Ce philosophe s'appelle Thomas Hobbes, il est surtout connu pour avoir écrit un ouvrage philosophie politique magistrale : Léviathan, paru en 1651.
On attribue à Hobbes la formule « l'homme est un loup pour l'homme » (Homo homini lupus est – c'est plus chic en latin) qu'il reprend à Plaute. L'état de nature, caractérisé par la « guerre perpétuelle de tous contre tous », peut être dépassé par les individus s'ils s'engagent mutuellement par contrat.
La citation complète est « L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant ». C'est une citation de Blaise Pascal, philosophe du XVIIe siècle.
« L'homme est un loup pour l'homme. » Chaque homme représenterait potentiellement un danger mortel pour les autres. Cet état permanent de menace découle du fait que tous les hommes sont égaux et que chacun peut désirer ce que l'autre a.
J. -C, II v495) : Lupus est homo homini, non homo, quom qualis sit non novit (« Quand on ne le connaît pas, l'homme est un loup pour l'homme »). Dans cette formule initiale, elle signifie que l'homme prend pour un loup l'homme qu'il ne connaît pas. Plaute vise la peur de l'inconnu et non la violence des humains.
Le Léviathan dans la doctrine de l'État de Thomas Hobbes : sens et échec du décisionnisme politique.
Hobbes affirme par exemple que « les hommes appellent agents nécessaires ceux qu'ils savent nécessaires, agents contingents les choses inanimées dont ils ne savent pas si elles agissent nécessairement ou non, et agents libres, les hommes dont ils ne savent pas s'ils agissent nécessairement ou non » (Q 233).
Il est en permanence sous la menace des prédateurs et aussi de ses propres congénères. Il est dépendant des lois de la nature. Pouvoir choisir, ne pas être soumis à ses instincts, sont les signes les plus évidents de la liberté humaine.
Aristote définit l'homme comme un « animal politique » dans la Politique. Il vit véritablement lorsqu'il est en société, de telle sorte qu'il peut y déployer ses capacités et y vivre heureux. L'homme qui ne vit pas en société est perçu par Aristote comme étant en quelque sorte déviant de sa nature.
Socrate a consacré sa vie à cette recherche, au point même de la perdre, de sorte qu'il fut non seulement le père de la philosophie, mais aussi son premier et plus célèbre martyr.
"Il n'y a pas de bonheur plus grand que d'être aimé par ses semblables,et de sentir que votre présence est une joie pour eux." “J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé.” "Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de vous."
1. Ce qu'ils reprochent à Voltaire. "Je ne suis pas d'accord avec ce qu'il dit, mais je défendrai jusqu'à la mort son droit de le dire". Oui, cette phrase pourrait bien représenter l'opinion du philosophe français des Lumières François-Marie Arouet, plus connu sous le nom de Voltaire (1694-1778).
Apprends comme si tu devais vivre toujours. Lorsqu'une porte du bonheur se ferme, une autre s'ouvre ; mais parfois on observe si longtemps celle qui est fermée qu'on ne voit pas celle qui vient de s'ouvrir à nous. La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil.
La plus belle citation philosophique est : On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve .
« L'homme est naturellement bon, c'est la société qui le corrompt. » Quiconque a déjà entendu parler de Jean-Jacques Rousseau ou lu son oeuvre connaît cette proposition. Elle est au fondement de sa représentation de l'être humain, mais aussi de sa conception de la pédagogie, qu'il présente longuement dans son Émile.
L'état de nature n'est pas une hypothèse préalable à partir de laquelle sont reconstruites les causes de la société civile. L'état civil est dès le départ l'horizon naturel des hommes, de sorte qu'ils ne pourraient en sortir.
La fameuse définition que donne de lui Aristote : l'homme est un animal doué de raison, équivaut sans doute à une réponse affirmative. Et telle est aussi la portée des classifications que dresse l'arbre de Porphyre.
« L'Homme est par nature un animal politique », Aristote.
Plusieurs philosophes défendent dès l'Antiquité l'idée que l'homme est supérieur à l'animal par son intelligence et sa capacité à créer. L'homme est doué d'une pensée qui lui est propre, il est capable de réfléchir et d'utiliser un grand nombre d'outils et de créer. C'est ce qu'illustre le mythe comme Platon le décrit.
Pas étonnant que le chien soit le meilleur ami de l'homme. Sa loyauté, son intelligence, son dévouement et son affection sont incroyablement gratifiants.
Le chien, domestiqué depuis fort longtemps est sans doute l'un des animaux les plus utiles à l'homme.
La définition cartésienne de l'essence de la liberté humaine est connue, mais il s'agit ici d'en préciser l'esprit et la vie. On sait que la liberté humaine est, dans sa forme, absolue, sans degrés, « indivisible » [4][4]Descartes dit : « La volonté ne consistant qu'en une seule… et infinie comme liberté de la volonté.
Dans l'antiquité on parlait du divin Platon. Dire que l'homme est un dieu pour l'homme revient à pointer toutes les situations où l'homme est pour son semblable une chance, une valeur suscitant l'admiration, la reconnaissance, le désir de lui rendre hommage.
En matière de morale, Hobbes pense que l'homme doit agir selon les lois d'un "égoïsme utilitaire" qui découle de l'instinct de conservation (conatus) et de domination. Sa philosophie naturaliste construite à partir de la sensation, est inséparable de la science, notamment celle du corps humain.
2°) Chez Locke, la loi naturelle oblige chacun à respecter les droits de tout homme : elle a valeur universelle. Chez Hobbes, les contrats issus de l'application des trois premières lois du Léviathan ne créent un ordre inviolable qu'entre les contractants.