Une transaction est un accord conclu entre un acheteur et un vendeur pour échanger des biens, des services ou des actifs financiers.
Plus précisément, il existe deux types d'opérations diverses (OD) en comptabilité : les OD centralisatrices et les OD réparatrices. Les OD centralisatrices comptabilisent les salaires, charges sociales et la TVA. Elles débitent un compte de charge et créditent un compte de classe 4 (compte de tiers).
En comptabilité, un compte se schématise par un tableau scindé en deux colonnes. Chacune d'entre elles a vocation à enregistrer des opérations. La colonne de gauche est un « Débit » et la colonne de droite un « Crédit ». On dit qu'un compte est débité lorsque l'entreprise enregistre une somme à son débit.
Une écriture comptable est une opération consistant à enregistrer un flux commercial, économique ou financier à l'intérieur de comptes. Les écritures sont portées dans un document appelé « journal ».
La règle de base est donc : ce que votre entreprise doit à un tiers est au crédit des écritures comptables. Et à l'inverse, ce qui est dû (par un tiers) à votre entreprise est au débit des écritures comptables.
La balance permet de contrôler la comptabilité d'une entreprise et de s'assurer de l'exactitude du bilan et du compte de résultat de la société. Il s'agit d'un document comptable qui reprend tous les comptes de la société. Il fait apparaître les soldes créditeurs et débiteurs sur la période de l'exercice.
Ce qu'on appelle en comptabilité “l'état de rapprochement bancaire” permet de rapprocher, à une même date, le solde du relevé bancaire avec le solde du compte en banque.
Les comptes de base, ou comptes en « T », qui servent à l'enregistrement de toutes les opérations. Ils s'organisent en partie double, avec le débit en partie gauche et le crédit en partie droite.
Les opérations courantes sont l'ensemble des opérations liées à l'exploitation de l'entreprise. Pour une entreprise commerciale, l'achat et la vente de produits constituent des opérations courantes.
Le passif est la contrepartie de l'actif du bilan comptable. Il comprend toutes les dettes que l'entreprise a contractées auprès de ses nombreux créanciers. Celles-ci lui permettent de financer son actif. Le passif du bilan est un élément du patrimoine qui a une valeur économique négative pour l'entreprise.
Le livre de caisse est un document comptable dans lequel on enregistre tout mouvement d'entrée ou de sortie (crédit et débit) d'espèces et où le solde peut être connu à tout moment. Ce journal peut être tenu en version papier et/ou en version informatique.
Un livre de comptabilité est un registre dans lequel sont consignés tous les mouvements financiers de l'entreprise par ordre chronologique. À chacun d'eux, est associé un compte selon le PCG (plan comptable général).
En physique, un débit permet de mesurer un volume ou une quantité de matière par unité de temps. Les exemples les plus courants sont un débit d'électrons (on parle alors d'intensité du courant) ou du débit d'un fluide à travers une surface.
Le solde d'un compte est débiteur si les sommes débitées de celui-ci sont supérieures à celles qui ont été créditées. Les débits sur le compte n'ont pas été compensés par des revenus suffisants, ce qui a rendu le solde du compte négatif. A l'inverse, un solde positif est qualifié de "créditeur".
Créditer un compte bancaire signifie l'inscription d'une somme d'argent au crédit d'une personne physique ou d'une personne morale sur un compte ouvert auprès d'une banque de dépôt ou d'une banque de proximité. Débiter signifie la comptabilisation d'un débit s'opposant ainsi au verbe créditer.
Les achats sont comptabilisés hors taxe déductible. Ainsi, la TVA non déductible doit être considérée comme un élément du prix d'achat. En conséquence, si une association (ou une entreprise) n'est pas assujettie à la TVA, elle enregistre les prix d'achat TTC dans les comptes 601 à 607.
L'écriture comptable du compte fournisseur est en forme de T (compte de contrepartie) et est constituée d'une colonne débit et d'une colonne crédit. Le compte fournisseur regroupe l'ensemble des factures d'achats non réglées (au moment de la création des comptes financiers annuels).
Le brouillard de caisse consiste à faire le « brouillon » des mouvements (dépenses et recettes) enregistrés dans la journée. Le brouillard de caisse totalise les opérations comptables de la journée, par ordre d'arrivée.
Exemple: un crédit de 100 euros dans la compte banque 512 correspond à un débit de 100 euros inscrit sur le relevé bancaire. Cela signifie que lorsque l'entreprise effectue un dépôt à la banque, la banque lui doit ses fonds, elle est débitrice de cette somme à l'égard de l'entreprise.
Une transaction bancaire en suspens est une transaction bancaire observée par le client avant qu'elle ne soit enregistrée par la banque : chèque émis, LCR reçue, chèque reçu… Traditionnellement, c'est la réalisation d'un état de rapprochement bancaire qui permet de mettre en évidence les sommes correspondantes.