Malheureusement, comme le nid était construit à même le sol, les petits du dodo bénéficiaient de peu de protection contre l'introduction des prédateurs tels que les chiens et les cochons sauvages. L'œuf du dodo était souvent piétiné et mangé par ces animaux.
L'arrivée de l'homme sur l'île n'amena pas seulement la menace de la chasse directe. Les hommes apportèrent avec eux des porcs, des rats, des chiens et d'autres animaux qui furent introduits sur l'île Maurice.
Le dodo n'a pas survécu longtemps à l'arrivée des colons hollandais, les derniers spécimens ayant probablement disparu vers 1680. Bien que les témoignages sur les qualités gustatives de la chair de cet oiseau soient contradictoires, cet animal a bien été chassé et consommé.
Trop lourd pour voler, trop gros pour courir et trop maladroit pour fuir, ce drôle d'oiseau n'a pas survécu à l'arrivée de l'homme sur son territoire.
Le dodo s'est éteint moins d'un siècle après sa découverte, à la fin du XVII e siècle avec l'arrivée des Européens. Il est aujourd'hui souvent cité comme un archétype de l'espèce éteinte car sa disparition, survenue à l'époque moderne, est directement imputable à l'activité humaine.
Son chant, nous en disent les archives et Bernard Pichon avec eux, ressemblait au roucoulement, fidèle en cela à sa lignée de pigeon. Il roulait, dit-on, un couuu-couuu qui aurait donné douuu-douuu, puis dodo. Mais assassiné par l'homme, le dodo ne devait pas roucouler un penny.
Le dodo était un oiseau de la taille d'un dindon, pesant environ 20 kg et mesurant à peu prés 1 mètre. Il était court sur ses pattes avec un bec recourbé, il vivait autrefois sur l'île Maurice, dans l'archipel des Mascareignes.
La reconstitution de cet animal disparu peut-être admirée au musée d'Histoire Naturelle de Port-Louis grâce à un naturaliste qui en 1865 découvrît un squelette complet du dodo près de Plaisance.
Incapable de voler, l'animal, qui n'avait pas appris à être craintif, se révéla une proie facile pour les marins affamés et leurs chiens. Rats et porcs apportés par les navires firent de leur côté des ravages dans les nids des dodos, aménagés à même le sol.
Au cours des siècles, le Dodo s'est adapté à une vie stable, sans prédateur, sur une île, donc un environnement clos. Il n'avait donc pas besoin de voler et en a progressivement perdu la capacité : d'où ses très petites ailes.
Le Condor des Andes a une longévité exceptionnelle de 50 ans
Le Condor des Andes est le plus grand des vautours du nouveau monde et c'est aussi l'oiseau qui, avec l'albatros, a la plus grande envergure au monde : 3m20. Il peut peser jusqu'à 15 kg.
Gros comme un dindon, Raphus cucullatus, alias dodo, ou Dronte de Maurice, vivait paisiblement sur son île de l'océan Indien en mangeant des baies et des fruits, ou bien des mollusques et des œufs de tortue (les scientifiques s'interrogent toujours).
Apparu il y a 4 millions d'années sur l'Ile Maurice, ce gros volatile n'a pas survécu à l'arrivée de l'Homme sur son territoire. En effet, en 1505, les premiers navires sous pavillon portugais accostent sur cette île, qui deviendra plus tard un des grands comptoirs de la route des épices.
Le dronte a disparu depuis la moitié ou la fin du XVIIe siècle. Il est souvent considéré comme l'archétype d'une espèce qui n'existe plus car sa disparition, qui s'est produite pendant l'histoire attestée par des documents écrits, est directement imputable à l'activité humaine.
On attribue sa disparition de Tasmanie à sa chasse intensive encouragée par des primes d'abattage, mais elle est due aussi à l'introduction des chiens et à l'enracinement des colons dans son milieu naturel.
dodo n.m. Sommeil ou lit, dans le langage enfantin. dodo n.m. Oiseau inapte au vol, évoquant un gros pigeon...
Le corbeau arrive souvent en bonne position. En tout cas, il est considéré, en général, comme l'oiseau le plus intelligent, même si la mémoire du perroquet lui permet de résoudre bien des problèmes.