Les personnes atteintes du syndrome de
Les personnes qui se plaignent tout le temps ont surtout besoin d'attention. Ils peuvent être particulièrement irritants, voire franchement agaçants pour leurs proches. Leur tendance à tout voir en noir semble témoigner d'un irréductible pessimisme et leur constant besoin d'attention peut être difficile à gérer.
geignarde. Personne qui se plaint tout le temps.
Mais il existe des personnes qui s'apitoient sur leur sort de manière répétitive. On devient un « Calimero » lorsqu'on fait de la plainte, de l'apitoiement, un schéma relationnel, une manière d'être en relation.
Le syndrome de Calimero désigne les éternels plaintifs qui passent leurs journées à voir tout en noir. On les redoute, on les fuit. Mais on a peut-être tort. Dans un essai étonnant, Saverio Tomasella explique que leurs plaintes, rarement infondées, peuvent faire écho à une plainte universelle.
Le syndrome de Cassandre est une expression tirée de la mythologie grecque. Cassandre avait reçu le don de Prophétie et la malédiction de ne jamais être crue. Aujourd'hui nous appelons des « cassandres » ceux qui annoncent les malheurs, dont on cherche à étouffer la parole car elle dérange …
Il désigne la propension des otages ayant partagé longtemps la vie de leur geôlier à sympathiser avec eux et à adopter leur point de vue. L'histoire du syndrome remonte à un hold-up dans une banque commis à Stockholm en 1973 par deux évadés de prison qui prennent en otage quatre employés.
Râler permet de verbaliser une tension intérieure
« On se plaint lorsqu'un événement nous bloque, nous empêche, nous limite, explique Yves-Alexandre Thalmann, psychologue clinicien. Parce que l'on se sent impuissant, on cherche à se libérer d'une tension intérieure en la verbalisant à l'extérieur. »
Définitions : impassible - Dictionnaire de français Larousse.
Syndrome de Calimero : ces collègues pénibles qui n'arrêtent pas de se plaindre. Certaines personnes ont le chic de râler pour tout mais le plus souvent pour rien. Elles seraient touchées par le syndrome de Calimero, du nom du célèbre oisillon pleurnichard.
Si on va plus loin que la simple envie de se rapprocher de son entourage, râler peut aussi être vu comme un appel à l'aide. Oui, parfois, on râle (consciemment ou non) pour que celui qui nous écoute prenne l'initiative d'apporter son aide, pour une tâche en particulier le plus souvent.
Quand critiquer permet de s'adapter au monde
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Les personnes atteintes du syndrome de calimero ont tendance à se plaindre souvent, ce qui peut générer plus d'agacement que d'empathie, car leurs plaintes semblent infondées, voire exagérées.
Râler en groupe, cela rapproche, resserre les liens… à condition de le faire ensemble dans la même direction. D'une part, on assiste au phénomène du bouc émissaire, analysé par le philosophe René Girard, c'est-à-dire que le groupe se focalise sur une cause (ou une personne), un événement. C'est le « tous contre un ».
Pour l'y aider, restez calme, écoutez ses plaintes puis demandez-lui : «Comment analyses-tu la situation ?» ou «Vois-tu une autre option ?» Enchaînez ensuite avec deux questions clés, posées sans aucune agressivité : «Que désires-tu au juste ? Qu'attends-tu de moi ?» Le râleur est alors désarçonné.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
La personne ne communique pas clairement ses demandes, ses besoins, ses sentiments et opinions. La personne répond très souvent de façon floue. La personne change ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations. La personne invoque des raisons logiques pour déguiser ses demandes.
On a pu voir que les narcissiques sont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Le syndrome de Lima est l'inverse du syndrome de Stockholm. Dans ce cas, les preneurs d'otages ou les agresseurs font preuve d'empathie envers leurs victimes et deviennent réceptifs à leurs revendications et à leurs besoins.
Syndrome de l'infirmière : de quoi parle-t-on ? Le syndrome de l'infirmière concerne principalement les femmes. Celles qui en sont sujettes éprouvent le besoin inconscient d'aider inlassablement leur partenaire amoureux, en quelque sorte de le "sauver" de lui-même.
Ainsi, sont considérées comme surdouées ou HPI, les personnes dont le QI est supérieur à 130 : elles ne représentent que 2,3 % de la population. 50 % de la population obtient un score de QI situé entre 90 et 110. « Mais être surdoué, c'est quand même beaucoup plus qu'un QI.
Très répandu, le syndrome de l'imposteur donne à celui qui le vit le sentiment de ne pas mériter la place qu'il occupe. Il puise ses origines dans des ego malmenés et dans la nécessité que nous éprouvons de nous comparer aux autres.