toujours CE QU'IL FAUT : – J'ai tout ce qu'il faut pour soigner la joue de David Lemoche. Enfin, dans le langage oral (et surtout familier), on entend souvent : – J'ai tout ce qui faut…
On pourrait dire aussi est « est-ce possible » est strictement la forme interrogative de « c'est possible » (cela est possible) : [i]C'est possible de réserver aujourd'hui ; Est-ce possible de réserver aujourd'hui .»
Différence entre a et à
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a. - à est une préposition. La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, "a" devient "avait" tandis que "à" ne change pas.
Même chose quand le sujet du verbe est un nom féminin singulier, comme dans la rentrée s'est bien passée , la réunion s'est bien passée , la reprise s'est bien passée .
Accorder un verbe (sous forme de participe passé ou non) avec le sujet, est obligatoire quelle que soit la place du sujet, bien sûr ! Comment s'est passée ta journée ? Elle s'est bien passée !
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.