Les béguinages gardent une vocation sociale et accueillent des personnes âgées aux revenus modestes. Les béguinages se sont développés à partir du 13ème siècle dans le Nord de l'Europe. Ils désignaient un regroupement de logements individuels et de bâtiments communs au sein d'un espace clos.
Le béguinage repose principalement sur une philosophie de vie basée sur l'entraide et la solidarité. C'est aussi souhaiter continuer à vivre chez soi mais sans se sentir seul, en profitant d'une vie en communauté.
Le but de ces “nouvelles résidences” est de s'entraider entre seniors. Le béguinage n'a donc pas perdu ses valeurs religieuses en favorisant le lien social entre résidents. Pour entrer dans un béguinage nouvelle génération, il faut être un senior indépendant et avoir au moins 60 ans.
Il y a deux façons d'intégrer une maison partagée pour les personnes âgées. On peut soit créer sa colocation avec des proches que l'on connait déjà, et avec qui on souhaite vivre. Il faut alors déposer un dossier auprès d'une agence ou d'un propriétaire, comme pour une colocation classique.
La maison partagée est une solution d'hébergement qui repose sur le principe de la colocation. Par conséquent, les personnes âgées ont accès aux mêmes droits que pour tout autre projet de location. Le coût d'une maison partagée peut être totalement ou partiellement financé par les aides financières qui suivent.
Il s'agit de petits ensembles de logements indépendants, caractérisés par la volonté de ses habitants de vivre ensemble et par des espaces de vie individuelle associés à des espaces de vie partagée, dans un environnement adapté et sécurisé.
Aujourd'hui en France, le béguinage est un mode de vie collectif destiné aux personnes âgées seules ou en couple. Ce type de structure n'est pas médicalisé donc le senior doit être autonome ou en perte partielle d'autonomie, autrement dit, il doit appartenir aux Groupes Iso-Ressources (GIR) 6 ou 5.
L'aide peut donc prendre en charge des prestations d'aide à domicile, du matériel, du portage de repas ou encore des travaux pour l'aménagement du logement. Pour pouvoir en bénéficier, il faut être âgé de 60 ans ou plus et être en perte d'autonomie (GIR 1, 2, 3 ou 4).
En 2021, la CNSA a alloué aux agences régionales de santé jusqu'à 25 millions d'euros pour financer les forfaits habitat inclusif au sein d'habitats inclusifs. Pour en savoir plus, consultez l'article sur le financement de l'habitat inclusif.
L'habitat inclusif peut prendre la forme d'une colocation ou d'appartements groupés. Les habitants décident de partager des espaces communs et gardent aussi des espaces privés. Ils mutualisent l'aide humaine dont ils ont besoin et peuvent solliciter un accompagnement quotidien par des professionnels.
Le déploiement de l'aide à la vie partagée débute en 2021 sur les territoires. Pour les projets, existants ou nouveaux, identifiés par les Départements en 2021 et 2022, les Conseils départementaux pourront bénéficier d'un soutien financier de la CNSA jusqu'à 8000€ par an et par habitant.
L'investissement locatif en résidence seniors offre des rentabilités séduisantes (parfois supérieures à 4%) et bénéficie de nombreux avantages fiscaux (dispositif Censi-Bouvard, statut du Loueur en meublé).
Les Marpa, Maisons d'Accueil et de Résidence pour l'Autonomie. Depuis plus de 30 ans, les Marpa ont fait leurs preuves en tant que « petits établissements pour personnes âgées ». Ce sont des lieux de vie confortables, sécurisés et adaptés à l'avancée en âge où les résidents partagent de bons moments.
« Location comprise, un couple de retraités peut y vivre pour moins de 1 000 € par mois », assure Paul Delahoutre, fondateur du site cité par Capital. L'île Maurice, le Sénégal, la Tunisie, Bali et La République Dominicaine complètent le Top 10.
D'après l'étude, il faudrait alors 1 768 euros par mois à un couple retraité, propriétaire de son logement, pour vivre décemment. Pour une personne seule, propriétaire de son logement, c'est 1 150 euros qu'il faudrait par mois. Les plus grosses dépenses sont l'alimentation, le transport et la santé.
L'ouverture d'une Maison Marguerite est associée au paiement d'un ticket d'entrée de 18 000 € HT, assortie d'une redevance mensuelle forfaitisée à 100 €/HT par mois. Trois nouvelles maisons ouvriront début 2021, quand de nombreux projets sont à l'étude avec une échéance de six à 24 mois.
On associe généralement le terme senior aux personnes de plus de 60 ans, souvent retraitées.
La colocation senior est un lieu de partage, à mi-chemin entre la vie à domicile et la vie en maison de retraite médicalisée. Cette grande maison permet aux senior de bénéficier d'une chambre privative ou d'un studio au rez-de-chaussée, et de partager des espaces communs.
Il concerne un logement meublé et s'adresse à toute personne en formation professionnelle, études supérieures, contrat d'apprentissage, stage, service civique, mutation ou mission temporaire dans le cadre de son activité professionnelle. Il ne nécessite pas de dépôt de garantie.
Les résidences autonomie sont des ensembles de logements pour les personnes âgées associés à des services collectifs, souvent construites à proximité des commerces, des transports et des services. Elles sont majoritairement gérées par des structures publiques ou à but non lucratif. Le coût du logement y est modéré.