La collision continentale est un phénomène géodynamique se produisant à la limite convergente de deux plaques tectoniques où deux lithosphères continentales se rencontrent.
Quand la lithosphère continentale, tirée par la lithosphère océanique, arrive au niveau de la subduction, elle commence à s'enfoncer mais, rapidement, elle bloque car elle est trop peu dense : c'est ce qu'on appelle la collision continentale.
On dit qu'il y a collision ou choc entre deux ou plusieurs particules quand ces objets subissent une interaction mutuelle de courte durée et de courte portée. Le choc est localisé dans le temps et l'espace. En règle générale, les forces d'interaction sont négligeables quand les particules sont suffisamment éloignées.
Les caractéristiques des chaînes de collision. Contrairement aux chaînes de montagnes des zones de subduction, les chaînes de montagnes de collision ne montrent qu'une très forte activité sismique, aucune activité volcanique n'y est relevée.
Les roches sont alors comprimées, déformées, plissées et faillées, provoquant la surrection de chaînes de montagnes. Ainsi, les chaînes Alpines sont la conséquence de la collision de l'Afrique et de l'Europe, et l'Himalaya, toujours en formation, résulte de la collision de l'Inde et de l'Asie.
La garantie Risque de collision ou de renversement couvre le coût de réparation ou le coût de remplacement à la suite de dommages matériels subis par le véhicule en se basant sur sa valeur au jour du sinistre.
En géologie, la convergence est le rapprochement de deux plaques lithosphériques. Elle se déroule en général en deux étapes consécutives : la subduction de la lithosphère océanique ; la collision éventuelle des deux masses continentales portées par les plaques tectoniques.
La collision des continents est à l'origine de la formation d'une chaîne de montagnes. Les pressions exercées provoquent la déformation des roches. Exemples : l'Himalaya est la conséquence de la collision entre l'inde et le continent asiatique.
La subduction est un processus d'enfoncement d'une plaque tectonique sous une autre plaque de densité plus faible, en général une plaque océanique sous une plaque continentale ou sous une plaque océanique plus récente.
Il y a un raccourcissement et un épaississement de la lithosphère continentale (avec indices tectoniques de types plis, failles inverses, chevauchements). L'autre conséquence de cette collision est la remontée de certains matériaux vers la surface et en altitude (métagabbros, ophiolites...).
Les zones de subduction sont ce que l'on appelle des marges actives. Elles représentent des limites de plaques tectoniques convergentes et se caractérisent par la plongée d'une plaque océanique sous une autre plaque.
Si au moins une des deux lithosphères en convergence est océanique, on a une subduction, c'est-à-dire la plongée d'une lithosphère océanique dans le manteau ; Si les deux lithosphères en convergence sont continentales, on a ce qu'on appelle une collision continentale.
Les causes de la subduction sont à chercher dans la différence de densité entre la plaque subduite et le manteau asthénosphérique dans lequel elle plonge. Le manteau lithosphérique a la même composition (au premier ordre) que le manteau asthénosphérique, mais, étant plus froid, il est aussi plus dense.
Ces fissures favorisent un volcanisme effusif. Le magma qui remonte comble ainsi ces fissures et crée une nouvelle lithosphère. Ainsi, au niveau des dorsales océaniques, on observe un mouvement de divergence : les plaques se forment et s'écartent de quelques centimètres par an.
L'orogenèse désigne l'ensemble des processus entrainant la formation des montagnes. C'est le mouvement des plaques tectoniques qui nous permet de comprendre et d'expliquer la formation des chaînes de montagnes.
1. Partie de la géologie qui a pour objet l'étude des déformations des corps solides du système solaire (planètes telluriques et satellites naturels), en relation avec les forces (la dynamique) et les mouvements (la cinématique) qui les produisent. 2. Ensemble des caractéristiques communes de ces déformations.
Les zones de divergence s'observent là où deux plaques tectoniques d'éloignent l'une de l'autre. Elles font l'objet d'un volcanisme intense. Sous la surface des océans, elles correspondent donc aux dorsales ou rides médioatlantiques, et peuvent dans certains cas abriter des îles, comme les Açores ou l'Islande.
La fusion partielle concerne les profondeurs (z) où la température du géotherme excède celle du solidus.
On admet à présent que les plaques tectoniques sont portées par les mouvements du manteau asthénosphérique sous-jacent, et subissent des interactions dont les trois types principaux sont la divergence, la convergence, et le coulissage.
Lors de la collision de deux plaques, la plaque la plus dense plonge dans le manteau où elle fondera alors que la plaque la moins dense demeure en surface. Cette rencontre est nommée zone de subduction. Du magma peut sortir de la croûte terrestre à ces endroits, ce qui peut provoquer la formation de volcans.
En surface, la matière est simplement translatée des dorsales vers les zones de subduction. Sous l'effet du refroidissement, cette matière devient cassante et constitue de grandes plaques d'une épaisseur de 10 à 100 km. C'est ce mouvement, appelé tectonique des plaques, qui donne lieu à la dérive des continents.
Ces séismes se trouvent au contact des deux plaques tectoniques qui subissent donc un mouvement de rapprochement : la plaque de Nazca d'origine océanique passe sous la plaque sud-américaine d'origine continentale et plonge dans l'asthénosphère. De la lithosphère océanique disparaît donc au niveau de cette fosse (doc.
Lorsque deux plaques se rencontrent, elles se chevauchent et forment une zone de subduction. La plaque plongeante entraîne avec elle le bord de l'autre, formant une fosse océanique.