Le chef d'état-major des troupes allemandes
En position de force, von Falkenhayn, chef d'état-major des armées allemandes, décide de lancer sur Verdun l'armée du Kronprinz de Prusse, prince héritier de l'empire allemand. A Verdun, le front forme un saillant, ce qui permet plus facilement des attaques convergentes des deux côtés.
L'objectif territorial importe peu, il ne s'agit pas d'occuper, mais de tuer. Sa tactique est d'attaquer en tenaille un saillant du front français et d'employer intensément l'artillerie avec une technique de hachoir ou "Trommelfeuer".
Bataille de l'Atlantique
La bataille de Verdun est une bataille qui s'est déroulée du 21 février au 18 décembre 1916 dans la région de Verdun en Lorraine, durant la Première Guerre mondiale. Elle a opposé les armées françaises et allemandes.
La bataille de Verdun, qui dura presque toute l'année 1916 se déroula en fait en deux phases. La première phase fut celle de l'offensive allemande. L'attaque fut lancée par les Allemands le 21 février 1916 et se solda par une percée de plusieurs kilomètres et la prise des premières lignes françaises.
Parallèlement, des thèses négationnistes instrumentalisent l'héritage de Pétain et servent une idéologie complotiste. En 1945, Philippe Pétain est reconnu coupable de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Il est condamné à l'indignité nationale, dégradé, privé des droits civiques et de toute décoration.
La diminution de la pression allemande sur Verdun, permet aux Français reprendre l'offensive afin de récupérer le terrain perdu depuis le 21 février. Le 24 octobre, les huit divisions commandées par le général Mangin se lancent à l'assaut et s'emparent des forts de Douaumont (24 octobre) et de Vaux (2 novembre).
Pétain, 89 ans, a établi sa défense avec ses trois avocats : lui, le héros de Verdun , qui a servi la France sa vie durant, on l'a supplié d'accepter le pouvoir à l'été 1940.
C'est ici qu'avec une fermeté tranquille, la France lui a répondu « on ne passe pas ». La formule « Verdun, on ne passe pas » devient la devise inscrite sur la médaille de Verdun.
La bataille la plus meurtrière de la Première Guerre Mondiale. La bataille de la Somme est non seulement l'une des plus grandes opération militaire de la Première Guerre Mondiale, mais elle fut aussi la plus meurtrière. Cette bataille de plus de 4 mois fit plus d'1,2 million de morts, blessés ou disparus.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
Verdun reste l'une des batailles les plus meurtrières de la Première Guerre mondiale. La bataille de Verdun s'est tenue de février à décembre 1916. À l'initiative de l'état-major allemand, elle a pour objectif de faire cesser la guerre de position dans laquelle se sont enfoncés les deux camps.
Malgré le déluge d'obus, les « Poilus » s'accrochent au terrain et les Allemands ne peuvent aller plus loin. Le général Pétain est alors placé à la tête des troupes chargées de défendre Verdun.
L'enjeu pour les Allemands est de conquérir rapidement ce saillant, de faire craquer le front et dès lors de pousser leur offensive jusqu'à la capitulation française. Tenir, tenir Verdun coûte que coûte est le mot d'ordre.
La guerre de 1914-1918 a marqué les mémoires par l'ampleur des pertes : 18 % au moins des incorporés de l'armée française furent tués, soit 1,5 million de morts.
C'est également la bataille la plus longue de la Première Guerre mondiale et, bien qu'il ne s'agisse pas de la plus meurtrière, le bilan humain est très lourd : 163 000 morts pour la France ; 143 000 morts pour l'Allemagne.
"On a longtemps appelé les Anglais 'les Rosbifs'. Mais le saviez-vous, sous Napoléon, on appelait même l'armée anglaise 'les homards'. On les a aussi appelé 'les anglois', 'les brits', 'les engliches'. L'origine de ces surnoms vient de l'armée.
Arrêtés le 10 juillet à Bamako, ces membres des forces armées ivoiriennes étaient soupçonnés d'être des « mercenaires » par les autorités maliennes et ont été condamnés à vingt ans de réclusion. Trois femmes soldats libérées en septembre avaient quant à elles été condamnées à la peine de mort par contumace.
La bataille de Verdun : le contexte. Grâce à une brusque contre-attaque sur la Marne en septembre 1914, anglais et français parviennent à exploiter à leur avantage une erreur de manœuvre des allemands. C'est alors la « course à la mer », pendant laquelle les belligérants tentent vainement de se déborder par le flanc.
Bataille de la Marne (1914)
Montoire a posé les bases d'une collaboration entre le vainqueur et le vaincu. Soucieux de s'intégrer au nouvel ordre européen imposé par l'Allemagne, Philippe Pétain se montrait prêt à dépasser les conventions d'armistice, en entamant, notamment, la reconquête des colonies africaines passées à la dissidence gaulliste.
Les deux hommes sont en désaccord sur la façon de préparer l'armée française à la guerre. Et, en 1940, De Gaulle portera un jugement très dur sur le Maréchal:«Pétain est un grand homme, mort en 1925. Le drame, c'est qu'il ne l'a pas su».
Plusieurs hypothèses se dessinent. Tout d'abord, son opposition au maréchal Pétain et plus particulièrement au régime de Vichy peut expliquer ce changement brutal. N'oublions pas que Charles de Gaulle est rétrogradé colonel, déchu de la nationalité française et exclu de la Légion d'honneur.
Le mot « boches » est une aphérèse de alboche qui serait formé de « al » pour allemand et de « -boche », une suffixation argotique venue peut-être de bosse, « tête » (occitan caboça), que l'on retrouve dans caboche (cap, « tête »), Rigolboche, Alboche (Allemand), Italboche, et des expressions comme « au truc, si l' ...
Chleuh est un terme argotique notamment employé en France, autour de la Seconde Guerre mondiale, détournement du nom d'un peuple berbère du Maroc, les Chleuhs, pour désigner de manière péjorative les Allemands dont l'efficacité sur le champ de bataille était semblable à celle des Berbères qui composaient l'essentiel de ...