1. Un artiste caractériel. On ne peut pas commencer à parler de la Pietà sans parler de son créateur, le très célèbre Michel-Ange. On ne vous apprend rien en vous disant qu'il est considéré comme un génie artistique et même 454 ans après sa mort, il est toujours considéré comme l'un des plus grands artistes au monde.
La Pietà de Michel-Ange La Pietà de la Basilique Saint-Pierre était une commande adressée à Michel-Ange en 1498 de la part du cardinal français Jean Bilhères de Lagraulas, ancien ambassadeur de Charles VIII à Rome.
La Vierge de la Pietà est jeune. Son visage exprime admirablement que tout est accompli. La jeunesse de Marie, comme celle de Jésus, traduit leur beauté spirituelle, du fait qu'ils sont sans péché. Elle anticipe la Résurrection, la victoire de la vie sur la mort ».
La sculpture Pieta a des influences de l'art français de cette époque et la pièce elle-même a été commandé par le cardinal français Jean de Billheres. L'équilibre des âges entre Jésus et Marie est inhabituel dans cette sculpture et utilise la licence artistique pour obtenir la finition précise que l'artiste désiré.
Les célèbres fresques de Raphaël présentent sont : La Dispute du Saint-Sacrement (Théologie, 1509) L'École d'Athènes (Philosophie, 1509-1511)
'Un génie universel, capable d'embrasser à la fois et de pousser à toutes leur perfection les arts de la peinture, de la sculpture et de l'architecture' selon les mots de Giorgio Vasari, Michel-Ange est avec Léonard de Vinci et Raphaël, l'un des plus grands artistes de son temps.
Le Jugement dernier (ou Jour du Seigneur, ou encore Jugement universel) est, dans les religions abrahamiques, le jour où se manifestera aux hommes le jugement de Dieu sur leurs actes, leurs paroles et leurs intentions.
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Seul Dieu juge et seul il prononce la sentence en vérité. Juger humainement, c'est mépriser la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité » (Rm 2,4). Car le « juste jugement » de Dieu (ἡ δικαιοκρισία dikaiokrisia) ne relève pas de notre conception de la justice.
Dans la Bible, les sept Trompettes de l'Apocalypse annoncent les fléaux qui vont s'abattre sur la terre. Elles sonnent la fin des temps. Or depuis 2012, on les aurait entendues à divers endroits de la planète…
L'ordalie, ou « jugement de Dieu », était une forme de procès à caractère religieux qui consistait à soumettre un suspect à une épreuve, douloureuse voire potentiellement mortelle, dont l'issue, théoriquement déterminée par une divinité ou Dieu lui-même, permettait de conclure à la culpabilité ou à l'innocence dudit ...
David (1501-1504)
La sculpture qu'à fait Michel-Ange du personnage biblique est la représentation la plus célèbre dans l'imaginaire collectif.
Michel-Ange prenait un vase plein d'eau, dans lequel il plaçait son modèle de cire, ou de telle autre matière dure; de manière que les parties les plus élevées du modèle saillaient seules hors de l'eau, et que les autres en étaient couvertes.
Sa vie. Il est né sous le nom de Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni, mais tout le monde le connaît sous le diminutif de Michel-Ange. Originaire de Caprese, non loin de Florence, ce « divin » artiste est le fils d'un magistrat et d'une jeune femme, décédée durant sa prime enfance.
. Pourtant, au troisième étage du palais apostolique l'attend un vaste appartement, rien que pour lui, et récemment rénové. «François entend rester jusqu'à nouvel ordre» dans la résidence Sainte-Marthe au Vatican.
Raphaël, École d'Athènes Pour réaliser cette œuvre censée représenter les multiples aspects de la cour papale de Jules II unis à la pensée du monde antique, Raphaël eut la superbe idée de mettre en scène la discussion entre les philosophes et les sages de toute l'Antiquité.
Michel-Ange était aussi un humaniste, plaçant l'homme au centre du monde. Avec La Création d'Adam, figure centrale du plafond, il représente cet idéal humaniste du lien direct entre l'Homme et Dieu. Superposition des états « avant / après » de la chute et expulsion d'Adam et Ève du paradis terrestre.
La justice de Dieu n'est pas une justice exercée, ni la loi en vertu de laquelle le pécheur est puni, mais une justice reçue, une justice passive, par laquelle Dieu nous acquitte du péché, grâce à laquelle il nous rend juste, une justice que nous laissons agir en nous par la foi.
Dieu juge, effectivement. C'est ce que nous proclamons dans le Credo : « Il viendra juger les vivants et les morts. » La notion de jugement n'est pas à récuser.
Il faut avoir le plus grand respect de Dieu et de son nom. Non seulement on ne peut faire de faux serments et on s'acquittera de ceux que l'on a prononcés, mais il ne faut pas jurer du tout. Aller plus loin que le « oui » et le « non » vient du Mauvais.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
La tradition l'a parfois identifié avec l'apôtre Jean, fils de Zébédée, auquel on a également attribué le quatrième évangile canonique, ou encore à un certain « Jean le Presbytre », c'est-à-dire « l'Ancien ».
Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse originaux (de gauche à droite) : Mort, Famine, Guerre et Conquête dans un tableau de 1887 par Viktor Vasnetsov.