« L'hypothèse la plus probable est celle d'un tir de pêcheur. La pratique est méconnue, mais souvent orques, dauphins, phoques se font tirer dessus, à cause de la compétition pour la pêche, relate Lamya Essemlali. Et comme cela survient en pleine mer, c'est en quasi-impunité. » Une enquête est ouverte.
Au sommet de la chaîne alimentaire, elle ne connaît aucun ennemi naturel. Son alimentation est essentiellement constituée de 80 espèces de proies : poissons, manchots et autres mammifères marins (lions de mer, otaries, phoques, marsouins, petites ou jeunes baleines, lamantins, dauphins).
Le terme épaulard (dû à la nageoire dorsale en forme d'épée) rappelle une arme fatale. Mais c'est surtout son appellation anglophone Killer Whale (baleine tueuse) qui fait penser à un titre de film d'horreur. Et effectivement, les orques sont très dangereuses pour bien des animaux.
Le cétacé pourrait aussi être un "pionnier", poussé au voyage soit par envie de découvrir un nouveau territoire, "comme un humain", ou encore "poussé par la faim", avance la scientifique.
De quoi est morte l'orque ? La question se pose au regard de l'information révélée ce mercredi 6 juillet : une munition a été découverte à la base du crâne de l'animal, décédé fin mai dans la Seine, selon l'autopsie, qui privilégie toutefois un décès par inanition, indique la préfecture de Seine-Maritime.
Il y a trois delphinariums en France métropolitaine: au Parc Astérix dans l'Oise (60), à Planète Sauvage en Loire-Atlantique (44) et au Marineland à Antibes (06). En tout, 27 dauphins et 4 orques vivent sur le sol français.
L'orque disparue de la Seine arrive au Muséum nationale d'Histoire naturelle. Le squelette de l'orque, qui s'est perdue dans la Seine entre Rouen et Le Havre et est décédée le 30 juin, va rejoindre les collections du Muséum national d'Histoire naturelle.
Les dauphins s'approchent de la côte pour se nourrir, "Ces cétacés recherchent le poisson facile", dit Pepe Serrat.
De son nom scientifique Delphinapterus leucas, le béluga est aussi surnommé "baleine blanche" et "dauphin blanc". Il appartient au sous-ordre des odontocètes (cétacés à dents), qui comprend également le cachalot, l'orque, le dauphin, le marsouin, le narval et le globicéphale.
L'autre hypothèse pour expliquer la présence de cétacé dans la Seine est liée aux courants marins. « À l'échelle de la planète, il y a d'immenses courants appelés courants géostrophiques », explique Élodie Lafitte.
Tilikum, « l'orque tueuse », rendue célèbre par le documentaire américain « Blackfish (L'Orque tueuse) », est morte vendredi à l'âge de 36 ans, a annoncé sur Twitter le parc à thème SeaWorld, situé à Orlando en Floride (sud-est).
Nous vous racontons aujourd'hui l'histoire de Bâbord et Tribord, deux orques redoutables qui croisent au large de l'Afrique du Sud et qui apportent la réponse à la question : orque vs requin blanc, qui gagne ? Inutile de ménager le suspense, il s'agit de l'orque, incontestablement !
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Les orques, meurtrières intrépides.
Une orque peut donc tuer un grand requin blanc. En 2017, des chercheurs ont annoncé que des orques avaient tué trois requins au large de l'Afrique du Sud.
En plus d'être le plus gros mammifère de la planète, la baleine bleue en est donc aussi le plus grand prédateur, mais seulement en nombre de proies capturées. Pour le meilleur rendement, le champion est à chercher chez de bien plus petites espèces.
Dans un monde totalement protégé, Turritopsis Nutricula pourrait donc se régénérer indéfiniment et être l'animal qui vit le plus longtemps. Mais les mers ne sont pas sans danger pour autant. Car si elle peut inverser son processus de vieillissement, elle n'en reste pas moins mortelle, face aux prédateurs.
Dans la première année de vie, les bélugas sont des veaux. On appelle «bleuvet» les jeunes d'un à deux ans, en référence à leur coloration gris bleuté. Les juvéniles plus âgés sont appelés «gris», jusqu'à ce que leur peau devienne complètement blanche vers 12 à 16 ans.
L'orque est un mammifère marin noir et blanc qui fait partie de la famille des dauphins. Elle nage dans tous les océans du monde, mais elle préfère les eaux froides. Elle vit dans les océans Arctique et Antarctique.
LES CAUSES NATURELLES
Affaiblis, ces animaux dérivent avec le courant et finissent par s'échouer sur la côte. Quant aux individus désorientés, ils peuvent s'aventurer par accident dans des eaux peu profondes. La prédation peut également pousser les mammifères marins à s'échouer.
Les baleines peuvent s'échouer suite à une maladie, après avoir été blessé ou simplement suite à une erreur de navigation. Les baleines, étant des mammifères, peuvent survivre parfois assez longtemps hors de l'eau.
Les requins se rapprochent pour se nourrir
Mais aussi qu'ils sont davantage présents sur la côte ouest pendant la période de transition été/hiver austral , c'est-à-dire de mars à juin.
La déroute de ces mammifères loin de leur habitat primaire fait l'objet de plusieurs autres hypothèses. Rejet familial, recherche de nourriture… Malades, ils pourraient également se retrouver déboussolés et perdre la trace de leur groupe.
Après l'orque, voici le béluga de la Seine. Alors qu'un animal marin a été repéré mardi dans le fleuve, la préfecture de l'Eure a annoncé, ce mercredi, qu'il s'agirait d'un béluga.
L'une des hypothèses met en cause l'évolution des pôles magnétiques terrestres. L'océanographe François Sarano interrogé par Ouest-France explique que cette évolution amène certains animaux comme le béluga " à ne pas prendre le bon chemin au départ" car ils "utilisent leur perception magnétique pour s'orienter".