Le sumo (相撲, sumō, littéralement « se frapper mutuellement ») est un sport de lutte japonais.
Sumo. Un extraterrestre au pays des sumos : tel est le Mongol Hakuho, 69e sumotori à être élevé au rang suprême de Yokozuna. Si tout ceci ne vous dit rien, retenez plutôt que ce colosse de 1m92 pour 152kg gagne 400.000$ par saison selon ESPN, soit un peu plus de 275.000€.
Au sein de la culture japonaise, le Sumo est un art martial dans lequel des combattants au gabarit impressionnant pratiquent la lutte lors de combats rituels. Il s'agit de l'un des sports les plus populaires au Japon et du sport de combat national : vieux de plusieurs siècles ce sport bénéficie d'une longue histoire.
De plus, à la fin de chaque repas, la sieste n'est pas un plaisir, mais bien une contrainte pour chaque sumo. Ils doivent dormir pour faciliter l'accumulation de graisse. Leurs combats sont aussi régis par des codes rigoureux. Alors que le combat ne dure qu'une poignée de secondes, le rituel dure environ 10 minutes.
Atteints d'obésité ils ont parfois du mal à respirer. S'ajoutent à cela les problèmes de diabète liés à leur suralimentation. La durée de vie moyenne d'un sumo n'excède pas les 65 ans… Bien que respecté au Japon, ce sport est devenu « démodé » pour la jeunesse japonaise.
Avant l'affrontement, les lutteurs chassent les esprits en frappant le sol avec les pieds, après les avoir levés très haut : il s'agit du shiko (四股). En signe de purification, ils prennent une poignée de sel et la lancent sur le cercle de combat : on parle alors de kiyome no shio (清めの塩).
Hakuhô, le plus grand yokozuna de l'histoire du sumo : un précieux regard sur la légende. Pendant les plus de 14 ans du règne du yokozuna Hakuhô, une quantité de record auront été battus : 45 tournois gagnés, 1 187 victoires… rien que ça !
le sumo des femmes
Le sumô pour femme est appelé shin-sumo et un championnat du monde est même organisé. Dès le 18ème siècle des combats de sumô pour femmes (onna-sumo) étaient organisés par des maisons de prostitution. Ce sport féminin fut cependant définitivement interdit en 1926.
Le sumo est un sport professionnel dans lequel gagner des combats est le seul moyen de grimper les échelons et d'obtenir un meilleur salaire. Mais il représente en même temps une tradition qui s'appuie sur des rites et des valeurs spirituelles. Sans cela, la discipline perdrait toute sa raison d'être.
Le rang d'ōzeki, littéralement « grande barrière », existe depuis au moins les années 1750, il était alors le plus haut rang dans le sumo. Le titre de yokozuna, auparavant honorifique, est devenu le plus haut rang du sumo au début des années 1900.
Il mesure 2,03 mètres et a été pesé à plus de 363 kg . Il détient le record du monde Guinness de l'athlète le plus lourd.
On gagne un combat de Sumo en poussant l'adversaire hors du cercle intérieur ou en le faisant tomber sur le Dohyô (seuls ses pieds doivent toucher le sol, si une autre partie du corps touche le sol, le Rikishi a perdu). Même chose si le Rikishi touche les sacs de paille qui entourent le cercle de combat.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, les sports les plus populaires au Japon sont le base-ball, le rugby et le football.
Tous ces lutteurs sont rémunérés à titre professionnel par la ligue professionnelle du sumô. Le salaire dépend évidemment du « rang » des athlètes, mais ils ont beaucoup de privilèges, comme le fait de pouvoir se marier, par exemple.
Les conditions de promotion pour devenir yokozuna sont théoriquement les suivantes : être ôzeki, aligner deux yûshô consécutifs ou obtenir une performance équivalente (au moins 38 victoires sur les 3 derniers hon-basho).
Le sumo mange un sorte de ragoût appelé chanko nabe (ちゃんこ鍋), contenant de la viande, du poisson, des légumes et de tofu, accompagné de riz et de bière à volonté ! Un rikishi (lutteur) en bonne santé mange entre 5 à 10 bols de riz et il boit 6 chopes de bière.
Les geishas, le nô, l'art du jardin japonais, les sumos, l'origami, les mangas…ce sont autant d'éléments de la culture japonaise que vous aurez l'occasion de voir au cours de votre voyage au cœur du Japon.
Il en existe un très grand nombre de variétés mais on peut en distinguer trois principales : la lutte libre (LL), la lutte gréco-romaine (GR) et la lutte féminine (LF).
la réponse est double: l'entrainement, et un régime spécial. Le poids est important pour un entrainement de sumo car il n'y a pas de divisions par poids dans ce sport. Un lutteur sumo mange environ 8000 calories par jour, soit le double d'un adulte japonais moyen.
La corpulence apparaît indispensable car un gros ventre et des jambes fortes et lourdes permettent d'abaisser le poids de gravité et donc rendent plus difficile le fait d'être basculé. Comme les combats sont très brefs, le premier contact, tachiai, devient fondamental.
La taille moyenne des champions de sumo est de 1m84. Quant à leur poids, 154 kilos. Si le poids est si crucial dans un combat de sumos, c'est parce que c'est souvent du choc entre les deux lutteurs, appelé le « tachiai », que dépend l'issue du combat.
Le football américain : superbowl, tom brady... sport national u.s.a. Pas de doute, le Super Bowl, championnat de la NFL (National Football league) est l'évènement le plus suivi à la télévision américaine.
Ainsi, en France, le sport national est le jeu de paume du Moyen Âge jusqu'à la Révolution. Le sport hippique puis le cyclisme s'imposent au XIX e siècle, mais le football devient sport national dès le premier quart du XX e siècle.
Si vous êtes à la recherche d'une activité fun et insolite, le combat de sumo proposé par le parc de loisirs de Chevry-Cossigny saura vous ravir ! Pendant 30 minutes vous vous affronterez sur un tapis de sol en mousse pour un max de fun !