Les patrons toxiques sont connus pour utiliser leur autorité afin de contourner les règles et les processus. Ils pensent que leur rôle dans l'entreprise les rend infaillibles.
Comment survivre à un patron toxique? Limiter les interactions au strict minimum. Faire appel à un témoin le plus souvent possible. Limiter les sujets de conversation au contexte professionnel.
Le mauvais patron n'aide pas son équipe à progresser en lui offrant davantage de coaching ou de formation. Le mauvais boss n'accorde pas de crédit pour le travail bien fait. L'excellence lui fait peur, et les idées des autres ne lui semblent jamais bonnes.
Comment reconnaître un collaborateur toxique ? Un collaborateur toxique ne passe pas inaperçu dans une équipe : il provoque des réactions extrêmes chez ses collègues. Certains peuvent être totalement séduits par ces personnages souvent charismatiques, d'autres manifester un rejet ou une haine non dissimulée.
Enfin, un appel au secours, preuves à l'appui, en direction de la hiérarchie reste un moyen efficace pour neutraliser un chefaillon. Attention cependant, un petit chef en cache parfois un autre. «Si l'entreprise ne fonctionne pas sur ce mode de la menace, le patron va réagir.
Soyez attentif.
Lorsque votre patron s'adresse à vous, montrez-vous très intéressé(e), même si le sujet en lui-même n'est pas passionnant. Posez des questions pour montrer que vous suivez ce qu'il dit et faites des commentaires pour montrer votre enthousiasme.
Face à ses sautes d'humeur, tenez-vous-en aux faits
Difficile de rester calme lorsque votre chef déboule en furie dans votre bureau. Il faut pourtant respecter cette règle d'or : ne jamais répondre à l'agressivité par l'agressivité, afin d'éviter l'escalade de la violence.
Le meilleur moyen de vous sortir de cette situation est de faire ressortir votre caractère un peu féroce en lui montrant qu'il aura beau vous proférer des menaces contre vous, vous n'avez pas peur de lui. Montrez lui tout l'apport que vous avez pour lui. Que vous n'êtes pas là contre lui mais pour lui.
Réagir face à un management toxique : mode d'emploi
Le plus souvent, la solution la plus simple consiste à informer son manager des conditions de travail qu'il est en train d'imposer à ses salariés. Cela consiste à faire remonter son mal-être au travail à celui-ci ou bien à un responsable RH de l'entreprise.
Le chef manipulateur change de version d'un jour à l'autre, dit une chose et son contraire, entretient le flou sur ses points de vue, ses attentes, ses ressentis. Le manipulateur pense également que sa victime est dans sa tête et ressent les mêmes choses.
Le management devient toxique quand l'acte managérial lui-même, la façon de faire du manager, affectent fortement le bien-être et la performance des collaborateurs. L'issue dramatique la plus connue de la toxicité c'est le harcèlement, mais la toxicité ne se limite pas à cette situation.
"La culture de travail toxique décrit une culture où le lieu de travail est en proie à des querelles intestines, à une agressivité passive, à des cris à travers le bureau, à des drames et à des employés malheureux au point que la productivité s'en trouve affectée", explicite Alexandra, Lichtenfeld, coach en travail ...
Lorsque votre patron est un salaud à vos yeux ou que vous avez été licencié, l'une des meilleures mesures de vengeance est de coller quelque chose de malodorant dans le bureau et de le faire empester le joint. Bien sûr, si vous tombez sur un oiseau mort, c'est une option viable.
Répondre à une attaque verbale
Donc, en cas d'attaque, il faut se demander ce qu'on a touché chez elle qui l'a fait nous insulter, et essayer de répondre là-dessus, la renvoyer à ses manques, à son intolérance…"
Accès de colère où le ton monte, consignes « aboyées », dénigrement, propos vexatoires, ton méprisant, injures, menaces… La violence verbale, très répandue dans le monde du travail, peut prendre des formes différentes. Elle n'en demeure pas moins punie par la loi et n'a pas sa raison d'être.
Ignorer son chef.
"Cette option consiste à laisser dire son chef sans jamais lui répondre, tout en préparant ses munitions quand viendra le jour de l'entretien d'évaluation.