La colectomie gauche est l'ablation de la partie gauche du colon.
Une colectomie est indiquée en cas de : Cancer du colon. Complication de diverticule colique (hernie de la muqueuse du colon principalement sur le colon sigmoïde) Maladie inflammatoire de l'intestin (Rectocolite Hémorragique et maladie de Crohn)
Suite à l'ouverture entre les deux bouts, des selles peuvent s'échapper dans la cavité abdominale et provoquer un abcès localisé ou une péritonite avec une infection généralisée de la cavité abdominale. Le risque est présent durant les 2 premières semaines après l'intervention.
Immédiatement après l'opération, une phase d'adaptation peut être nécessaire. L'alimentation sera alors basée sur la consommation de riz et de pâtes. Ensuite, le régime alimentaire redevient globalement identique à celui d'avant la maladie. On veillera néanmoins que celui-ci soit bien équilibré et varié.
Si le côlon a été entièrement retiré (colectomie totale), des diarrhées sont importantes les premiers mois et diminuent ensuite. - si le côlon droit a été enlevé, les selles sont plus molles que si c'est le côlon sigmoïde (juste avant le rectum).
Le côlon gauche, appelé aussi côlon descendant, longe le côté gauche de l'abdomen. Il part du côlon transverse et se prolonge vers le bas jusqu'au côlon sigmoïde.
Mangez des repas plus petits et moins riches en fibres. Mâchez bien les aliments et mangez lentement. Mangez des aliments plus riches en potassium (bananes, oranges et pommes de terre) et en sodium (soupes, jus de tomate et biscuits salés) pour remplacer ce qui est perdu dans les selles.
Et bien oui, on peut vivre sans côlon et non, il n'y a aucune contrainte. Si ce n'est, un transit intestinal accéléré qui se régule rapidement après l'opération, avec au besoin un traitement médicamenteux à base d'anti-diarrhéiques.
La survie (survie nette standardisée) des personnes atteintes d'un cancer colorectal s'élève à 63% 5 ans après leur diagnostic pour les personnes diagnostiquées en 2010-2015, légèrement plus élevée chez la femme (65%) que chez l'homme (62%).
Le traitement consiste à retirer complètement les polypes du côlon et du rectum. L'exérèse est généralement réalisée lors d'une coloscopie, mais le traitement peut aussi faire appel à la chirurgie. Puis, la surveillance par coloscopie est adaptée en fonction du type de polype.
Colostomie ou iléostomie latérale
La colostomie ou l'iléostomie latérale est habituellement temporaire. Elle est pratiquée pour que les selles soient expulsées du corps avant d'atteindre la partie malade ou affectée de l'intestin. On peut relier l'intestin à nouveau lorsqu'il a guéri.
Le déroulement de l'opération
la laparotomie : c'est l'opération chirurgicale classique qui consiste à faire une incision dans la paroi abdominale. Le chirurgien retire la tumeur et la partie de l'intestin touchée, ainsi que les vaisseaux et les zones voisines contenant des ganglions lymphatiques.
En effet, la stomie est réalisée lors d'une opération chirurgicale pour traiter une maladie telle qu'un cancer, la maladie de Crohn ou une diverticulite. Mais elle peut également être causée par une occlusion intestinale, une incontinence urinaire ou fécale ainsi que des lésions sur le système digestif ou urinaire.
Ils ont alors découvert que la perte de poids involontaire était liée à 10 types de cancer : le cancer de la prostate, colorectal, du poumon, œsophagien, pancréatique, de l'ovaire, de l'appareil rénal et biliaire, mais aussi en cas de lymphome non hodgkinien ou encore de myélome.
Le polype colorectal est une tumeur bénigne, de taille variable, se développant sur la muqueuse du côlon ou du rectum. Il importe de les retirer pour prévenir l'apparition d'un cancer colorectal.
Le plus courant est le polype adénomateux, il s'agit d'une lésion précancéreuse, c'est-à-dire que cette tumeur, bénigne au départ, peut évoluer en cancer au bout d'un certain nombre d'années.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
La colopathie est un trouble intestinal qui peut s'accompagner de : douleurs importantes qui peuvent irradier dans le dos ou la racine des cuisse, dyspepsie (douleurs et malaise dans la région supérieure de l'abdomen), brûlures d'estomac, crampes, ballonnements, et perte de poids inexpliquée.
La banane pour stimuler le transit intestinal
La banane est une bonne source de fibres alimentaires, une portion de 100 g contient près de 2,6 g de fibres, soit un peu plus que la pomme (2,4 g). Sa bonne teneur en fibres en fait un allié de choix pour améliorer le transit intestinal.
Il offre une excellente digestibilité Comme son amidon est facilement accessible aux enzymes digestives, il ne ballonne pas et convient en cas d'intestin irritable. Il a également des vertus antidiarrhéiques.
à fibres solubles : avoine, seigle, orge, aliments riches en pectine (pomme, poire, coing, baies, raisin, orange, pêche, pamplemousse) et en inuline (chicorée, oignon, ail, poireau, ail, asperge, artichaut, topinambour, salsifis, endive).
La surveillance par coloscopie est plus ou moins rapprochée selon les caractéristiques des polypes adénomateux. Il n'existe pas de limites d'âge strictes pour arrêter les dépistages. La décision est prise en concertation avec le médecin et il est important de respecter les contrôles programmés.