Le « pain au chocolat » ou « chocolatine » est une viennoiserie imaginée par les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer. C'est en fait une version au chocolat du croissant issue des premiers croissants qu'ils vendaient entre 1837 et 1839 dans leur Boulangerie viennoise à Paris.
Le mot chocolatine apparaît dans le Larousse. D'après le dictionnaire, il est employé dans le sud-ouest de la France et au Canada pour désigner un pain au chocolat. L'utilisation de ces deux termes est le résultat d'un clivage géographique, entre le nord et le sud de l'hexagone.
Ça viendrait de l'époque ou l'Aquitaine était anglaise, et où les anglais demandaient du « chocolat dans du pain » (chocolate in bread), qui serait devenu chocolatine dans le Sud-Ouest.
En effet, les croissants fourrés au chocolat s'y vendaient sous le nom de Schokoladencroissant, nom que les Français auraient petit à petit déformé en Schokoladen puis finalement en… chocolatine.
On y voit que pain au chocolat recouvre la plus grande partie du territoire, alors que chocolatine étend sa domination à tout le Sud-Ouest. La variante couque au chocolat ne couvre que l'ouest de la Belgique francophone; quant à croissant au chocolat, il est attesté sporadiquement dans l'Est et en Suisse romande.
Pain au chocolat ou chocolatine : qui remporte la bataille dans la région ? - midilibre.fr.
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Une chocolatine est un terme employé au Canada et dans certaines régions françaises pour désigner une pâtisserie fourrée au chocolat. C'est en fait une pâte feuilletée contenant deux barres de chocolat. En France, on parle plutôt de pain au chocolat.
Egypte. On attribue l'invention du pain aux Egyptiens en 3000 avant JC. En effet en Egypte ancienne, on trouve déjà l'ancêtre de notre pain quotidien à base d'eau, de farine, de sel et de levain.
Selon un sondage IFOP mené auprès d'un échantillon de 1009 personnes, âgées de 18 ans et plus, 84% des Français préfèrent déguster des «pains au chocolat». Les «chocolatines», elles, ne retiennent que 16% des suffrages.
En Amérique latine et au Mexique, s'emploie le terme « chocolatine ». Dans les pays germanophones, on utilise le terme schokoladencroissant, tandis que dans le monde anglo-saxon, on parle généralement de chocolate croissant, ce qui signifie littéralement et dans les deux cas « croissant au chocolat ».
Certes, les locuteurs utilisant « pain au chocolat » sont plus nombreux, en raison de l'uniformisation de la langue, mais le mot « chocolatine » est plus ancien. Si l'on ajoute que le pain au chocolat n'a, au demeurant, rien à voir avec la composition de la viennoiserie, c'est la chocolatine qui gagne le match.
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
Mais d'après une autre source, c'est un boulanger autrichien, August Zang, qui aurait introduit la baguette en France. En 1839, le Viennois ouvrait une boulangerie à Paris. Il y aurait vendu des pains de forme ovale, comme ceux que l'on trouvait alors en Autriche.
On pense que la farine a été inventée par les peuples d'Asie Mineure, dans le célèbre Croissant Fertile, situé entre les fleuves Tigre et Euphrate.
Riche en nutriments et bourré de protéines le pain nordique également appelé pain viking est composé d'un mélange de farine de seigle, de graine de lin, de tournesol et d'orge maltée ce qui lui donne cet aspect très foncé.
Alors que bon nombre de personnes en consomment matin, midi et soir, on pourrait presque en oublier que le pain est une matière vivante. Le pain, c'est à la fois facile et très compliqué !
Ça viendrait de l'époque ou l'Aquitaine était anglaise, et où les anglais demandaient du « chocolat dans du pain » (chocolate in bread), qui serait devenu chocolatine dans le Sud-Ouest.
Dans le Nord aussi, on y apporte une petite spécificité : on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat », aussi répandu en Belgique. A l'Est, une petite zone frontalière évoque ainsi le « croissant au chocolat ».
en effet, la production d'un bien nécessite d'utiliser des ressources naturelles car pour produire un pain au chocolat, il faut de la farine qui provient du blé, de l'eau, provenant de la rivière par exemple, du chocolat provenant du vrai cacao, et du fromage provenant du lait de la vache.
La viennoiserie a apparu en France pour la première fois entre 1837 et 1839, quand un officier autrichien a ouvert une boulangerie viennoise à Paris (située dans rue de Richelieu). Le savoir-faire de la viennoiserie a été transmis des ouvriers viennois à leurs élèves français.
En France, en Amérique du Nord et en Europe du Nord, on appelle pain aux raisins un petit pain sucré qui contient des raisins secs, plus proche du pain traditionnel, qui n'est donc pas une viennoiserie.
D'autres théories situent l'origine du pain au chocolat en France au XIXe. Ce serait le boulanger autrichien August Zang, qui aurait importé les viennoiseries dans la capitale française.