Kant établit une classification très complexe des devoirs de l'homme envers lui-même. Prenons seulement une distinction : celle entre les « devoirs de l'homme envers lui-même en tant qu'être animal et moral » et les « devoirs de l'homme envers lui-même en tant qu'être moral uniquement ».
L'homme n'a pas seulement besoin d'un maître parce qu'il penche vers la liberté. L'homme a une nature, ou plutôt il y a d'abord de la nature en l'homme. L'être humain est animal ; il a des instincts, il est sensible.
Le premier devoir consiste à respecter les droits d'autrui. Le deuxième consiste à user de ses droits de citoyen (qui dépassent singulièrement le droit de vote) en combattant pour la défense des libertés individuelles mais aussi des droits économiques, sociaux et culturels.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Le devoir moral oblige de manière catégorique. Cela signifie qu'on doit agir bien, et ce quelles que soient les circonstances et indépendamment de ce qu'on désire ou de ce qui pourrait nous intéresser.
Le premier devoir de l'homme est de protéger ses enfants innocents. Lorsque la prétendue Cour européenne «des droits de l'homme» met en danger nos propres enfants en oubliant jusqu'au principe de réalité, elle bafoue ceux-ci plutôt que de les honorer.
Etre / devoir-être : L'être ne désigne pas ici spécialement une personne, mais tout ce qui existe : choses, faits, etc : la réalité. Le devoir-être désigne ce qui devrait exister, si la réalité était conforme aux normes et valeurs.
Comme substantif, il est simplement défini, dans le Petit Robert par exemple, comme « ce qui est humain ; l'homme et ce qui appartient à l'homme », avec comme exemple « réduire le monde à l'humain », puis comme « être humain » (l'humain, c'est l'être humain, c'est-à-dire l'homme).
René Descartes fonde sa pensée sur la souveraineté de la raison individuelle. Selon lui, l'être humain est: «une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser et qui, pour être, n'a besoin d'aucun lieu, ni ne dépend d'aucune chose matérielle» .
Être fort, musclé, sexuellement performant, parler avec assurance et autorité, rapporter de l'argent à la maison, être courageux et ne montrer ni sa peur, ni ses émotions, ni ses faiblesses, ni sa douleur, conduire vite, prendre des risques, savoir se battre…
Quelques exemples de droits de l'homme dans le domaine des droits civils et politiques • Le droit à la vie • Le droit de ne pas être soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants • Le droit de ne pas être tenu en esclavage ni en servitude, ni d'être soumis aux travaux forcés • Le ...
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
C'est bien entendu leur rôle de rappeler à leurs concitoyens leurs obligations : rouler à une vitesse raisonnable, respecter les feux rouges, ne pas commettre de violences à l'égard des femmes, ne pas tricher avec le fisc…
Aimer, pour combler un manque.
Autrement dit, l'homme est ainsi fait qu'il nécessite une présence rassurante, amicale et/ou amoureuse, pour mener sa vie à ses côtés. Aimer, c'est donc assouvir un besoin presque vital, et combler le vide que supposerait une vie entière de solitude.
Besoin de son autonomie
Car, si l'homme aime se rapprocher de la femme, créer une intimité avec elle, vivre une relation forte et tranquille à ses côtés, il a aussi besoin de respirer, de prendre parfois ses distances, de rester seul et de réfléchir en paix.
Le savoir confère du pouvoir, du prestige et permet de jouir d'une position de supériorité dans le regard des autres.
Marx insiste sur le « matérialisme social » qui fait (réalise) l'Homme, c'est-à-dire toutes les relations sociales qui le construisent (la famille, les rapports hiérarchiques, la réalisation (objet) de son travail au sein de la société et les formulations qu'il en donne, etc.).
Les lois de Snell-Descartes décrivent le comportement de la lumière à l'interface de deux milieux. Ces lois sont au nombre de quatre, deux pour la réflexion et deux pour la réfraction. Avec la propagation rectiligne de la lumière dans les milieux homogènes et isotropes, ces lois sont à la base de l'optique géométrique.
Marx, de son côté, explique que la nature de l'être humain ne peut être prédéfinie et qu'elle dépend de son milieu matériel. Parmi tous les attributs que Descartes a trouvés, seule la pensée lui appartient car elle peut être détachée de lui. Selon lui, en cessant de penser, l'on cesse d'exister.
Homo rhodesiensis est connu en Afrique à partir de 600 000 ans. Il est peut-être l'ancêtre d'Homo sapiens, dont les plus anciens fossiles connus sont ceux de Djebel Irhoud, au Maroc, datés en 2017 de 300 000 ans.
Il sait tenir ses promesses et il s'attend à ce que les autres fassent de même. Un homme ne ment jamais, que ce soit à lui-même ou aux autres. Il développe une conscience qui lui donne un bon jugement de lui-même et qui lui permet d'être plus à l'aise avec la vérité, même lorsque celle-ci fait mal.
Kant, de son côté, met en lieu et place de Dieu, l'homme au centre de la philosophie parce que seule la réalisation de son humanité, de sa dignité, donne sens au monde. Pour Kant comme pour Rousseau refusant l'idée de péché originel, l'homme naît bon c'est la vie en société qui le pervertit.
Kant est l'un des philosophes qui a le plus travaillé sur cette notion. Pour lui, c'est l'usage de la raison qui permet de connaître le devoir moral. Il va jusqu'à estimer que le devoir moral est un impératif. Cette philosophie va être critiquée, notamment par Hegel.
I. En général, on considère que la question de l'être relève de « l'ontologie ». L'ontologie, c'est cette branche de la philosophie qui fut explicitement articulée pour la première fois chez Aristote.
Le concept de devenir est une catégorie fondamentale de la métaphysique. Si l'être, au sens absolu, renvoie à une permanence, à une stabilité dans le temps, le devenir désigne un changement évolutif de ce qui n'est tantôt pas puis l'est par une modification de ses attributs.