La campagne de France de 1944 est la libération de la France par les Américains, les Anglais et les Canadiens, et les FFL commandés par De Lattre de Tassigny et le général Leclerc participent aux combats. Le but est de libérer toute la France pour forcer l'Allemagne Nazie à capituler.
le 6 juin 1944 sur les côtes normandes et 15 août 1944 en provence. France. Après plusieurs jours d'insurrection, Paris est libérée le 25 août grâce a la deuxième division blindée du général Leclerc. La France est libérée à l'automne 1944.
Quand la défaite tourne à la débâcle, Pétain demande l'armistice tandis qu'un général inconnu allume la flamme de l'espoir. C'est un coup de dés comme l'Histoire n'en a jamais connu en France.
Les Soviétiques lancèrent une offensive le 12 janvier 1945, libérant l'ouest de la Pologne et forçant la Hongrie (un allié de l'Axe) à capituler.
6 juin 1944 : le débarquement en Normandie
Le 6 juin 1944 , les troupes alliées (Royaume-Uni, États-Unis et Canada) lancent une offensive amphibie sur la région de Caen, en Normandie. Cette opération d'envergure est connue sous le nom d'opération Overlord et la date sous le nom de D-day (Jour J).
Le début de la campagne de France commence par l'invasion de la Belgique par l'armée allemande. Adolf Hitler viole la neutralité de la Belgique, pour mener une offensive vers la France, et vaincre les troupes alliées.
La campagne de France de 1944 est la libération de la France par les Américains, les Anglais et les Canadiens, et les FFL commandés par De Lattre de Tassigny et le général Leclerc participent aux combats. Le but est de libérer toute la France pour forcer l'Allemagne Nazie à capituler.
Du rôle des États-Unis pendant la seconde guerre mondiale on retient souvent le débarquement allié de Normandie, qui permet de consacrer le pays comme « libérateur de l'Europe ».
Les signataires sont quatre généraux. Alfred Jodl, chef d'état-major des forces armées allemandes; l'Américain Walter Bedell-Smith; le Russe Ivan Sousloparov.
25 août 1944 : la Libération de Paris par la division Leclerc et les FFI de Rol-Tanguy [archive]. (es) La 9e compagnie libère Paris sous le commandement du capitaine Raymond Dronne [archive].
L'armistice est signé le 22 juin 1940 entre le Reich allemand et les représentants du tout nouveau gouvernement Pétain. Les conditions des Allemands sont extrêmement lourdes pour la France. Le but est alors pour Hitler d'empêcher la France de se relever d'une telle défaite et de lui infliger une terrible humiliation.
Dans la nuit du 24 au 25, le général allemand Dietrich von Choltitz (1894-1966), gouverneur du Grand Paris, n'a qu'un ordre à donner pour que l'un de ses hommes appuie sur le détonateur et tout sera anéanti : les ponts, les monuments, les Parisiens et la capitale, noyée sous les eaux.
Libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle.
Albert Lebrun est réélu président de la République.
Pour économiser ses troupes, Hitler préfère laisser une partie de la souveraineté à un gouvernement à sa botte, avec une armée réduite.
Victoire des Alliés : Chute du Troisième Reich et occupation alliée de l'Allemagne et de l'Autriche.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne fut occupée par les quatre puissances victorieuses, puis partagée en deux États, d'une part la République fédérale d'Allemagne (RFA), liée au bloc occidental, d'autre part la République démocratique allemande (RDA), sous influence soviétique et intégrée au bloc de l'Est.
Démembrement ou non de l'Allemagne
Dans un premier temps, les Alliés envisagent de démembrer l'Allemagne à la fin de la guerre pour éviter tout risque de résurgence du militarisme allemand et d'un État pouvant à nouveau déstabiliser la paix en Europe.
Le régime de Vichy : une apparence de légitimité
Refusant de demander l'armistice à l'Allemagne, le gouvernement de Paul Reynaud démissionne le 16 juin 1940. Le président de la République , Albert Lebrun, nomme alors le maréchal Pétain à la présidence du Conseil.
Stratégiquement, le choix est intéressant, car la ville est proche de la ligne de démarcation et que les liaisons routières et ferroviaires en direction de Paris sont bonnes. De plus, la ville dispose d'une très bonne infrastructure hôtelière qui séduit les députés, ce qui emporte finalement la décision.
Appelé le 18 mai 1940 par Paul Reynaud parce qu'il est respecté à droite comme à gauche et qu'il incarne le sursaut contre l'envahisseur, Pétain défend pourtant l'idée de l'armistice comme « condition nécessaire de la pérennité de la France éternelle ». Selon lui, les causes de la défaite sont politiques.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
Du coup, le stratège allemand préconisait une attaque immédiate et brutale contre la France. Il s'agissait de la mettre hors d'état de nuire en quelques semaines, comme dans la guerre franco-prussienne de 1870, et ensuite seulement, de se retourner contre la Russie.