Et pourtant, c'est un Français qui a découvert les trucages pour la première la fois en 1896. Georges Méliès a été reconnu comme l'inventeur des premiers effets spéciaux sur grand écran.
Georges Méliès est aujourd'hui reconnu comme le père des effets spéciaux et le créateur du premier Studio de cinéma. Né le 8 décembre 1861, il se découvre très vite une passion pour la prestidigitation.
Dans le septième art, le premier effet spécial avec arrêt de caméra, et substitution d'une actrice par un mannequin, a lieu dans le film américain L'Exécution de Mary, reine des Écossais réalisé en 1895 par William Heise et Alfred Clark.
Le premier trucage de l'histoire du cinéma fut l'œuvre de Georges Méliès. Et ce fut un accident. Il tournait place de l'Opéra, à Paris, un petit film, qui durait à l'époque environ une minute.
Aujourd'hui, on distingue trois moyens de réaliser des trucages ou effets spéciaux : caméra, décor et laboratoire. Les effets spéciaux de caméra sont : l'arrêt de caméra ou substitution, la marche arrière, l'accéléré et le ralenti, le tournage « vue par vue ».
Les effets spéciaux peuvent être coûteux pour la simple et bonne raison qu'ils permettent de créer des univers et des personnages fantastiques à partir de rien.
Ces effets spéciaux ont pour but de donner du mouvement à une action, simuler un objet, des personnages voire des phénomènes qui n'existent pas, ou qui n'ont pas pu être filmés lors du tournage. On parle également de trucage, en référence aux premières expérimentations menées par Georges Méliès.
Le terme « effet spécial » regroupe l'ensemble des techniques utilisées dans l'audiovisuel pour créer l'illusion d'action et simuler des objets, des personnages, des environnements ou des phénomènes (météorologiques, sonores, etc.) qui n'existent pas dans la réalité ou qui ne peuvent être filmés lors du tournage.
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Des dinos en animatronique
Les plans rapprochés de leurs corps et leurs têtes sont l'œuvre de Stan Winston, un spécialiste des effets spéciaux qui crée des robots mécanisés tirés par des câbles. C'est la technique de l'animatronique : un mariage subtil entre effets traditionnels et numériques.
Pour devenir technicien des effets spéciaux, plusieurs voies sont envisageables. Il est possible d'intégrer une école de l'image, une école du cinéma, une école d'arts appliqués et arts graphiques ou une école spécialisée dans les effets spéciaux visuels.
C'est Georges Méliès (1861-1938) : un pionnier du cinéma qui avait d'abord choisi d'être illusionniste. Propriétaire depuis 1888 du théâtre Robert-Houdin, il avait assisté en décembre 1895 à la première séance de cinématographe.
Georges Méliès est considéré comme l'un des principaux créateurs des premiers trucages du cinéma, entre autres les surimpressions, les fondus, les grossissements et rapetissements de personnages.
Prestidigitateur-illusionniste et pionnier du spectacle cinématographique, Georges Méliès crut à l'avenir de l'image animée avant les frères Lumière eux-mêmes. Inventeur des truquages, il fut le premier à exprimer par le cinéma la féerie, le merveilleux et le fantastique.
La VFX Artist est une professionnelle chargée de concevoir des effets spéciaux visibles à l'écran qu'ils soient liés au gameplay ou à l'ambiance graphique du jeu. Elle le fera en fonction des attentes et contraintes techniques et artistiques souhaitées.
Sur les 160 minutes que dure le film, 117 minutes sont de pures créations infographiques : le décor, la végétation, les accessoires, les personnages, tout est créé par ordinateur, rien n'a été filmé.
De temps en temps, Jean Dujardin utilisait un petit fauteuil à roulettes. Cependant, cela était seulement pour des scènes de marche de courte durée, sinon ça se voyait qu'il ne marchait pas. Un peu à l'américaine, Laurent Tirard a utilisé des fonds verts pour certaines séquences du film.
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Star Wars à l'ère du numérique
Il s'empare alors de matériel numérique HD pour booster ses effets spéciaux. Dans La Menace Fantôme, tous les vaisseaux spatiaux sont désormais créés à partir d'images de synthèse et les effets spéciaux sont traités avec du matériel numérique.
Au fait, Wondershare Filmora Video Editor offre plus de 300 effets spéciaux au choix, pour vous aider à réaliser des films incroyables. Tous les effets spéciaux sont intégrés au logiciel de montage vidéo, il est donc très facile à appliquer. Vous avez seulement besoin de faire glisser et déposer l'effet de votre choix.
Que fait un(e) monteur(euse) truquiste ? Ce magicien de l'image intervient en phase de post-production, c'est-à-dire après le tournage du film. À la demande du réalisateur, il transforme les images et réalise des effets spéciaux grâce à des logiciels spécifiques.