Le sable est généralement issu de la désagrégation des roches, sous l'action des intempéries et de l'érosion. Les roches descendent les rivières et les ruisseaux, se décomposant constamment en cours de route.
Le sable est constitué de petits grains, plus ou moins fins. Ce sont les vagues qui les ont déposés sur la plage. L'eau des océans mouille les roches et les frappe parfois avec force. Ces roches se fragilisent et se cassent en cailloux.
Le sable commun, constitué de grains de quartz, est formé par l'érosion des roches sous l'effet de l'eau, de la température et du vent puis est transporté par les fleuves ou les vents.
Le sable est avant tout un matériau naturel, issu du quartz ou du silex, largement utilisé dans le domaine de la construction. Le sable est constitué de grains plus ou moins fins, dont la dimension varie de 0,15 mm à 4,76 mm.
Le sable du Sahara est le résultat de l'érosion de ces plateaux de grès. Érosion impossible sans l'action de l'eau et de la végétation, qui dégradent avec leur acidité la roche. Le vent n'entre que peu dans ce processus. L'eau est le facteur majeur de cette désagrégation.
Le sable est une matière solide granulaire constituée de petites particules provenant de la désagrégation de matériaux d'origine minérale (essentiellement des roches) ou organique (coquilles, squelettes de coraux, etc. )
C'est un vent du sud, le sirocco, qui est à l'origine de ce phénomène. Celui-ci provoque une tempête de sable dans le Sahara et crée un tourbillon. Les plus gros grains retombent, mais les particules restent en suspension jusqu'à 4 500 m d'altitude.
La poussière provenant du Sahara, qui donne au ciel de certains territoires une couleur oscillant entre le jaune et l'orange depuis mardi 15 mars 2022, comporte des particules pouvant être toxiques pour la santé et provoquer des infections pulmonaires et des effets cardiovasculaires.
Ces îlots de fraîcheur ne sont que la partie visible et affleurant le sable d'immenses réserves d'eau situées sous le désert, de l'eau fossile accumulée depuis des milliers voire un million d'années, et rechargée en eau à l'époque où le Sahara, entre la fin du Pléistocène (-11700) et l'Holocène moyen, selon les régions ...
La demande en sable a triplé en 20 ans
Les 60 000 grands barrages construits à travers le monde retiennent ¼ du sable de la planète. Les sédiments qui, en temps normal, se dirigent par le lit des rivières vers la mer et les plages, y sont emprisonnés. Cela oblige donc à extraire du sable dans les mers et les océans.
En dépit des apparences, le sable est pourtant une ressource rare. « Il est difficile d'imaginer une pénurie de sable parce qu'il y en a à profusion dans les déserts. Mais il a tellement été tourneboulé pendant des siècles qu'il est trop lisse et qu'il ne s'agrège pas, contrairement à celui qui est dans la mer.
Ce vent tempétueux qui souffle depuis le Sahara, créé des tourbillons dans le désert et propulse les particules de sable jusqu'à 4.500 mètres d'altitude. Emportées par le vent, ces poussières circulent vers le sud de la France plusieurs fois par an, mais beaucoup plus rarement jusqu'au nord du pays.
On sait depuis longtemps que le Sahara n'a pas toujours été un désert. Il y a plusieurs milliers d'années, à partir de - 9000 avant J. -C., c'était même une région très verte et humide, où vivaient éléphants, girafes ou hippopotames, comme le prouvent des peintures rupestres préhistoriques.
Dans le Parisien, le spécialiste Paul Marquis faisait état de remontées d'air du Sahara sur la France induites par des dépressions qui passent très près du Maghreb, un phénomène de plus en plus présent. Conséquences : des remontées d'air chaud et de poussières plus régulières.
Des climatologues ont montré comment des changements de température dans l'hémisphère Nord ont provoqué une rapide aridification du Sahara il y a près de 5 000 ans. d'une abondante végétation et parcouru par des rivières.
C'est l'érosion. Le sable et les galets transportés par les cours d'eau jusqu'à la mer, s'accumulent pour donner les plages à dominance de sable noir ou de galets. Lors de leur transport par l'eau, les galets et les grains de sable s'entrechoquent les uns contre les autres et s'usent.
Parfois le sable est formé un peu différemment : certains sables blancs, très fins sont issus de l'érosion de coraux et de squelettes d'animaux morts. Et parfois même, le sable vient des poissons qui ont « grignoté » des coraux et qui ont rejeté les parties non assimilables.
Tout comme la plage de sable noir, la plage de sable gris est d'origine volcanique. On en rencontre un peu partout dans le monde.
L'origine de cette radioactivité dans les particules de sables sahariens est bien connue. Elle est essentiellement liée aux quatre essais nucléaires réalisés dans cette région par la France au début des années 1960. A cause de vents puissants Durant le transport les particules les plus fines ont voyagé le plus loin.
Sous certaines conditions, le continent européen, et particulièrement le sud de la France, connaît des transports de poussières sahariennes qui donnent au ciel une couleur orangée et un peu sable au sol.
Créé en 1963 par le célèbre acteur Jean Richard sur le thème du Far West américain, la Mer de Sable est le plus ancien parc d'attractions de France ! Elle est idéalement située à 35 minutes de Paris mais au cœur de la forêt d'Ermenonville, dans l'Oise en Picardie.
William Baker (aussi connu comme Flint Marko), alias l'Homme-sable (« Sandman » en VO ) est un super-vilain évoluant dans l'univers Marvel de la maison d'édition Marvel Comics.
Finalement, sous le pseudonyme de Flint Marko, il a été arrêté et emprisonné à Riker's Island. Mais après s'être échappé de prison, Marko est accidentellement tombé sur un accélérateur de particules expérimental qui l'a lié moléculairement au sable, devenant ainsi le super-méchant connu sous le nom de "Homme-Sable".
Lundi 12 septembre 2022, du sable du Sahara va remonter jusqu'en France. Le sud et l'Occitanie seront en première ligne.
Sur la côte méditerranéenne, la profondeur du sable sur la plage et au fond des mers varierait entre 1,50 m et 4 m. En Bretagne et en Manche, elle évoluerait plutôt entre 0,50 m et 2 m. Ces valeurs changent en fonction des courants et du temps qui passe.