Les premiers habitants sont des mutins déportés de Madagascar. Ils arrivent à Bourbon entre 1646 et 1669. La véritable colonisation commence dans la seconde moitié du xvii e siècle, avec la Compagnie française des Indes orientales et les projets de Colbert.
Le premier nom donné à La Réunion le fut par les Arabes bien avant 1450 : « Dina Morgabin », qui signifie l'île de l'Ouest. En 1498, Vasco de Gama arrive dans cet océan, remonte le canal du Mozambique, explore Madagascar, l'île de Mozambique et va jusqu'à Calicut, en Inde.
Les premiers colons, des Français, s'entourèrent vite d'esclaves venus d'Afrique, les « Cafres » ou de Madagascar. Plus tard, des engagés indiens, tamouls ou originaires de la côte de Coromandel (Nouvelle-Zélande), les rejoignent. Leurs descendants restent indifféremment appelés « Malabars ».
La population à la Réunion
Les Cafres (Noirs) représentent près de la moitié des habitants. Suivent ensuite les Malbars (Indiens Tamouls) avec un quart de la population environ, puis les Yabs (créoles blancs) avec 15% et les Zoreils (métropolitains) avec 10%.
Les français y débarque en 1642 et en prennent possession au nom du roi. Il la nomme Ile Bourbon, en référence au nom de la famille royale. Dès 1663, la Compagnies des Indes Orientales reçoit la mission de coloniser les Mascareignes. 20 volontaires débarquent sur l'île de Bourbon.
Un retour « in bonis » pour les sociétés appartenant à Armand Apavou, l'homme le plus riche de la Réunion, rendu possible par la loi Macron pour la croissance, l'activité et l'égalité des chances économiques, qui connaît là sa première application.
À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreils ou zoreilles . Il y a plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif pour parler des métropolitains.
Ce n'est qu'en 1646 que les premiers habitants s'installent à Mascarin…mais ils ne viennent pas de leur plein gré. Il s'agit en effet d'une douzaine de mutins, exilés de Madagascar. Ils sont débarqués avec quelques chèvres et des semences, personne ne donnant cher de leurs peaux.
Appelée Dina Morghabine par les Arabes, puis Ile Bourbon par les Français, l'île prend son nom actuel en 1794, en référence à la « réunion des Etats Généraux ». En 1803, elle devient l'île Bonaparte, puis Bourbon de nouveau en 1814, après cinq années d'occupation anglaise. En 1848, elle reprendra son nom définitif.
Située dans l'océan Indien, l'île de la Réunion était inhabitée lorsque des colons portugais y ont débarqué en 1500. Elle est alors appelée Santa Apolonia.
Les Réunionnais sont Français… mais physiquement et physiologiquement, ils ne le sont pas! Ils se considèrent plus comme métisses, issus de l'océan Indien.» Plus qu'une identité française ou africaine, les habitants de La Réunion revendiquent d'abord leur culture locale.
Nommé gouverneur de l'île en 1848, le “ représentant du peuple ” Joseph Sarda-Garriga reçoit la mission de mettre un terme à plus d'un siècle et demi d'esclavage dans l'île. Le 19 octobre 1848, en compagnie du procureur Massot, il préside la séance officielle d'enregistrement du décret du 27 avril.
Deux familles réunionnaises apparaissent dans le classement : la famille Goulamaly (holding Océinde) et la famille Ravate, ex-aequo à la 389e place, avec une fortune professionnelle estimée à 220 millions d'euros.
Au fil des éruptions, l'édifice volcanique grandit jusqu'à émerger de l'océan. C'est ainsi qu'est née l'île de La Réunion il y a 5 millions d'années.
En 1638, un navire français de la Compagnie des Indes envoyé par le Roi de France Louis XIII, prend possession de l'île, mais les Français ne s'y installent définitivement qu'en 1663 pour en faire une colonie française, nommée île Bourbon.
L'adjectif féminin malbaraise est propre à l'île de la Réunion, à Maurice on parle de fille ou femme malbare.
Plat typiquement réunionnais, le rougail saucisses, aussi appelé boucané, est une sorte de curry épicé sans curcuma à base de saucisses fraîches, de piments et de tomates. Nous avons adoré goûter à cette spécialité lors de nos voyages de repérage, et connaissons les meilleures tables pour déguster ce plat exotique.
Concentrez-vous sur des cadeaux qu'on ne retrouve pas à La Réunion : Des vêtements de la marque préférée, ou au contraire, une garde-robe entière pour pas cher. Des éléments de make-up spécifiques. Les derniers gadgets électroniques.
Jean-Hugues Ratenon, né le 25 juin 1967 à Saint-Benoît (La Réunion), est un homme politique français.
L'esclavage est mis en œuvre sur l'île de La Réunion dès son peuplement au milieu du XVII e siècle. Les esclaves servent d'abord à la culture du café, puis à celle de la canne à sucre à compter du début du XIX e siècle.
Ces habitants vivent dans une harmonie pure et simple, en plein milieu de l'océan Indien. Immergez-vous au sein des incroyables traditions et fêtes culturelles de « l'île intense ». La mixité réunionnaise se ressent dans sa gastronomie savoureuse, sa musique enchanteresse et ses différentes religions.
L'ALIMENTATION LIÉ À LA RELIGION TAMOULE À LA RÉUNION
Qu'ils soient en Inde ou à la Réunion, les tamouls ne mangent pas de boeuf. Les vaches en Inde sont une incarnation de la Mère Divine, Dévi. Elles sont donc protégées. De tous les animaux domestiques, la vache est la plus utile pour les hindous.
Dans certaines anciennes colonies françaises, les «Métropolitains» peuvent encore être appelés les Zoreils ou Zoreilles. Ce surnom viendrait du fait que, comprenant mal le créole ou la langue des autochtones, les Français feraient constamment répéter et passeraient ainsi pour être «durs d'oreille».
Parmi les Réunionnais, 698 800 sont natifs de l'île, soit 84 % de la population totale (figure 1). L'isolement géographique de l'île contribue certainement à cette part élevée de natifs parmi les Réunionnais. La part des natifs est également importante en Martinique (85 %) ou en Guadeloupe (81 %).