C'est un officier autrichien, August Zang, associé à un noble viennois, Ernest Schwarzer, introduisit à Paris le kipferl (brioche en forme de croissant) et le kaisersemmel (pain viennois) entre 1837 et 1839, en ouvrant une Boulangerie viennoise (installée au 92, rue de Richelieu) et dont le succès a vite inspiré une ...
Une tradition fait de Marie-Antoinette d'Autriche, originaire de Vienne, celle qui aurait officiellement introduit et popularisé en France le croissant à partir de 1770, d'où le nom de viennoiserie.
Contrairement aux idées reçues, le croissant n'est pas une pâtisserie qui a été créée en France, mais en Autriche. Plus particulièrement dans la ville de Vienne. Selon une des légendes racontées sur le sujet, ce produit du petit-déjeuner est né lors du siège de la ville par les Turcs, en 1683.
Ils ne viennent pas non plus de Vienne. Des pâtisseries en forme de croissants existent en Europe centrale depuis toujours. Le croissant est tout simplement une forme ancienne de petit pain roulé, au même titre que les stollen allemands.
Le « pain au chocolat » ou « chocolatine » est une viennoiserie imaginée par les Autrichiens August Zang et Ernest Schwarzer. C'est en fait une version au chocolat du croissant issue des premiers croissants qu'ils vendaient entre 1837 et 1839 dans leur Boulangerie viennoise à Paris.
Étymologie. De « viennois » (relatif à la ville de Vienne, en Autriche) avec le suffixe -erie, en hommage aux boulangers viennois qui ont célébré, à la fin du Siège de Vienne (1683), la victoire autrichienne et catholique sur les Turcs musulmans.
L'histoire du chocolat remonte à 4 000 ans, dans l'antique Méso-Amérique qui incluait entre autres le Mexique d'aujourd'hui, où les premiers cacaoyers ont été trouvés. La civilisation Olmèque, l'une des plus anciennes d'Amérique latine, a été la première à transformer le cacao en chocolat.
Plus légère et moins volumineuse que la miche traditionnelle, la baguette aurait été plus facile à transporter dans les poches des soldats. Mais d'après une autre source, c'est un boulanger autrichien, August Zang, qui aurait introduit la baguette en France. En 1839, le Viennois ouvrait une boulangerie à Paris.
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Ce serait le peintre Claude Gellée, dit Le Lorrain (1600 - 1682) - né à Champagne dans les Vosges - qui aurait inventé ce procédé.
"En France, explique Marcel Derrien, le croissant avait la forme d'un pain au lait et était essentiellement produit par les boulangers. Ce sont les pâtissiers qui lui ont donné sa forme si particulière pour justement se démarquer des boulangers."
Quel que soit le nom qu'on lui donne, cette viennoiserie est constituée d'une pâte levée feuilletée – comme celle du croissant – enroulée sur une ou plusieurs barres de chocolat.
Le croissant désigne un petit pain en pâte levée ou feuilletée, abaissée en triangle, roulée et incurvée en forme de croissant de lune. L'origine de cet article de viennoiserie remonte à l'époque où les Turcs assiégeaient la capitale de l'Autriche Vienne en 1683.
Comme beaucoup d'autres pâtisseries à base d'amande, le macaron puise ses origines au Moyen-Orient où l'on estime qu'il était consommé au Moyen-Âge avant d'être découvert par les premiers navigateurs européens.
L'histoire de ce terme remonterait au XIXe siècle à Paris. En 1838, un officier de l'armée autrichienne, Auguste Zang, y ouvrit sa propre boulangerie : « Zang & Zwarzer's pain Viennois »[5].
On appelle viennoiseries les produits de boulangerie dont la technique de fabrication se rapproche de celle du pain ou de la pâte feuilletée, mais auxquels leurs ingrédients donnent un caractère plus gras et plus sucré qui les rapproche de la pâtisserie (œufs, beurre, lait, crème, sucre, etc.).
Faut-il dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat sur l'appellation de cette viennoiserie agite la France depuis de nombreuses décennies. D'un côté, les Français du Sud-Ouest pour qui "chocolatine" est le terme correct, de l'autre, le reste du pays, qui opte plutôt pour "pain au chocolat".
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Pourquoi dit-on chocolatine alors ? Ces pâtisseries viennoises sont à l'époque faites à base de pâte à brioche et de chocolat.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, le pain n'a pas été inventé en France. Les hommes préhistoriques en confectionnaient déjà, il y a plus de 30 000 ans. Les anciens Egyptiens en avaient inventé plus de 40 variétés, aux dattes, aux figues et au miel ! Aujourd'hui, c'est un aliment de base, dans de nombreux pays.
quignon n.m. Morceau de gros pain contenant beaucoup de croûte.
On attribue l'invention du pain aux Egyptiens en 3000 avant JC. En effet en Egypte ancienne, on trouve déjà l'ancêtre de notre pain quotidien à base d'eau, de farine, de sel et de levain.
En mars, son chocolat de Daloa, ville de l'ouest ivoirien, a été distingué « Meilleur chocolat du monde » au Salon de l'agriculture de Paris. « Un chocolat de zone forestière intense en cacao », décrit le créateur de la marque Le Chocolatier ivoirien.
Ce sont les Aztèques, un peuple d'Amérique centrale, qui sont les premiers aux alentours du XIVe siècle à avoir découvert et fabriqué le chocolat, qu'ils appellent "xocolatl". Ils le consomment sous la forme d'une boisson épaisse réalisée à partir de fèves de cacao.
Ainsi, le chocolat noir est considéré par les puristes comme le seul vrai chocolat. Il est notamment composé d'un mélange de pâte de cacao, de beurre de cacao et de sucre. Il doit contenir un minimum de 43 % de cacao (dont au moins 14 % de cacao sec dégraissé).