La preuve de 1+1 = 2 de Alfred North Whitehead et Bertrand Russell apparait à la page 362 du livre Principia Mathematica. Ce livre fait 674 pages. Il faut donc construire des éléments mathématiques pendant 362 pages avant d'arriver à la preuve de ce résultat simple : 1 + 1 = 2.
Non, on ne peut pas démontrer que 1+1=2. C'est effectivement une convention que les mathématiciens ont choisit pour s'entendre. En fait, il faut plutôt considérer que 2 est le nombre qui vaut 1+1. Ce qui devient une définition plus qu'une convention.
c'est incroyable ce qu'on peut lire. pour ce qui est de 1+1=2, c'est quelque chose qu'on a montré en algèbre. De fait, on définit des règles simples, et à partir de là, on pourrait dire que 2 est le résultat de l'element neutre de la seconde loi du groupe, composé avec lui même par la première loi du groupe.
Sa création est liée à une polémique entre deux mathématiciens : Isaac Newton et Gottfried Wilhelm Leibniz. Néanmoins, on retrouve chez des mathématiciens plus anciens les prémices de ce type de calcul : Archimède, Thābit ibn Qurra, Pierre de Fermat et Isaac Barrow notamment.
Elle fait partie de l'ensemble des nombres imaginaires. Ainsi le nombre i est défini comme suit : i est un nombre dont le carré est -1, algébriquement : i2 = -1.
Re : 1+1=3
voila la demonstration de 1+1=3 de bernard werber ! La fusion des talents est supérieure à leur simple addition.
Que signifie Clair comme deux et deux font quatre ? Clair comme deux et deux font quatre s'utilise lorsque l'on veut exprimer que quelque chose est évident, incontestable.
Re : 1+1=1? Ben mathématiquement ce n'est pas possible donc il n'y a rien à comprendre. Sinon, on aurait parfaitement pu dire que 1+1=1 mais çà n'aurait strictement servi à rien. A la base, on utilise quand même les maths pour compter et dire qu'une chêvre + une chêvre çà fait une chêvre, çà me semble un peu idiot.
Re : 1+1 = 3
Comme le dit Shiho, c'est une démonstration totalement fausse (et bien connue des gens qui veulent blaguer un peu).
Combien font 1+1 ? Avant toute chose, on va quand même répondre à la question ; dans la plupart des cas, 1+1=2. Mais d'après Jean-Claude Van Damme, 1+1=11 (parce que ça serait beau), et d'après les lois universelles de l'amour, 1+1=3 (ou 4, 5, 6 pour ceux qui veulent beaucoup d'enfants).
Il est effectivement probable que 1+1 n'est pas égal à 2, comme il pourrait trés bien être égal. Nul ne sait, et c'est une question que beaucoup se sont déjà posé. Donc si 1+1=2, tout va bien pour tout ce que la physique, les mathématiques...
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
En tant que nombre, zéro est un objet mathématique permettant d'exprimer une absence comme une quantité nulle : c'est le nombre d'éléments de l'ensemble vide. Il est le plus petit des entiers positifs ou nuls.
Le chiffre zéro a été utilisé pour la première fois par les babyloniens au cours du deuxième millénaire avant J.C., avant d'être réinventé par les Mayas puis par les Hindous. Mais ce sont les arabes qui l'intégreront à leur système de numération, pour le diffuser dans toute l'Europe au cours du X° siècle.
L'expression 2 + 2 = 5 (« deux plus deux égale cinq ») est parfois utilisée comme une représentation d'un sophisme destiné à perpétuer une idéologie politique. Elle illustre également le caractère formel de la logique, qui étudie les mécanismes du raisonnement indépendamment du sens des énoncés qu'elle utilise.
Définition : Une démonstration est un raisonnement – un enchaînement d'idées – qui prouve rigoureusement la vérité d'un énoncé. Si la démonstration est bien faite, elle aboutit à une conclusion nécessairement vraie, donc indubitable (on ne peut en douter).
Si le montant de l'achat est diminué par une offre promotionnelle, alors le solde se voit augmenter, ce qui traduit la logique élémentaire se cachant derrière la règle du « moins par moins donne plus ».
la preuve la plus simple: 1*0=2*0. Après division par 0 (que nous supposerons non nul), on voit que 1=2.
En fait la somme 1 + 2 + 3 + 4 + … est bien infinie, mais -1/12 est ce qui la sépare de \int x dx qui est aussi infini, est que l'on peut voir comme une base que l'on soustrait. Dans le cas de Casimir, il s'agit bien d'ailleurs du niveau énergétique « de base », quand les plaques sont très éloignées.
avec les chiffres 2, 3, 4 et 5, en conservant l'ordre, en utilisant q'une seule fois chaque opération entre chaque chiffre, il faut obtenir 26. perdu? double la mise!
L'appellation d'« imaginaire » est due à René Descartes et celle d'« unité imaginaire » à Carl Friedrich Gauss. Sans avoir disparu, elle n'est pas d'un usage très généralisé chez les mathématiciens, qui se contentent souvent de parler du nombre i.
Le premier à présenter un article sur l'interprétation géométrique des nombres complexes est Caspar Wessel (1745‑1818) en 1797. Quelques années plus tard, c'est Jean‑Robert Argand (1768‑1822) qui interprète l'ensemble des nombres complexes comme une extension à deux dimensions des nombres réels.
René Descartes les baptise « nombres imaginaires » (1637).