Deux processus physique : il y a d'abord la dissolution naturelle des gaz présents dans l'atmosphère (y compris du CO2) dans les océans, à la surface entre l'air et l'eau. Cette dissolution est favorisée à basse température. Ainsi, les zones froides des océans absorbent plus de CO2 que les zones chaudes.
Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%) Transports (14%) Autre production d'énergie (10%)
Le Paulownia, ce « super » arbre écologique qui absorbe 10 fois plus de CO2 que les autres. Sans que la majorité d'entre nous s'en rende compte, il existe dans la nature des bottes secrètes qui pourraient grandement nous aider à lutter contre le réchauffement climatique.
Le lys de la paix, également connu sous le nom de Spathiphyllum, est la plante phare de la production intensive d'oxygène. Recommandée par la NASA pour ses propriétés assainissantes, cette plante augmente également l'humidité ambiante.
En effet, le bambou absorbe 5 fois plus de gaz à effet de serre et produit 35% d'oxygène supplémentaire qu'un volume d'arbres équivalent ! Il a une capacité de rétention très importante de CO2 puisqu'un hectare de bambouseraie peut capter jusqu'à 60 tonnes de CO2 chaque année.
Surnommé, l'arbre impérial, le Paulownia a cette capacité de filtration hors norme qui en fait un arbre indispensable à la planète. Il peut absorber 10 fois plus de CO2 que les autres arbres et donc purifier l'air beaucoup plus vite.
Le sapin artificiel a un bilan carbone bien moins favorable
En réalité, les sapins artificiels fabriqués à partir de dérivés de pétrole ne sont pas plus écologiques.
Les arbres au feuillage abondant et aux feuilles plates, tels que le robinier faux-acacia ou le peuplier noir, sont ainsi capables d'absorber de grandes quantités de polluants, de même que les essences à feuilles rugueuses comme le hêtre.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
C'est là que par un échange avec l'air tout proche, le sang perd une bonne partie de son dioxyde de carbone que l'on rejette ensuite en expirant (l'air que l'on avait inspiré, lui, n'en contenait presque pas).
En France, le secteur qui émet le plus est celui des transports, soit 31% des émissions françaises de gaz à effet de serre. Les régions de France qui possèdent le bilan carbone le plus élevé sont d'ailleurs celles qui possèdent aussi les émissions GES liées au transport les plus élevées.
Les principales énergies polluantes sont les énergies fossiles, qui consomment des matières fossiles riches en carbone et en hydrogène, appelées les hydrocarbures. Les hydrocarbures les plus largement utilisés dans la production d'énergie sont le charbon, le pétrole et le gaz.
Les énergies les plus polluantes sont les énergies fossiles, car elles absorbent des matières fossiles riches en carbone et hydrogène; c'est ce que l'on appelle les hydrocarbures. Le charbon, le gaz et le pétrole sont les hydrocarbures les plus utilisés pour produire de l'énergie.
L'équipe de recherche Ellipsos nous offre une réponse définitive à notre question : Le vrai sapin est le réel vainqueur! Selon l'étude d'Ellipsos, les arbres artificiels ont une empreinte carbone trois fois plus lourde relative aux changements climatiques et à l'appauvrissement des ressources naturelles.
Le sapin naturel l'emporte en effet sur le plastique s'il a été cultivé en France - pour que son transport soit le moins polluant possible - si sa culture n'a pas nécessité trop d'intrants chimiques ni trop d'eau - il existe des labels pour le certifier - et s'il est bien laissé à l'état naturel avant d'être composté.
Selon l'Agence de la transition écologique, il faudrait qu'on le garde 20 ans pour faire du sapin artificiel un achat raisonnable, en tout cas pour que son empreinte carbone (plus de 8 kg de CO2, contre 3 kg pour un sapin naturel), soit moins catastrophique.
L'érable champêtre, l'érable platane, le frêne à fleurs, le mûrier platane, l'olivier, le savonnier de Chine, le tilleul à petites feuilles, le tilleul à grandes feuilles (moins résistant que celui à petites feuilles)... La rédaction vous conseille : Chêne vert, Quercus ilex.
1. Le Pin sylvestre (Pinus sylvestris L.) : Espèce indigène sur une grande partie du Massif Central, le pin sylvestre est rustique et tolérant à une très large gamme de climats et de de sols. Il a souvent été utilisé pour le reboisement notamment sur des secteurs difficiles tant en plaine qu'en montagne.
Le clémentinier est un arbre fruitier qui résiste au froid jusqu'à -5 °C. Il est caractérisé par une végétation compacte et ses fruits en forme de petites oranges qui parviennent à maturité en automne. Au printemps, la floraison blanche du clémentinier est agréablement parfumée.
En fait tout est une question de rejet de CO2 dans la chambre. Durant la journée, les plantes profitent de la photosynthèse. Elles rejettent plus d'oxygène que de CO2. Durant la nuit, il n'y a plus de photosynthèse, les plantes respirent.
On a un peu triché et on vous a donné la réponse facile et courte d'abord. Nous basons cette estimation sur le fait qu'un mètre cube de bois absorbe environ une tonne de CO2. Mais en réalité, un arbre absorbe entre 10 et 40 kg de CO2 par an en moyenne, en fonction de toute une série de facteurs.
La moyenne des émissions de CO2 des véhicules neufs vendus en France a nettement baissé en 2020 par rapport à 2019. Elle se situe à 97 g de CO2 / km en 2020.