Le facteur capital regroupe l'ensemble des biens qui ne sont pas consommés pendant un cycle de production. Il s'agit de biens ou services durables. C'est un capital fixe. On peut citer par exemple les bâtiments, les machines outils, les logiciels ou encore les véhicules servant au transport des marchandises.
En général, si la personne chargée des recherches contrôle les niveaux d'un facteur, celui-ci est fixe. A l'inverse, si la personne chargée des recherches a échantillonné de manière aléatoire les niveaux d'un facteur à partir d'une population, le facteur est aléatoire.
Le facteur capital regroupe les biens nécessaires à la production. Il s'agit d'un ensemble de biens et de services qui peuvent être utilisés lors de plusieurs cycles de production. En effet, ils ne sont pas détruits au cours d'un de ces cycles (exemple : machines, matériel de transport).
Le capital fixe productif comprend les moyens de production relativement durables (dépassant la durée du cycle de production) et participant directement à la fabrication des biens ou à la réalisation de la prestation de service.
Le capital circulant désigne le capital qui est transformé ou détruit au cours du processus de production. Il s'agit des biens intermédiaires tels que les matières premières et les produits semi-finis. Le capital fixe est le capital technique durable utilisé durant plusieurs cycles de production.
➢ Le capital fixe.
Il concerne les biens d'équipement durables (outillages, machines, équipements... ) qui restent dans l'entreprise et dont la durée de vie est supérieure à un seul cycle de production. Leur destruction est progressive dans le temps et ils doivent être renouvelés.
Chez Bourdieu
Dans Les formes de capital (1986), Pierre Bourdieu distingue quatre formes de capital : capital économique, capital culturel, capital symbolique et capital social.
En comptabilité nationale, ensemble des outils, équipements (y compris les infrastructures collectives comme les écoles ou les routes) et bâtiments (y compris bâtiments d'habitation) utilisés dans une économie donnée.
Il se calcule donc en divisant le montant des investissements de l'entreprise, appelé formation brute de capital fixe, par la valeur ajoutée de l'entreprise, soit la production effectivement réalisée par l'entreprise, le tout multiplié par 100.
Si le capital social est fixe, cela signifie qu'il ne peut être changé que sous réserve de modifier les statuts de la société. Si vous choisissez un capital social variable, vous pourrez le modifier, sans formalisme particulier, à la hausse ou à la baisse.
Le capital contribue à la croissance économique car introduire davantage de machines dans la combinaison productive permet d'augmenter les quantités produites, donc la croissance. Par exemple si une usine de production automobile double le nombre de ses chaînes de production, la production double donc croissance.
La fonction de production se note Q = f(L,K) où, Q correspond à la quantité de biens produite, L correspond au facteur travail et K correspond au facteur capital. Si L et/ou K augmente alors Q augmente aussi.
Ainsi, l'électricité, les matières premières, ne sont pas du capital ; par contre, le four du boulanger, la voiture d'une entreprise de taxi font partie du capital.
L'augmentation du stock de capital (ou investissement) semble essentielle à la croissance car le capital nouveau a un double effet : Il augmente le volume de capital disponible pour la production. Il intègre de nouveaux procédés, de nouvelles techniques qui le rendent encore plus productif.
L'analyse économique retient deux grands facteurs de production : le capital et le travail, plus communément dénommés « les machines et les hommes (main-d'œuvre) ». La combinaison de ces deux facteurs est utilisée par les agents économiques, parmi lesquels les entreprises, afin de produire et de créer de la richesse.
Les facteurs de production sont des ressources économiques utilisées pour créer des biens et des services. On en distingue 4 : le capital humain (ou travail), le capital (les machines), les ressources naturelles (la terre) et l'entrepreneuriat.
Comment faire ? Seuil de rentabilité = Charges fixes / Taux de marge sur coûts variables, soit le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour ne pas perdre d'argent. Le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour être rentable est de 80 000 euros.
La formation brute de capital fixe (FBCF) correspond à la valeur totale, sur une période donnée, des acquisitions d'actifs fixes réalisées par les producteurs résidents, moins les cessions.
La formation brute de capital fixe est égale à la valeur des acquisitions d'actifs non financiers nouveaux ou existants par les producteurs moins la valeur de leurs cessions d'actifs non financiers.
S'inscrivant en partie dans cette lignée, Pierre Bourdieu (1930-2002) décrit l'espace social comme un champ hiérarchisé par le capital économique, le capital culturel et le capital social détenus par les individus.
Les ressources stables de l'entreprise sont celles à long terme. On y retrouve: les capitaux propres. les amortissements et dépréciations de l'actif (correspondent à des ressources puisqu'il s'agit de capitaux qui concourent au réinvestissement de l'actif)
Comme nous l'avons vu, le capital social correspond au montant des apports des associés. Les capitaux propres représentent, quant à eux, les ressources internes dont dispose la société à long terme.
Où figurent les capitaux propres en comptabilité ? Les capitaux propres figurent au passif: titleContent du bilan comptable (colonne de droite) parce qu'ils constituent une dette envers les associés ou actionnaires de la société.
Les capitaux propres sont les ressources financières que possède l'entreprise (hors dette). Une entreprise investit et génère ses propres capitaux pour son fonctionnement mais aussi pour rémunérer ses actionnaires. C'est au passif du bilan comptable que l'on retrouve les capitaux propres.
Sur le plan comptable, les capitaux propres sont une composante essentielle du bilan comptable et sont enregistrés au passif du bilan comptable. Ils font partie des fonds propres et comprennent le capital social, les réserves, le report à nouveau, les primes d'émission et le résultat de l'exercice.