Participe passé du verbe occire, synonyme d'assassiner ou de tuer. Exemple : Il fut occis par son pire ennemi.
Occis est un terme qui vient du latin occisus, lequel dérive, à son tour, de occidere (« tuer »). Un occis est donc un défunt, celui qui a été tué violemment voire brutalement.
Tuer, faire mourir.
Tuer, trucider, zigouiller, c'est-à-dire ôter la vie de manière violente de façon concrète ou figurée. Exemple : Viens par là, sale traître, je vais t'occire avant même que tu n'aies le temps de crier au secours.
SCHLOFF (ALLER AU -), Aller dormir, se coucher, dormir ; lit. «A schlof», dit ton père en chemise de nuit blanche. (1964). dormir, s'endormir, se coucher.
On a ensuite « je suis fatigué », « je suis épuisé », « je suis exténué », « je suis vidé », « je suis mort de fatigue », « je suis sur les rotules », « je suis crevé », « je suis claqué », « je suis vanné » ou encore « j'ai un coup de barre ».
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Remarque : Occire est usité à l'infinitif, au futur, aux temps composés et au participe passé (occis, occise).
Occire (défectif) ne s'emploie qu'à l'infinitif et au participe passé occis.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps.
Un verbe défectif est un verbe pour lequel certaines formes conjuguées manquent ou bien sont inusitées à certaines personnes, à certains temps ou à certains modes. n'existent qu'à l'infinitif. ne sont pratiquement jamais employées, hors tournure poétique.
Quand le pléonasme n'ajoute rien à la force ou à la grâce du discours, il est dit « vicieux ». On distingue, ainsi qu'il est mentionné plus haut, le pléonasme sémantique et le pléonnasme syntaxique. Pour éviter toute superfluité de mots, on doit : se garder d'employer dans la même phrase des adverbes de sens identique.
Dans celui-ci, la figure est parfois involontaire comme dans l'expression « monter en haut » et cette faute devient une périssologie. Le contraire du pléonasme est l'oxymore.
Définition de pléonasme
➙ redondance. Pléonasme fautif (ex. monter en haut ; panacée universelle ; prévoir d'avance).
maladies infectieuses chroniques (VIH, hépatite B, hépatite C…) ; maladies endocriniennes (diabète de type 2, problème de thyroïde…) ; carences en fer (anémie) ; pathologies chroniques (bronchopneumopathie chronique, maladie rénale…)
On parle alors d'ivresse du sommeil, ou "sleep drunkenness" selon les scientifiques anglophones. "Ce comportement relève lui d'une pathologie rare - l'hypersomnie idiopathique - qui ne concerne que 1% de la population et dont on ne sait pas encore expliquer les causes" précise le chercheur.
Hypersomnie en relation avec un trouble médical
De nombreuses maladies et troubles médicaux peuvent nuire au sommeil et entraîner des hypersomnies. Le diabète par exemple, l'hypothyroïdie, le cancer etc. C'est aussi le cas des tumeurs cérébrales, des encéphalites, des traumatismes crâniens.
Macache, walou : Marave : Matos : MD: (verlan) Dealer, (gitan) Argent.
– Argotique : louloute, loute, meuf. – Familier : bonne femme, greluche, poulette. – Populaire : gonzesse, moukère, mouquère, nana, nénette, pépée, poupée, souris.
Familier. Agir avec lenteur, sans énergie ni vivacité, s'attarder dans l'action.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Tout(e) est un déterminant quantitatif singulier. Tous (toutes) est également un déterminant quantitatif, mais pluriel. Ces déterminants en accompagnent généralement un autre afin de former un déterminant complexe comme tout le, toute sa, tous ces, toutes les, etc.