Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Les plus âgés sont les plus gros consommateurs
Les consommateurs quotidiens sont plus nombreux chez les personnes plus âgées (26 % des 65–75 ans déclarent boire de l'alcool chaque jour, contre 2,3 % des 18–24 ans).
buveur n. Personne qui aime boire des boissons alcoolisées. buveuse n.f.
Ce sont surtout des hommes (73 % en moyenne), et plutôt d'âge mûr. Ainsi, les patients hospitalisés pour une complication de leur alcoolisme ont en moyenne 56,7 ans, ceux pour sevrage 47,9 ans et ceux hospitalisés pour « intoxication aiguë » 43,5 ans.
La consommation d'alcool est plus fréquente chez les hommes : 15,2% d'entre eux en boivent tous les jours, contre 5,1% des femmes. Les consommations occasionnelles (moins d'une fois par semaine) concernent 55,7% des femmes et 36,8% des hommes.
"Mais la couronne de la consommation d'alcool par habitant revient aux îles Cook, qui sont en tête du classement mondial avec une consommation annuelle par habitant de 13 litres d'alcool.", explique Visual Capitalist.
Boire est alors un moyen de faire « comme les autres », de se sentir mieux dans le groupe : l'alcool devient d'une certaine façon un « facteur d'intégration ». L'alcool est aussi associé aux rencontres, considéré comme un « liant social », car quand on a bu, notre comportement change.
Selon une étude publiée le 25 janvier 2021, c'est au Royaume-Uni que l'on retrouve les plus gros buveurs d'alcool au monde. Une étude du GDS (Global Drug Survey), publiée le 25 janvier 2021, met en garde contre la consommation excessive d'alcool de certains pays.
Alcool de maïs rectifié, l'everclear a été longtemps considéré comme l'alcool le plus fort. Produit aux États-Unis, cet alcool est considéré comme trop dangereux et donc interdit dans plusieurs états. Avec son degré titrant de 75 % à 95 %, sa vente ou son achat est illégal.
L'Occitanie se place ainsi sur la première marche du « podium », avec 12,6 % des adultes qui boivent tous les jours, contre une moyenne nationale de 10 %.
buveur, gros buveur, picoleur - manie, passion - absorber, consommer, ingérer, prendre - boire un coup, prendre un verre[Hyper.] qui n'a pas bu d'alcool, sobre[Ant.]
La potomanie est une pathologie principalement psychiatrique qui se caractérise par un besoin irrépressible de boire de l'eau. Cette consommation excessive d'eau, jusqu'à 10 litres ou plus par jour, peut devenir mortelle, car l'organisme ne peut pas tout assimiler.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Les alcools qui détendent : vin rouge et bière
Pour le moment pourtant, aucune étude n'a cherché à vérifier si l'hormone se retrouve aussi dans le vin après fermentation.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Chez les 18-30 ans la consommation hebdomadaire s'élève à 32,5% pour la France métropolitaine et varie entre 23,2 % et 43,5 % suivant la région.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
Buvez des alcools forts plutôt que de la bière.
Les alcools forts enivrent plus vite que la bière ou le vin, car ils sont plus alcoolisés. Les shots sont particulièrement efficaces puisqu'ils permettent d'absorber rapidement de l'alcool et la vodka en particulier est connue pour accélérer l'ivresse.
Que ce soit les Egyptiens, les Romains, les Grecs ou même les Japonais, nos ancêtres fabriquaient déjà de l'alcool. Le principe simple de la fermentation leur permettait – et nous permet – de faire bière, vin et saké mais aussi la distillation qui permet de faire des alcools beaucoup plus forts.
Question lever de coude, la Bretagne est à la hauteur de sa réputation. On y consomme tout type d'alcool, sans exclusive. Alors que le nord et l'est de la France sont davantage portés sur la bière, que les régions du sud de la Loire privilégient le vin, les Bretons boivent de tout, et souvent plus que les autres.
Ces symptômes ne sont pas dangereux en soi et disparaissent habituellement au bout de 7 à 10 jours d'abstinence. Après 24 heures, les symptômes de sevrage atteignent un pic et, après trois jours, le pire est passé. Cependant, les idées noires et l'insomnie peuvent persister pendant plusieurs semaines.
En métropole, la Bretagne détient le triple record de fréquence de consommation de bière, de vin et d'autres boissons alcoolisées (en dehors des alcools forts, type cidre ou chouchen). Le Centre-Val de Loire boude volontiers la bière et le Grand Est se risque rarement sur les alcools forts.
Etre «ivre d'amour» est une métaphore courante dans notre culture qui assimile souvent l'attirance sexuelle ou sentimentale à une perte momentanée de raison… L'alcool induit un état second à quoi on a souvent comparé le désir. Il rend fou.
Abstème désigne, par extension, une personne qui ne boit pas de vin, pas d'alcool en général.
La modification du comportement de la personne va augmenter les conflits, la violence verbale et/ou physique, les comportements à risque. L'agressivité ou des comportements inappropriés sont plus souvent exprimés car l'alcool désinhibe.